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Digital Literature / Littérature numérique - Serge Bouchardon

Digital Literature / Littérature numérique - Serge Bouchardon
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Alamo | Alamo / ALAMO (Atelier de Littérature Assistée par la Mathématique et les Ordinateurs Petite racine Traque Traces, fiction collective sur la mise en données du monde et son antécédent Simple Appareil ®, mise à nu d’un personnage fictif par les sismographes sociaux, fabricants de notre réel. Habitable : une vieille maison, et qu’est-ce qu’on en fait? Chronique d’une restauration A mains nues : photographier des mains dans le métro pour faire parler les visages. Compléments d’objets : nos manières d’être au monde, d’agir dessus, explorées par le truchement de nos objets, de nos appareils Singeries, réflexions, pas toutes sérieuses, sur l’écriture Et avec d’autres : Et pour Madame ? Les vases communicants Les miens chez les autres Ceux des autres chez moi Enfin, pour ceux qui pensent que Petite Racine est née de la dernière pluie : Archives, en attendant que je les transvase à la petite cuillère ici même

Toute l'actualité Lecture numérique Lecture numérique Aujourd'hui - 1 publication Usages En mai, rendez-vous créatifs aux ateliers de la Silicon Valois En octobre 2013, le ministère de la Culture évoque un projet encore flou, visant à faire entrer la rue de Valois « dans le XXIe siècle » : il s'agissait de transformer le ministère en « une Silicon Valois ». Mardi 15 avril 2014 - 5 publications Acteurs numériques Kobo : quitter les USA et tenter de sauver le marché au Canada Le marché du livre numérique, outre-Manche, est dans un piteux état, largement monopolisé par Amazon, et ce, depuis un double événement. Le numérique divertit les jeunes, sans les aider à comprendre les livres À l'ère des écoles et cartables numériques, le digital pourrait ne pas représenter une solution d'apprentissage idéale. Législation La coopération progresse entre Apple et son surveillant Un smartphone Amazon doté d'un écran 3D Lundi 14 avril 2014 - 4 publications Amazon.com contre Amazon.se en Suède Amazon a désormais son passeport pour la Suède.

« Tu benchmarkes la solution, j’attends ton feedback » : le jargon d’entreprise, dialecte impénétrable La novlangue managériale, mélange d’acronymes, d’anglicismes et de concepts évanescents, crée une « insécurité linguistique » estime la sociologue Agnès Vandevelde-Rougale. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Nicolas Santolaria Pour vivre une expérience linguistique véritablement dépaysante, pas besoin de partir à la rencontre d’une lointaine peuplade amazonienne qui serait restée des siècles en marge de la civilisation. Tout en vous évitant de croiser la route d’une mygale, pousser la porte d’une société du tertiaire suffira alors à vous confronter à un dialecte potentiellement impénétrable : le jargon d’entreprise. « C’est un discours qui sert à mobiliser les êtres humains au service d’un objectif. Ce n’est pas vraiment une langue à part entière, comme le français ou l’allemand, plutôt une façon de s’exprimer qui détourne les mots et les codes idiomatiques classiques à son profit, à l’image d’un virus.

le Tiers-Livre Je suis très honoré d’accueillir, pour ces #vasescommunicants, une voix importante du web, Philippe Aigrain (voir Wikipedia. On retrouvera ses interventions, un repère important dans notre paysage du penser ensemble, sur son site Commons (et bientôt dans la collection Washing Machine de publie.net). Mais Philippe anime aussi, plus discrètement, son atelier de bricolage littéraire, dûment répertorié pour beaucoup d’entre nous. C’est pour ce blog-là que j’ai rédigé cette suite d’objets du rock qu’il accueille. J’ai un lourd passif : trop vissé à mes Mac pour remettre en cause l’outil, et plus assez souple dans les apprentissages. Et, parce que je n’ai pas d’autre revenu que ceux des métiers d’écriture que j’exerce, le flux libre de Tiers Livre s’accompagne de la mise en place d’une plateforme de distribution marchande, publie.net (plus publie.papier maintenant). C’est trop parler, écouter Philippe AIgrain, @balaitous sur twitter, nous emmener dans l’écrirlir numérique...

Littérature numérique et pérennisation | Culture numérique. Pour une philosophie du numérique Une question qui donne beaucoup à réfléchir aujourd’hui : comment les contenus littéraires numériques vont-ils rester demain ? Comment vont-ils être vus et lus ? Je pense qu’il y a actuellement deux réponses possibles à cette question. 1. 2. Voilà donc ma question : est-ce que la pérennisation des œuvres numériques implique forcement une dénaturation ? La Mètis et l’hybris (ou hubris ou ubris) - Ithaque - Botho Strauss - mise en scène Jean-Louis Martinelli, La mètis désigne en grec, non pas l’intelligence, mais une forme particulière d’intelligence et de pensée, fondée sur la ruse, l’astuce, le stratagème, mais aussi la dissimulation, la tromperie voire même le mensonge. La mètis, rappelle Jean-Pierre Vernant, s’épanouit dans la pensée grecque archaïque qui ne fait pas de distinction entre l’être et le paraître, entre le monde des Idées et le monde sensible. Elle s’applique donc à des réalités mouvantes, instables et ambiguës, qui ne se prêtent ni au raisonnement rigoureux, ni à la mesure précise, ni à la mise en système. Elle renvoie aussi bien au savoir-faire de l’artisan, qu’à l’adresse du navigateur évitant les écueils, ou à l’habileté du sophiste. La mètis est le moyen qu’utilise le plus faible pour triompher, sur le terrain même de la lutte, de celui qui est théoriquement le plus fort. Mètis, c’est aussi le nom d’une déesse, première épouse de Zeus et future mère d’Athéna, tel que le raconte Hésiode, dans sa Théogonie.

fut-il.net Christophe Sanchez La pression qui ne dit jamais son nom est omniprésente. Comme un leitmotiv, on l’adjective positive comme si elle pouvait l’être. Elle devient impulsion positive décevante de résultats, ersatz de productivité. Elle est celle qui vous colle sur le fauteuil, l’index voué aux clics, les yeux louvoyant sur l’écran plat à la poursuite de la petite flèche, marqueur unique de vos actes. Les dossiers jaunes sur le bureau noir, véritables dendrites du cerveau pro, se prennent pour des neurones, se déplacent, s’alignent, se réarrangent malgré nous jusqu’à couvrir l’espace. Puis le doute sur le rendu, qui s’installe, se vomit. Save to PDF.

Vers une net-littérature Marie-Albéric Martin écrit un mémoire sur la twittérature. Je réponds à ses questions. — Vous considérez Twitter comme un outil pour écrire ? — Twitter n’est pas un outil. C’est plutôt un lieu social dans l’espace numérique, une sorte de bar. — Considérez-vous twitter comme une contrainte pour écrire ? — Quand on écrit dans un bar, on a la contrainte de la foule, du bruit, du serveur qui lorgne sur nous… Sur Twitter, la table est si étroite qu’on ne peut pas dépasser les 140 caractères consécutifs. La véritable contrainte n’est pas dans les 140 caractères, mais dans le regard constant porté sur ces caractères par la foule de nos followers. Le lecteur entre dans l’atelier de l’auteur. C’est ça la nouveauté littéraire. Il va s’en dire qu’écrire puis publier a posteriori sur Twitter n’a aucun intérêt. — Est-ce qu’écrire sur Twitter affecte la structure de la narration ? — Ça affecte à coup sûr la microstructure, c’est-à-dire le style. — Pourquoi une publication papier de ce roman ?

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