background preloader

Et si les neurosciences pouvaient aider le changement ? #neuroscience par @ceciledemailly

Et si les neurosciences pouvaient aider le changement ? #neuroscience par @ceciledemailly
01net. le 20/08/12 à 10h15 © © 2009 SanFranAnnie, Flickr Cet été, je déjeune en terrasse avec une amie, l’une des gourous 2.0 d’une multinationale française, et nous parlons conduite du changement (oui, oui, même en terrasse l’été). La question qui nous préoccupe est de savoir comment aborder les freins et les résistances au changement à un niveau d’ensemble et de manière efficace. Au niveau individuel, il est possible assez simplement de cibler et d’apporter à chaque personne l’aide spécifique qu’il lui faut. Mais lors d’un changement stratégique important, aucune entreprise ne peut se permettre d’approcher individuellement tous les employés concernés, sans parler des clients, partenaires et autres intéressés. Du coup, j’aimerai profiter de ce billet pour revenir sur quelques idées reçues. Les neurosciences : des binocles plutôt qu’une baguette magique Les neurosciences consistent à étudier le fonctionnement du cerveau à l’aide de toute la technologie d’imagerie médicale disponible.

http://pro.01net.com/editorial/571373/et-si-les-neurosciences-pouvaient-aider-le-changement/

La méditation, c’est bon. Mangez-en ! On ne compte plus le nombre de livres ou de personnes qui vous vantent les bienfaits de la méditation. Depuis plusieurs années, une équipe conjointe de l’université de Dalian en Chine et de l’université d’Oregon aux USA tente de mettre en évidence, de manière scientifiquement rigoureuse, les bienfaits de la méditation . Alors pour se faire une idée sur la question, voici un petit tour d’horizon de quatre de leurs papiers les plus importants, qu’on peut penser plutôt sérieux car tous publiés dans la prestigieuse revue PNAS (Proceedings of the National Academy of Science). Comment fonctionnent nos neurones? - Sciences Le cerveau vu grâce à l'IRM de diffuson DR © Radio France Le cerveau est, sans conteste, l’organe le plus fascinant du corps humain. Au cours des dernières décennies, les chercheurs ont commencé à percer ses secrets les plus intimes. L’un des derniers en date est celui qui fait la Une du magazine Science et Vie du mois d’octobre. Nos cellules nerveuses, les neurones, seraient capables de modifier leur propre génome ! Elles s’affranchiraient ainsi de la loi qui régit pourtant toutes les cellules du corps humain.

Le libre-arbitre existe-t-il Nous avons coutume de penser que nous sommes libres de décider et de choisir nos actes. Et pourtant, une série d’expériences de neurosciences jettent un doute sur ce qu’on a l’habitude d’appeler notre libre-arbitre. Même si elles sont largement débattues, tant du point de vue de leurs résultats scientifiques que de l’interprétation philosophique qui en est donnée, ces expériences sont pour le moins…troublantes ! Aujourd’hui au menu : neurologie, sciences sociales et philosophie ! Libre arbitre et activité neurologique Nous avons tous une notion intuitive de ce qu’est le libre-arbitre.

Asymétrie cérébrale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition[modifier | modifier le code] En neurosciences cognitives, l'asymétrie cérébrale désigne l'inégale implication des deux hémisphères du cerveau dans les différentes fonctions mentales. Dans leur anatomie générale, les deux hémisphères sont très semblables mais il existe un certain nombre de caractéristiques plus fines qui les distinguent l'un de l'autre. Le lien entre ces différences structurelles et les différences fonctionnelles reste mal compris.

Olivier Faugeras : the call of neurosciences Ancien polytechnicien, mathématicien, spécialiste des neurosciences, membre de l’Académie des Sciences, Olivier Faugeras est Directeur de Recherche à l'INRIA (Unité de Recherche de Sophia Antipolis) et dirige NEUROMATHCOMP, un projet de recherche tourné vers la modélisation mathématique des neurones et des ensembles de neurones. Il s’intéresse plus particulièrement à la reconstruction 3D de l'activité du cerveau humain, à la vision par ordinateur, à l’analyse d’images en vue de comprendre la perception visuelle, à la neuroscience computationnelle (qui essaye de comprendre les relations entre la structure et la fonction du cerveau et du système nerveux), à l’analyse du mouvement et de la stéréoscopie… Il est professeur à l’Ecole Normale Supérieure. Il nous parle ici des liens entre mathématiques et neurosciences. (Propos recueillis à l'occasion de Maths A Venir 2009.) Comment est venu votre intérêt pour les neurosciences ? J’ai commencé par étudier les mathématiques.

Neurosciences, une position réductionniste ? Les Neurosciences, une position réductionniste ? Par Eve Suzanne. Considérer que nos états mentaux (ou âme, dans le vocabulaire cartésien) se réduisent à l’activité de nos neurones, nous contraint-il à endosser une position réductionniste ? De quel réductionnisme s’agit-il ? Remarque : le problème ne se pose pas au sujet de la dépendance du fait psychologique au fait biologique. Le cas de la psychanalyse Par Eve Suzanne. La neurobiologie peut-elle expliquer parfaitement le fonctionnement de la vie psychique ? La difficulté sous-jacente est de déterminer qui des deux est la plus apte à fournir une telle explication entre la psychanalyse et la neurobiologie. Cependant, peut-être que cette opposition n’était pas évidente au départ, et peut-être qu’elle ne l’est toujours pas : Sigmund Freud était convaincu qu’un jour la biologie viendrait valider les présupposés sur lesquels repose la psychanalyse et en particulier l’inconscient.

cerveau et expérience spirituelle Je suis toujours à l’affût des recherches faites au sujet de la conscience et du cerveau. J’ai regardé le film d’Isabelle Raynauld, Le cerveau mystique. Mario Beauregard (doctorat en neurosciences) et son équipe de l’Université de Montréal ont fait une recherche sur la neuroscience de la conscience. Dr Beauregard et Vincent Paquette, son collègue, ont réussit à convaincre 16 religieuses carmélites de participer à cette étude. Elles ont été choisies car elles avaient en moyenne 50 000 heures de prière à leur actif. On pourrait les comparer à des athlètes olympiques – leur cerveau n’est pas comme celui d’une personne ordinaire.

Neuroscience et liberté Autour de l’ouvrage de Joëlle Proust, La nature de la volonté (Paris, Gallimard, 2005). Dans le cadre de leur séminaire intitulé « Neuroscience et liberté », qui a pour but d’exposer la manière dont les connaissances actuelles sur le fonctionnement cérébral nous invitent à nous interroger sur l’opposition entre liberté et déterminisme, Eric Charmetant et François Euvé organisaient le 7 mai dernier une séance consacrée à l’ouvrage de Joëlle Proust, La nature de la volonté . Regroupant une présentation introductive d’Eric Charmetant ainsi qu’une intervention de Joëlle Proust, il s’agissait lors de cette journée d’examiner la question du lien entre le résultat d’une délibération et l’exécution de l’action correspondante, c’est-à-dire l’articulation entre les états mentaux que constituent nos intentions d’agir, et la réalisation effective de ces intentions. John Searle, quant à lui, fonde sa théorie de l’action sur la notion d’intention.

Related: