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ADN, le disque dur de demain ? - Maxisciences

ADN, le disque dur de demain ? - Maxisciences
Deux chercheurs de l'université de Harvard sont parvenus à stocker 700 To de données informatiques dans un gramme de matière. Pour cela, ils ont directement utilisé de l'ADN. L'idée de stocker des données informatiques dans de l'ADN n'est pas nouvelle. Pourtant, cette fois, les choses s'accélèrent avec la parution, dans la revue Science, des travaux de deux chercheurs de l'université de Harvard. Ceux-ci ont réussi à stocker la copie numérique de l'ouvrage que publiera bientôt l'un d'entre eux dans quelques microgrammes de matière faite de molécules d'ADN synthétisées, rapporte clubic.com. Avez-vous déjà partagé cet article? Partager sur Facebook Partager sur Twitter Selon ces scientifiques, la densité de stockage atteinte est telle que l'on pourrait stocker dans environ 4 grammes d'ADN l'ensemble des informations produites dans le monde en 2011, ce qui correspond à 1,8 zettaoctet (soit 1,8 x 1021 octets) ! Mais quel support utiliser ?

Neutrinos : plus rapides que la lumière ? › Physique <p>Reconstitution de l'impact d'un neutrino enregistré dans une brique et analysé par un laboratoire de la collaboration OPERA <em>(Crédits : CNRS/CERN/OPERA)</em></p> Des chercheurs du CNRS auraient découvert l'existence de neutrinos... qui vont plus vite que la lumière. Si ces mesures sont confirmées, alors les répercussions théoriques seront immenses. Le Journal de la Science a exploré certaines de ces répercussions grâce au concours du physicien Thibault Damour. C'est un séisme qui est en train de se produire dans le monde de la physique. Comment les chercheurs ont-ils obtenu ce résultat ? 60 nanosecondes de moins que la lumière Au cours de ces expériences menées depuis 2007, Dario Autiero et son équipe ont remarqué un fait pour le moins étrange : leurs neutrinos muoniques parcouraient cette distance de 732 km en 60 nanosecondes de moins que ne l'aurait fait la lumière dans le vide. Munis de ces données, les chercheurs s'apprêtent maintenant à publier leur résultat. Mais il y a plus.

Higgs Boson Found? Without "God Particle," No Galaxies—And No Life Just hours from now, physicists could announce they're 99.9936 percent sure the Higgs boson exists, according to experts on the hunt for the so-called God particle. The combined findings of two teams at the proton-smashing Large Hadron Collider (LHC) should help explain why objects in our universe have mass — and in so doing, why galaxies, planets, and even humans have any right to exist. ( Explore a Higgs boson interactive. ) Just what the scientists—from the ATLAS (A Toroidal LHC Apparatus) and CMS (Compact Muon Solenoid) experiments—will reveal, though, is a closely guarded secret. "There are very few people even in ATLAS and CMS who know what's going to be presented on Wednesday. The rumor mill, though, got a late-breaking boost Tuesday, when, according to Science News , an official CERN video clip surfaced briefly, publicly, and—presumably—prematurely. On Higgs Hunt, It's "Easy to Fool Yourself" Results in particle physics are ranked on a scale from zero to five "sigma."

Une nouvelle molécule pour guérir les AVC et doubler la neurogenèse ? L’une des pistes pour pallier à diverses pathologies cérébrales, telles que les maladies d’Alzheimer et de Parkinson ou, entre autres, les accidents vasculaires cérébraux, est d’agir au niveau d’une neurotrophine peptidique (naturellement synthétisée dans le cerveau) appelée BDNF et de ses récepteurs cellulaires, dont les rôles métaboliques multiples sont très largement bénéfiques et nécessaires pour le fonctionnement du cerveau, puisque le « Brain Derived Neurotrophic Factor » induit la neurogenèse ou naissance de nouveaux neurones ainsi qu’une meilleure connectivité en agissant sur leur plasticité. Augmenter les niveaux de BDNF revient à améliorer la mémoire, la pensée abstraite, les fonctions exécutives, et l’ensemble des caractéristiques cognitives, et cela sans aucun danger connu. Depuis 2007, un prototypage moléculaire a ainsi été breveté. Ces résultats sont obtenus chez la souris, et sont probablement reproductibles chez l’humain.

ADELE : stocker de l'électricité en comprimant l'air ! > Technologie Stocker de l'électricité de manière efficace, en toute sécurité et en grande quantité - voila certainement l'un des défis clés à résoudre dans les prochaines années. Les membres du projet ADELE** dont fait partie RWE, mais aussi General Electric, Züblin, et le Centre National allemand pour la Recherche aéronautique et spatial (DLR) ont signé à Berlin un accord de coopération et de développement allant dans ce sens. "L'expansion massive et voulue de l'énergie éolienne nécessite des solutions intelligentes pour garantir un approvisionnement continu en électricité. Lors de périodes où l'offre excède la demande électrique sur le réseau éolien, de l'air sera comprimé et stocké dans de grandes poches souterraines. Avant de produire de l'électricité et avant que l'air ne soit en mesure de faire fonctionner une turbine, l'air comprimé devra être chauffé à nouveau par le système de stockage d'énergie thermique.

Fondation Sciences Citoyennes | Pour faire entrer les sciences en démocratie... L'énergie fulgurale Quelle que soit l'époque, l'activité humaine n'a pu se passer de sources énergétiques. A certains égards, l'histoire de l'énergie est un raccourci de l'histoire des hommes : une saga passionnante et totalement méconnue. Stupeur à tous les étages. Au fil des âges, on a recouru à différentes sources d'énergie : avant les énergies renouvelables, avant le nucléaire, avant le pétrole, nos ancêtres ont utilisé l'hydro-électricité, le charbon, l'énergie animale ou humaine. Les Atlantes ont utilisé l'inépuisable énergie de la foudre : ils produisaient de l'énergie dans des centrales fulgurales comme Areva en produit aujourd'hui dans ses centrales nucléaires. On peut admettre que leur civilisation fut plus avancée sur le plan spirituel, par exemple. Les Atlantes avaient une parfaite maîtrise de la gravitologie et de l'électro-magnétisme. Les centrales à foudre se composaient donc de trois machines principales :1- une antenne ou capteur qui attire l'éclair.

Percer les secrets des plantes pour sauvegarder la biodiversité ! Pour une réelle sauvegarde de notre biodiversité, encore faut-il saisir tous ses secrets et ses enjeux ! Quoi de mieux que de les enseigner à nos enfants. Tel est le programme de “Plantastic”, une exposition ludique et attractive présente cette année, jusqu’en septembre 2013, au Vaisseau à Strasbourg. A l’intérieur d’un espace entièrement modelé de 450 m2, le visiteur a la possibilité de pénétrer dans un univers coloré, au milieu de plantes surdimensionnées qui viennent dévoiler leurs secrets. Bien qu’aucune réelle fleurs, graines, feuilles ne soient exposées, les décors vous font traverser et découvrir le monde végétal dans son ensemble : de la naissance de la plante, à sa reproduction, en passant par le phénomène de la photosynthèse, pour finir sur l’utilisation des plantes par l’homme. Et pour prolonger l’expérience, un “véritable petit laboratoire de la biodiversité” est proposé à l’extérieur. Plus d’infos sur le site du Vaisseau, dans la rubrique Expositions temporaires.

Génétique : la découverte qui vous concerne Jeudi dernier, le 6 septembre 2012, une série d’articles scientifiques de portée historique a été publiée dans les plus grandes revues scientifiques : Nature, Science, Genome Research, Genome Biology, Journal of Biological Chemistry. Ce sont les conclusions d’un immense projet de recherche, financé par le gouvernement américain, impliquant 440 scientifiques de 32 laboratoires, qui a duré neuf ans : le projet ENCODE, Encyclopedia elements of the human genome, qui visait à décrire de façon complète les fonctions de chaque élément du génome humain. Vous êtes concerné par les découvertes publiées. Bref rappel sur l’ADN Lorsque vous avez été conçu, vous n’étiez qu’une seule cellule, issue de la rencontre d’un spermatozoïde et d’un ovule. Mais cette cellule contenait un minuscule noyau. Cette cellule unique s’est d’abord divisée en deux cellules filles, chacune contenant une copie de l’ADN de la première cellule. A la division suivante, le futur bébé est constitué de 16 cellules. Déconvenues

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