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Institut de Médecine de la Reproduction Les indications L'insémination peut être proposer dans les cas suivants : - Causes masculines : anomalies modérées du sperme (qualité/ quantité) , troubles de l'éjaculation. - Causes féminines : anomalies du col de l'utérus ou de la glaire qu'il sécrète, pouvant interférer avec le passage des spermatozoïdes du vagin vers l'utérus Le traitement de la patiente Avant de réaliser l'insémination avec le sperme du conjoint, un traitement visant à stimuler légèrement l'ovaire est généralement prescrit. Lorsque le ou les follicules (pas plus de trois) contenant l'ovocyte ont atteint la bonne taille et que le taux d'oestradiol sanguin est suffisant, l'ovulation est déclenchée par une injection d'hormone HCG. Le traitement du sperme du conjoint Le sperme doit être recueilli par masturbation au laboratoire deux heures avant l'insémination, le temps de permettre au sperme de se liquéfier dans une étuve à 37°C, de l'analyser, et de pratiquer la technique de sélection des spermatozoïdes mobiles.

LOI no 2001-588 du 4 juillet 2001 relative à l'interruption volontaire de grossesse et à la contraception Article 1er L'intitulé du chapitre II du titre Ier du livre II de la deuxième partie du code de la santé publique est ainsi rédigé : « Interruption pratiquée avant la fin de la douzième semaine de grossesse ». Article 2 Dans la deuxième phrase de l'article L. 2212-1 du même code, les mots : « avant la fin de la dixième semaine de grossesse » sont remplacés par les mots : « avant la fin de la douzième semaine de grossesse ». Article 3 Le deuxième alinéa de l'article L. 2212-2 du même code est complété par les mots : « ou, dans le cadre d'une convention conclue entre le praticien et un tel établissement, dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat ». Article 4 L'article L. 2212-3 du même code est ainsi rédigé : « Art. « Les directions départementales des affaires sanitaires et sociales assurent la réalisation et la diffusion des dossiers-guides destinés aux médecins. » Article 5 I. - Les deux premiers alinéas de l'article L. 2212-4 du même code sont ainsi rédigés : Article 6 Article 7

Avortement Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme d'avortement concerne toutes les espèces vivipares. Il peut entraîner, ou non, la mort du fœtus et son expulsion immédiate[1]. Avortement humain[modifier | modifier le code] Pour l'espèce humaine, on distingue plusieurs situations : On appelle avortement provoqué l'interruption volontaire d'une grossesse chez une femme par intervention humaine. Il fait l'objet d'une législation spécifique : le droit de l'avortement. Avortement non gestatif[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : Avortement, sur Wikiquote Articles connexes[modifier | modifier le code] Histoire de l'avortement

LOI no 2000-1209 du 13 décembre 2000 relative à la contraception d'urgence Article 1er L'article L. 5134-1 du code de la santé publique est complété par trois alinéas ainsi rédigés : « Les médicaments ayant pour but la contraception d'urgence et non susceptibles de présenter un danger pour la santé dans les conditions normales d'emploi ne sont pas soumis à prescription obligatoire. « Afin de prévenir une interruption volontaire de grossesse, ils peuvent être prescrits ou délivrés aux mineures désirant garder le secret. « Dans les établissements d'enseignement du second degré, si un médecin ou un centre de planification ou d'éducation familiale n'est pas immédiatement accessible, les infirmières peuvent, à titre exceptionnel et en application d'un protocole national déterminé par décret, dans les cas d'urgence et de détresse caractérisée, administrer aux élèves mineures et majeures une contraception d'urgence. Article 2 La présente loi sera exécutée comme loi de l'Etat. Fait à Paris, le 13 décembre 2000. Jacques Chirac Par le Président de la République : Lionel Jospin

Contragestion Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La contragestion (contraction de contra-gestation) désigne un mode d'action des méthodes de contrôle des naissances, défini par une intervention après le stade de la conception de l'embryon[réf. nécessaire], c'est-à-dire après formation de la cellule-œuf par fécondation d'un ovule par un spermatozoïde. La mifépristone, médicament anti-progestatif utilisé pour l'avortement, est appelée pilule contragestive[1],[2],[3], étant donné qu'elle a un effet contragestatif en agissant après la conception. La contragestion se distingue de la contraception[réf. nécessaire] qui, elle, intervient avant la conception[réf. nécessaire]. Les dispositifs intra-utérins, tout comme les contraceptifs oraux par exemple, peuvent agir sur la progression des spermatozoïdes et sur la nidation[4],[5]. Certaines associations comme le mouvement pro-vie s'opposent à cette forme de contrôle des naissances, considérant que la vie d'un individu commence dès la conception.

Injection intra-cytoplasmique de spermatozoïde Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Fécondation in vitro par injection intra-cytoplasmique de spermatozoïde dans un ovocyte. L'injection intra-cytoplasmique de spermatozoïde (intracytoplasmic sperm injection, ICSI) est une technique de Fécondation in vitro consistant en la micro-injection d'un spermatozoïde dans le cytoplasme d'un ovocyte à maturité (stade de métaphase 2) grâce à une micro-pipette. Elle peut être réalisée avec des spermatozoïdes épididymaires recueillis par ponction en cas d'azoospermie excrétoire. Enfin, il est possible dans certain cas, de réaliser une injection intra-cytoplasmique de spermatozoïde à partir de spermatozoïdes recueillis à partir d'une biopsie testiculaire. Elle est indiquée en cas d'oligoasthénospermie majeure, de déficit du pouvoir fécondant des spermatozoïdes, d'absence de réaction acrosomique ou de défaut de reconnaissance ovocytaire. Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code]

Fécondation in vitro Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La fécondation in vitro (FIV) est une technique de procréation médicalement assistée et de transfert d'embryon . En 2007-2008, 2 % environ des bébés des pays riches sont issus de la fécondation in vitro, imaginée et mise au point dans les années 1970 et opérationnelle à partir des années 1980. Historique[modifier | modifier le code] La technique fut développée au Royaume-Uni par les docteurs Patrick Steptoe et Robert Geoffrey Edwards[1]. Statistiques[modifier | modifier le code] Depuis Louise Brown (1er bébé-éprouvette) en 1978, le nombre de fécondations in vitro n'a cessé d'augmenter. Cette technique est efficace avec une conception dans 50 à 70 % des cas après 6 cycles, les chiffres décroissant rapidement avec l'âge de la femme[5]. Principes opératoires[modifier | modifier le code] Fécondation[modifier | modifier le code] Transfert[modifier | modifier le code] Immédiat[modifier | modifier le code] Retardé[modifier | modifier le code]

Insémination artificielle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Insémination artificielle sur une vache de race montbéliarde. L'inséminateur immobilise le col de l'utérus par voie rectale et injecte le contenu de la paillette de semence préalablement décongelée au bain-marie. Lorsque l'on procède à une insémination artificielle de manière non médicalisée, on parle alors d'insémination artisanale. Histoire[modifier | modifier le code] L'insémination artificielle est une « biotechnologie » qui était déjà pratiquée par les Arabes au XIVe siècle[1] sur les juments. C'est Lazzaro Spallanzani, un prêtre scientifique Italien, qui en Europe, en 1780, a découvert et décrit la fécondation d'ovules par des spermatozoïdes et qui fut le premier à réaliser une insémination artificielle (chez le chien)[2]. La technique a été perfectionnée au début du XXe siècle par des vétérinaires et des scientifiques, et a commencé à être utilisée couramment à partir des années 1940[3]. Techniques[modifier | modifier le code]

La contraception Lorsqu’on vient d’avoir un bébé, on a tellement de choses à penser (et à faire) ! Faire connaissance avec son bébé, apprendre à s’en occuper, devenir parent … Se remettre aussi doucement de ces mois de grossesse et de l’accouchement, physiquement et psychologiquement. Et puis, en général, à la suite de son accouchement, on ne se sent pas toujours la force, ni l’envie, de repartir dans une grande aventure sexuelle avec son amoureux ! Dans ce contexte, la contraception n’apparaît pas en pole position des priorités Quand parle-t-on de contraception ? Pourtant, c’est lors de l’hospitalisation à la maternité, à J+3 ou 4 après l’accouchement, qu’on va vous parler de contraception. Pourquoi ? C’est justement parce que la contraception peut paraître incongrue pendant cette période qu’on peut y faire moins attention… que des « accidents » peuvent avoir lieu, et qu’une autre grossesse peut survenir, très rapprochée de celle qu’on vient de vivre, sans qu’on l’ait attendue. En quoi consiste-t-elle ?

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