background preloader

Le e-commerce français progresse en 2010

Le e-commerce français progresse en 2010
Selon le bilan du commerce électronique 2010 présenté lundi 24 janvier par la Fevad (Fédération e-commerce et vente à distance), 27,3 millions de personnes ont effectué des achats en ligne l'an dernier, soit une hausse de 12%. En tout, les sommes dépensées sur le Net en 2010 culminent à 31 milliards d'euros, un record. Croissance à deux chiffres pour le secteur français du e-commerce. En 2010, et dans un contexte économique plus favorable, la population de cyberacheteurs a grimpé de 12% à 27,3 millions d'internautes (soit 3 millions d'acheteurs supplémentaires). La Fevad fait remarquer que le nombre de cyberacheteurs progresse plus vite que le nombre d'internautes (+9%). Conséquence, les achats en ligne ont représenté 31 milliards d'euros l'an dernier (+24%), contre un chiffre d'affaires global de 25 milliards en 2009, et 20 milliards en 2008. Le montant moyen d'une transaction s'est élevé à 91 euros en 2010, soit son niveau d'avant crise. 100 000 sites marchands cette année

Droit des technologie : le commerce électronique (e-commerce) Source : Lexbase Création d'un Centre de surveillance du commerce électronique (02/12/2000) [Informations générales] Afin de mieux protéger les "cyber-consommateurs", le Gouvernement a décidé de créer une cellule délocalisée de la DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) consacrée à la surveillance du commerce électronique. Ce Centre implantée à Morlaix (Finistère), composée d'une dizaine de personnes, renforcera le réseau de surveillance déjà mis en place et réunissant 18 unités régionales ou départementales. Elle devrait jouer deux types de rôles : une mission "d orientation et de traitement des demandes d information et des réclamations des publics transmises par voie électronique" et un service de "veille et de protection face à la croissance rapide de l Internet, mais aussi à l impact d autres techniques". La jurisprudence n’est pas unanime sur cette question puisqu’elle se réfère Retour au sommaire

Le commerce électronique - Internet dans le monde - Dossiers Nouveau nom de domaine de l’Union européenne, Bruxelles, 2005. © Union européenne Agrandir l'image Selon la définition de l'OCDE, le commerce électronique ou e-commerce en anglais, est "la vente ou l'achat de biens ou de services, effectués par une entreprise, un particulier, une administration ou toute autre entité publique ou privée, et réalisé au moyen d'un réseau électronique". L’Union européenne a adopté, par la directive n° 2002/58/ du 12 juillet 2002, l’approche opt-in qui pose le principe du consentement préalable. L’approche opt-out, littéralement ″opter contre″ est plutôt favorable aux prospecteurs : elle permet l’envoi de messages à toutes les personnes qui ne s’y opposent pas. La législation sur le commerce électronique Conseil de l'Europe La CNUDCI a ensuite adopté deux textes types : Union européenne Au niveau de l’Union européenne, les deux instruments fondamentaux intéressant le commerce électronique sont : - la directive 2000/31/CE sur le commerce électronique du 8 juin 2000.

Introduction au e-Commerce (commerce électronique) Décembre 2017 Introduction au e-Business On appelle « Commerce électronique » (ou e-Commerce) l'utilisation d'un média électronique pour la réalisation de transactions commerciales. Le client effectuant des achats sur internet est appelé cyberconsommateur. La réalisation de devis en ligne Le conseil aux utilisateurs La mise à disposition d'un catalogue électronique Un plan d'accès aux points de vente La gestion en temps réel de la disponibilité des produits (stocks) Le paiement en ligne Le suivi de la livraison Le service après-vente Dans certains cas, le commerce électronique permet un haut niveau de personnalisation des produits, notamment si le site de commerce électronique est couplé avec le système de production de l'entreprise (par exemple cartes de visites, objets personnalisés tels que t-shirts, tasses, casquettes, etc.). Boutiques en ligne La plupart des sites de commerce électronique sont des boutiques en ligne comprenant a minima les éléments suivants au niveau du front-office :

Etude de cas Amazon La stratégie d'entreprise consiste à se fixer des objectifs en fonction de l'environnement (contraintes extérieures) et des ressources disponibles dans l'organisation, puis à allouer ces ressources afin d'obtenir un avantage concurrentiel durable et défendable Le cabinet de conseil Boston Consulting Group "a compté les changements survenus parmi les dix premiers des classements (pour leur capitalisation boursière) sur les périodes 20002004 et 2004-2007. Durant la première période, qui vit l'éclatement de la bulle Internet, la moitié des leaders de l'assurance ont perdu leur place, contre 10 % seulement durant la période d'embellie qui suivit. Le constat vaut pour tous les secteurs." Les différences managériales pourraient expliquer ce paradoxe. "C'est en période de tempête que l'on fait la différence entre les bons et les mauvais marins.

Longue traîne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La longue traîne, représentée en jaune Pour un vocabulaire plus probabiliste, une distribution à longue traîne est également appelée une loi de probabilité à longue queue. La longue traîne dans la théorie des statistiques[modifier | modifier le code] La traîne devient plus large et plus longue dans les nouveaux marchés (représentés en rouge). La longue traîne est une expression courante pour désigner un phénomène connu depuis longtemps des statisticiens (loi de Zipf, distribution de Pareto, distribution de Lévy). Dans ces distributions, une population à grande fréquence ou grande amplitude est suivie par une population à fréquence faible ou de faible amplitude, qui diminue graduellement en une « queue ». De telles répartitions sont étonnamment fréquentes, particulièrement dans les distributions linguistiques. La longue traîne de Chris Anderson[modifier | modifier le code] Un exemple significatif est le commerce de location de vidéos.

e-commerce-tendances Le yield management : les secrets des différences de tarifs en avion Juin 2007 Appelé également "revenue management" ou encore "tarification en temps réel", le yield management a été conçu dans les années 80 par l'ancien PDG de Delta Airlines. Manipulation du consommateur ou simple méthode d'organisation pour les compagnies aériennes ? Alain Sauvant, professeur d'économie et de politique des transports à l'Ecole des Ponts et Chaussées, revient sur son fonctionnement et prodigue quelques conseils avisés aux futurs voyageurs... En quoi consiste le yield management ? Alain Sauvant : Le yield management est une technique employée par les gestionnaires de services, aussi bien dans le domaine des transports que de l'hôtellerie, pour optimiser leurs recettes et leur rentabilité. A quoi sert-il exactement ? Il sert à maximaliser la clientèle. Quelles sont les compagnies aériennes qui l'appliquent ? Toutes les compagnies aériennes du monde l'appliquent. Quels problèmes le yield management crée aux voyageurs ? Un peu de flexibilité aide aussi.

Introduction aux concepts du yield management Le yield management est né de la mise en concurrence des compagnies aériennes après l’Airline Deregulation Act en 1978. Ce système de gestion a été mis au point par les américains et a été très vite adopté par les compagnies aériennes américaines devenant un outil stratégique indispensable. Son utilisation s’est ensuite répandue aux secteurs de l’hôtellerie et de la location de voitures ainsi qu’à d’autres entreprises de services. En effet, lorsque l’on réserve un vol, le prix que l’on doit payer au moment où l’on fait notre demande sera souvent différent du prix auquel on l’aurait acheté la veille ou le lendemain. On remarque déjà qu’à J-45 le premier vol du matin est plus de cinq fois moins cher que le vol du soir, ce qui traduit une demande élevée du vol de 19h15.

Food Reporter - Photographiez vos plats et partagez-les avec vos amis Commerce électronique : l'irrésistible expansion Allez au contenu, Allez à la navigation 15 avril 2014 Recherche Recherche avancée Vous êtes ici : Travaux parlementaires > Rapports > Rapports d'information Commerce électronique : l'irrésistible expansion Rapport d'information de M. L'essor du commerce électronique est-il durable ? L'examen des « variables clé » pour la croissance du commerce électronique, et des principaux risques qui l'hypothèquent, permet de conclure à une dynamique globalement préservée au cours de la prochaine décennie, car l'e-commerce saura répondre aux attentes des consommateurs. Le rapport explore ensuite les trajectoires différentielles de chacun des types de distribution et d'enseignes. Trois scénarios sont alors proposés à l'horizon de 2022 pour l'avenir des consommateurs dans leur environnement économique et commercial, sans négliger d'élargir le champ de vision à certains aspects liés au développement durable ou aux dynamiques territoriales. Rapport A lire aussi Tous les documents de la rubrique Mon Sénat

Principe de Pareto Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Pareto. Le principe de Pareto, aussi appelé loi de Pareto, principe des 80-20 ou encore loi des 80-20, est un phénomène empirique constaté dans certains domaines : environ 80 % des effets sont le produit de 20 % des causes. Il a été appliqué à des domaines comme le contrôle qualité. On considère souvent que les phénomènes pour lesquels ce principe est vérifié suivent une forme particulière de distribution de Pareto. Naissance du principe[modifier | modifier le code] Applications du principe[modifier | modifier le code] Joseph Juran confesse en 1960 avoir attribué ce principe de répartition au mauvais auteur, car en fait nombreux sont ceux qui l'ont énoncé avant. Juran fut également à l'origine de la méthode ABC (une variante du principe Pareto) : « J’ai un peu exagéré en avançant que le principe de Pareto permet seulement de séparer les choses en deux parts. Notes et références[modifier | modifier le code]

E-Community | Entrez dans la planète digitale Fidélisation et Yield Management - simulation de gestion jeu d'entreprise business game Jean-Michel Chapuis - Maître de conférences Université de Tahiti jean-michel.chapuis@upf.pf Mathieu Paquerot - Maître de conférences Université de La Rochelle - CEREGE Poitiers La Rochelle EA 1722 mathieu.paquerot@univ-lr.fr Isabelle Sueur - Maître de conférences Université de La Rochelle - CEREGE Poitiers La Rochelle EA 1722 isabelle.sueur@univ-lr.fr Yield management et programmes de fidélisation possèdent en commun d’être tous deux nés au même endroit (les Etats-Unis), au même moment (le début des années 80), dans le même secteur (le secteur aérien, à l’époque en pleine dérèglementation). - Des variations de tarifs ne risquent-elles pas de perturber le prix de référence du client et in fine de nuire à la loyauté du client ? - Ces deux pratiques sont-elles complémentaires ? Après avoir défini le yield management nous présentons les deux éléments fondamentaux du paradigme relationnel que sont la confiance et l’engagement. - Des capacités finies - Des stocks périssables La confiance L’engagement

Related: