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Lacaton & vassal

Lacaton & vassal

L'Axe Majeur de Dani Karavan Un projet de longue haleine, ambitieux et poétique. Une dizaine d'années après sa création dans les années 70, la ville nouvelle de Cergy-Pontoise à souhaité se doter d'une réalisation d'art urbain d'envergure. C'est l'artiste Dani Karavan qui a conçu le projet, en 1980: un parcours de 3 kilomètres de long, déterminant une perspective en direction de Paris et composé de 12 stations, à partir de la Tour Belvèdère, au centre d'un ensemble d'immeubles circulaire de Ricardo Bofill, jusqu'à une passerelle qui traverse l'Oise et se terminera prochainement sur l'Ile astronomique, dans l'étang de Cergy-Neuville. De nuit, un laser bleu matérialise le tracé de l'axe et le poursuit au-dessus de l'étang, jusqu'au carrefour de Ham. Je suis allée pour la première fois découvrir cette oeuvre monumentale il y a quelques jours. Pour plus d'infos: www.cergypontoise.fr etwww.danikaravan.com www.danikaravan.com

Éric Lapierre Experience - Agence Eric Lapierre Experience est une organisation qui regroupe les trois champs d’activité d’Eric Lapierre : construction ; écriture/édition/commissariat d’expositions ; performances/productions sonores. EL Architecture est consacré à l’étude de projets d’architecture et d’urbanisme. ELA est un bureau non spécialisé car l’architecture n’est attachée à aucun programme en particulier, et que les recherches menées sur un type de programmes enrichissent la réflexion sur les autres. Fondé en 2000, le bureau conçoit des projets régulièrement primés, de toutes échelles : logements collectifs, maisons individuelles, musées, centres d’art, salles de musique, écoles, aménagements intérieurs, études urbaines, etc. ELA compte une quinzaine de collaborateurs, et travaille avec de nombreux spécialistes extérieurs qui interviennent dès les phases initiales des projets, condition nécessaire à la recherche de réponses réellement spécifiques aux questions qui lui sont soumises.

atelier d'architecture autogérée L'atelier d'architecture autogérée (aaa) est une plate-forme collective de recherche et d'action autour des mutations urbaines et des pratiques culturelles, sociales et politiques émergentes de la ville contemporaine. Créé en 2001, aaa fonctionne à travers un réseau inter- et extra-disciplinaire ouvert à de multiples points de vue : architectes, artistes, étudiants, chercheurs, retraités, politiques, chômeurs, militants, habitants et tous usagers concernés. L'« architecture autogérée » provoque des agencements de personnes, de désirs, de manières de faire… Ces mises en relation ne sont pas toujours consensuelles, le rôle de l'architecte étant aussi de construire à partir des confrontations et d'accompagner des productions subjectives. Notre architecture est à la fois politique et poétique car elle est d'abord une « mise en relation entre des mondes ».

BUREAU A The bureau Founded in 2012, BUREAU A is the association of Leopold Banchini and Daniel Zamarbide. Architects by training BUREAU A is a multidisciplinary platform aiming to blur the boundaries of research and project making on architectural related subjects, whichever their nature and status. BUREAU A is profoundly rooted in architectural culture and history, understood as a vast field of exploration related to construction and installation of environments for specific purposes. The bureau expands its activities to a large diversity of programs ranging from architecture and landscape design to scenography, installations, or self-constructed initiatives. It has developed a specific interest in public spaces and political issues; how design and architecture can possibly confront them is at the heart of the interrogations cultivated by the bureau. BUREAU A invests widely in research, cultivating its partner’s interest in cultural exchanges and transmission through education. Contact

DETAILS TRANSIT-CITY / URBAN & MOBILE THINK TANK bellastock mercredi 29 février à 19h École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Belleville Comme chaque année le Bellastock oriente ses recherches autour d’un thème alliant architecture et construction. Pour cette année nous explorons le réemploi en architecture. Afin d’entrainer une dynamique de réflexion sur le sujet, de construire une méthodologie et un imaginaire commun, nous avons convié trois personnalités pour une présentation de leurs activités et un débat. Nous souhaitons par ce débat illustrer une nouvelle démarche pour aborder le projet. Par cette volonté est induite une nouvelle méthode de travail depuis la conception du projet à son exécution et son usage. La valorisation de l’ambiguité des rôles et l’abolition de la règle « sachant » profane, ou chacun peut apporter une pierre à l’édifice, en négociation, architecte, artisan, usager, maitre d’ouvrage. La valorisation d’un patrimoine, mémoriel, culturel, territorial. L’éthique, c’est du réemploi au réemployable !

Les centres commerciaux : atome en perdition du périurbain Le centre commercial, concept né au début XXe siècle, représente aujourd’hui encore l’antre de la consommation massive par excellence. Généralement accessible en voiture, ces “commerces de périphérie” sont devenus le symbole rarement apprécié d’une banlieue molle, dépensière, et en quête de sens et de centralités (entendre convivialités). Point de ralliement pour familles aux landaus beuglards, ou terrain de jeu amoureux pour une jeunesse qui s’ennuie, la frénésie de l’achat dominical et ses imaginaires ont perdu peu à peu de leur aura visionnaire depuis la fin des années 1990. Dans l’épisode “Something You Can Do With Your Finger” de South Park, les protagonistes montent un boys band raté et réalisent leur rêve : se produire à la galerie marchande locale Comme le rappelle Gérard Vignali, architecte et auteur du blog 100 Futurs dans cet éclairant commentaire posté sur notre blog : Cette « centralité décentrée » sera-t-elle incarnée encore longtemps par le centre commercial ?

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