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Et si les neurosciences pouvaient aider le changement ? #neuroscience par @ceciledemailly

Et si les neurosciences pouvaient aider le changement ? #neuroscience par @ceciledemailly
01net. le 20/08/12 à 10h15 © © 2009 SanFranAnnie, Flickr Cet été, je déjeune en terrasse avec une amie, l’une des gourous 2.0 d’une multinationale française, et nous parlons conduite du changement (oui, oui, même en terrasse l’été). Mais lors d’un changement stratégique important, aucune entreprise ne peut se permettre d’approcher individuellement tous les employés concernés, sans parler des clients, partenaires et autres intéressés. Comme je vais intervenir lors de la session « Changement organisationnel et neurosciences » au Neuroleadership Summit à New-York en octobre, j’ai demandé à mon amie pourquoi, à son avis, en France de nombreux responsables en entreprise sont perplexes par rapport aux neurosciences, alors qu’outre-Atlantique l’intérêt va croissant. Du coup, j’aimerai profiter de ce billet pour revenir sur quelques idées reçues. Les neurosciences : des binocles plutôt qu’une baguette magique Les différents « étages » du cerveau face au changement (5) Fornette, M. Cécile Demailly

La méditation, c’est bon. Mangez-en ! On ne compte plus le nombre de livres ou de personnes qui vous vantent les bienfaits de la méditation. Depuis plusieurs années, une équipe conjointe de l’université de Dalian en Chine et de l’université d’Oregon aux USA tente de mettre en évidence, de manière scientifiquement rigoureuse, les bienfaits de la méditation . Alors pour se faire une idée sur la question, voici un petit tour d’horizon de quatre de leurs papiers les plus importants, qu’on peut penser plutôt sérieux car tous publiés dans la prestigieuse revue PNAS (Proceedings of the National Academy of Science). Comment évaluer rigoureusement les impacts de la méditation ? A priori, réaliser une étude scientifique sur les éventuels bienfaits de la méditation n’est pas chose facile. Mais si on prend comme "groupe test" une population de gens qui méditent depuis longtemps, on risque de créer des biais. La méditation IBMT Les impacts sur le comportement Les impacts physiologiques Comment la méditation modifie le cerveau [1] Y. [2] Y.

Gastronomic meal of the French - intangible heritage - Culture Sector - UNESCO France Inscribed in 2010 (5.COM) on the Representative List of the Intangible Cultural Heritage of Humanity The gastronomic meal of the French is a customary social practice for celebrating important moments in the lives of individuals and groups, such as births, weddings, birthdays, anniversaries, achievements and reunions. It is a festive meal bringing people together for an occasion to enjoy the art of good eating and drinking. © Damien Reinier, 2007 © Eb Macelion, 2006 © Roger-Viollet, 1890 © Roger-Viollet, 1920 © Christiane Viltard, 2005 © Camille Dequilt, 2009 © O. © Isabelle Guisard, Château de Bourron-Marlotte, 2008 © Lionel Gauci, 2008

Enseigner en pleine conscience. La pleine conscience interroge les pratiques d’enseignement. Les enseignants et les chefs d’établissement, qui découvrent cette approche, sont à la fois intéressés pour leurs élèves, mais aussi pour eux mêmes. Les demandes directes d’information et d’intervention se développent. Elles viennent prioritairement des acteurs de terrain (enseignants, chefs d’établissement). Faut il rappeler que l’approche pédagogique d’Antoine De La Garanderie (gestion mentale) se prête à la pleine conscience. Mais qu’est ce que signifie enseigner en pleine conscience ? Je propose un référentiel de l’enseignant en pleine conscience qui serait un complément de l’officiel ! Quelques principes caractéristique d’une posture d’enseignement en pleine conscience : - Etre dans l’intention d’être présent à ce qui est, tel que cela est. - Prendre et poser des temps réguliers de calme et de silence dans les temps de classe. - Avoir une Pratique personnelle et régulière de pleine conscience. Like this: J'aime chargement…

Le libre-arbitre existe-t-il Nous avons coutume de penser que nous sommes libres de décider et de choisir nos actes. Et pourtant, une série d’expériences de neurosciences jettent un doute sur ce qu’on a l’habitude d’appeler notre libre-arbitre. Même si elles sont largement débattues, tant du point de vue de leurs résultats scientifiques que de l’interprétation philosophique qui en est donnée, ces expériences sont pour le moins…troublantes ! Aujourd’hui au menu : neurologie, sciences sociales et philosophie ! Libre arbitre et activité neurologique Nous avons tous une notion intuitive de ce qu’est le libre-arbitre. Le schéma ci-contre (extrait de [1]) montre un des chemins possibles, dans lequel le cortex moteur (M1) est activé par une région appelée aire motrice supplémentaire, (ou SMA en anglais) qui reçoit elle-même des signaux d’autres parties du cerveau. 1983 : L’expérience fondatrice de Benjamin Libet 2008 : Une nouvelle expérience vraiment troublante Quelle conclusion raisonnable tirer de ces expériences ? [1] P.

untitled Créer l’école de mes rêves | École de la Croisée des Chemins Télécharger cette page en pdf Cet atelier sur un week-end est proposé aux personnes qui souhaitent être accompagnées dans la création et la mise en œuvre d’un projet d’école, quelle que soit leur optique pédagogique. A noter : il n’est pas nécessaire d’avoir suivi une formation au sein de l’Éducation Nationale pour se lancer dans un tel projet. Notre intention Vous apporter un soutien moral et méthodologique, basé sur notre expérience ;Proposer un environnement d’apprentissage expérientiel, coopératif, et centré sur les besoins des personnes et du groupe ;Permettre à chacun-e de révéler l’école unique dont il/elle est porteur/se. Qui nous sommes et pourquoi nous proposons notre aide Fleur Mathet-Jolly a pratiqué l’instruction en famille pendant une dizaine d’années, tout en menant des recherches personnelles sur l’accompagnement de l’enfant dans ses apprentissages. Thomas Marshall est titulaire d’un doctorat en sciences de la communication. Comment se passent ces deux journées En pratique

Olivier Faugeras : the call of neurosciences Ancien polytechnicien, mathématicien, spécialiste des neurosciences, membre de l’Académie des Sciences, Olivier Faugeras est Directeur de Recherche à l'INRIA (Unité de Recherche de Sophia Antipolis) et dirige NEUROMATHCOMP, un projet de recherche tourné vers la modélisation mathématique des neurones et des ensembles de neurones. Il s’intéresse plus particulièrement à la reconstruction 3D de l'activité du cerveau humain, à la vision par ordinateur, à l’analyse d’images en vue de comprendre la perception visuelle, à la neuroscience computationnelle (qui essaye de comprendre les relations entre la structure et la fonction du cerveau et du système nerveux), à l’analyse du mouvement et de la stéréoscopie… Il est professeur à l’Ecole Normale Supérieure. Il nous parle ici des liens entre mathématiques et neurosciences. (Propos recueillis à l'occasion de Maths A Venir 2009.) Comment est venu votre intérêt pour les neurosciences ? J’ai commencé par étudier les mathématiques.

La questiologie©, une technique pour poser les bonnes questions Si le terme de questiologie évoque une science d’expert, cela s’explique par le parcours de son concepteur Frédéric Falisse. Chimiste puis mathématicien, il se forme ensuite aux métiers du management, de l’encadrement et de l’accompagnement qui l’amènent à s’intéresser au développement de la personne à travers des techniques comme la PNL, la programmation neuro linguistique. Aujourd’hui, il donne des conférences, forme professionnels et privés à ce nouvel outil de communication qu’il utilise en séance de coaching, notamment avec les adolescents. Comment est née cette méthode C’est en allant à la rencontre de décisionnaires qui ont la capacité d’influencer leur organisation et d’accompagner avec succès les gens avec lesquels ils travaillent, que Frédéric Falisse s’est rendu compte qu’ils maîtrisaient naturellement tout « l’art de poser la bonne question au bon moment ». Quatre principaux locus Il en existe quatre dans la questiologie : acteur, observateur, introspectif et méta.

Neurosciences, une position réductionniste ? Les Neurosciences, une position réductionniste ? Par Eve Suzanne. Considérer que nos états mentaux (ou âme, dans le vocabulaire cartésien) se réduisent à l’activité de nos neurones, nous contraint-il à endosser une position réductionniste ? De quel réductionnisme s’agit-il ? Remarque : le problème ne se pose pas au sujet de la dépendance du fait psychologique au fait biologique. Dualisme et réductionnisme neurobiologique : Selon les neurosciences, l’ensemble de nos états mentaux est réductible à l’activité de nos neurones c’est-à-dire, à des réactions chimiques. Le réductionnisme tel qu’il est défendu par la neurobiologie consiste à mettre au même niveau la conscience et les neurones, autrement dit, la vie psychique de l’Homme est entièrement comprise du point de vue des processus chimiques neuronaux qui se produisent dans son cerveau. Chez Descartes aussi, il n’y a pas une différence de nature entre le corps et la machine mais seulement de degré de complexité. Le philosophe J.R. [1] J.

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