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Beuys et La Sculpture Sociale

Beuys et La Sculpture Sociale

Joseph Beuys - mythe et sculpture sociale | Punctum vidéo Joseph Beuys est un artiste allemand qui a marqué l'histoire du 20e siècle par sa manière inédite d'approcher la pratique de l'art, mais aussi pour les matériaux plutôt singuliers qu'il utilisait. Toute son oeuvre est fondée sur un mythe, celui de son expérience de guérison par des nomades tatares. En effet, pendant la Seconde Guerre mondiale, Joseph Beuys pilotait pour la Luftwaffe. Son avion s'écrasa en Crimée et cet événement amorça le mythe qui plana autour de son oeuvre tout au long de sa vie d'artiste. Beuys était soit adoré, soit détesté, mais certainement pas ignoré. Joseph Beuys fonda paradoxalement sa pratique à la fois sur son autobiographie, à la fois sur l'engagement social. Joseph Beuys était très proche du groupe Fluxus avec ses idées d'intermédia et du rapprochement entre l'art et la vie. Joseph Beuys est mort en 1986, laissant en héritage une oeuvre très prolifique de dessins, d'installation, de sculpture et de performances.

Art moderne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'appellation d'art moderne désigne une période de l'histoire de l'art qui est initiée par Édouard Manet et les peintres impressionnistes dans les années 1870 et s'achève au milieu des années 1950, notamment avec la naissance du pop art[1]. L'art moderne se caractérise par une rupture avec les canons de la figuration de l'art classique[2]. La notion d'« art moderne »[modifier | modifier le code] Dans Le Peintre de la vie moderne, Baudelaire trouve la beauté dans la rue et il la voit changeante, mobile ; chez l'artiste moderne, il salue l'aptitude à dégager du transitoire du quotidien l'éternel de la beauté. D'un point de vue institutionnel, l'émergence de la modernité ébranle l'Académie dans son pouvoir d'autoriser ou non l'entrée d'une œuvre au Salon. Les peintres « hors-académie » refuseront finalement d'être exposés à côté des peintres académiques. Naissance de l'« art moderne »[modifier | modifier le code]

Le Mirobolant - Etude de l'Oeuvre de Joan Miro Les premiers tableaux de Miró peuvent surprendre lorsque l'on connaît de l'artiste ses dessins tout en rondeur tant marqués par l'imaginaire. Le tout premier dessin que nous possédons du peintre est Le pédicure , réalisé alors qu'il avait 8 ans, en 1901. Il faudra attendre quelques années pour que l'artiste puissent se livrer pleinement à sa passion: son père avait pour lui d'autres ambitions et refusa longtemps à son fils le plaisir de peindre. Ses réels débuts au sein du monde artistique furent marqués par la peinture de Van Gogh, et l'expressionnisme en général. Tandis que la quasi-totalité des peintres de l'époque clamait leur dette envers Cézanne, Miró confiait à son ami André Masson: "Van Gogh, oui. Quant à Cézanne , c'est de la m.... ." Miró a également très tôt le soucis de la composition. "Au moment de travailler à un paysage, je commence par l'aimer, de cet amour qui est fils de la lente compréhension. Joan Miró L'artiste fut également à cet époque inspiré par le cubisme.

Alchimie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La pratique de l'alchimie et les théories de la matière sur lesquelles elle se fonde, sont parfois accompagnées, notamment à partir de la Renaissance, de spéculations philosophiques, mystiques ou spirituelles. Des pensées et des pratiques de type alchimique ont existé en Chine dès le IVe siècle av. Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot « alchimie » vient de l'arabe الكيمياء, al-kīmiyāﺀ. Différentes hypothèses ont été avancées pour l'origine du mot en arabe[3]. Les termes alchimie et chimie (en latin alchemia et chemia, ou alchymia et chymia) sont strictement synonymes jusqu'au début du XVIIIe siècle, avec notamment l'ouvrage polémique d'Étienne-François Geoffroy Des supercheries concernant la pierre philosophale (1722)[5]. Historique[modifier | modifier le code] Alchimie gréco-alexandrine[modifier | modifier le code] L'alchimie occidentale est née dans l'ancienne Égypte gréco-romaine à Alexandrie entre le Ie siècle av. le cuivre est Éa

Ésotérisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'ésotérisme désigne un ensemble de mouvements et de doctrines relevant d'un enseignement élitiste caché, souvent accessible par l'intermédiaire d'une « initiation ». Généralités[modifier | modifier le code] Le mot « ésotérisme » est d'origine grecque et, dans l'Antiquité, désignait habituellement des enseignements réservés à un petit nombre d'initiés, notamment au sein des Mystères, par exemple les Mystères d'Éleusis. Ce mot a aussi été utilisé, en Occident, pour désigner des enseignements ainsi que des courants, qui, au sein du christianisme, appartenaient à des milieux fermés qualifiés, pour la même raison, d'ésotériques et regroupés sous la dénomination générale d' ésotérisme chrétien auquel appartient en particulier l'hermétisme chrétien. Le mot « ésotérisme » est aussi utilisé à propos de l'islam pour désigner le soufisme, ensemble de doctrines de nature cachée et initiatique au sein de cette religion. Pierre A.

Mystères d'Éleusis Dans la religion grecque antique, les Mystères d’Éleusis (en grec ancien : τὰ μεγάλα μυστήρια, littéralement, « les Grands mystères »)[Note 1] faisaient partie d'un culte à mystères, de nature ésotérique, effectué dans le temple de Déméter à Éleusis (à 20 km à l'ouest d'Athènes). Au cours de leur évolution, les mystères d'Éleusis se sont ouverts d'abord à tous les Grecs, puis à tout homme ou femme, libre ou esclave, parlant grec. L'initiation comportait plusieurs degrés. Ces mystères étaient traditionnellement consacrés non seulement à Déméter et à sa fille Perséphone, mais aussi à Hadès, c'est-à-dire aux divinités de la terre et des morts, ainsi qu'à Dionysos sous son nom favori d'Iacchos auquel il a été assimilé[1],[Note 2] ; Dionysos était en effet intimement mêlé à la vie de la terre et de la végétation, et dans les rituels des Anthestéries et les fêtes des Halôa en Attique, il était associé aux divinités proprement chtoniennes[Note 3]. Le mythe[modifier | modifier le code]

Histoire de l'alphabet Systèmes d'écriture Le langage a d'abord été écrit au moyen d'images, simples illustrations mnémotechniques (un peu à la façon des signes actuels de la circulation routière), c'est le stade pictographique (exemple: écriture chinoise ou cunéiforme). Puis certaines images simplifiées furent choisies pour représenter des syllabes (exemples: hiéroglyphes égyptiens, katakana japonais) c'est le stade syllabique. Certains caractères furent ensuite pris pour représenter les sons fondamentaux du langage articulé : les bruits produits par la bouche ou la gorge (consonnes) ou les cordes vocales (voyelles), chaque signe correspondant à un son, c'est le stade alphabétique. Origine de l'alphabet Si différents systèmes d'écriture ont pu naître séparément à des époques et en des lieux divers (Mésopotamie, Égypte, Chine, Amérique précolombienne), il semble bien que les écritures alphabétiques aient une origine unique.. Pierre de Moab (ou stèle de Mésa). L'alphabet proto-sinaïtique Différents alphabets

Alphabet paléo-hébraïque Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'alphabet paléo-hébraïque (hébreu : כתב עברי ktav ivri ou, en hébreu moderne, כתב עברי עתיק ktav ivri atiq), également appelé ktav da'atz ou ktav ra'atz, est une ramification de l'alphabet phénicien utilisé pour écrire l'hébreu à partir du Xe siècle av. J.-C. jusqu'à son abandon au Ve siècle av. Origine[modifier | modifier le code] La plus ancienne inscription connue utilisant l'alphabet paléo-hébraïque est peut-être l'Ostraca de Khirbet Qeiyafa entre -1050 et -970. Ensuite vient peut-être le calendrier de Gezer datant de la fin du Xe siècle av. Des éléments en hébreu sont visibles parmi les inscriptions moabites de la stèle de Mesha. Développement[modifier | modifier le code] Les manuscrits hébreux ont évolué en développant de nombreux éléments cursifs, les éléments lapidaires de l'alphabet phénicien étant progressivement mis de côté avec le temps. Déclin[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code]

L’Origine du Monde Shambhala (mythe) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mythe de Shambhala, Shambhalla, Shambala ou Shamballa, d'origine hindo-bouddhiste, semble avec les personnages qui s'y rattachent être un creuset où se rassemblent toutes les croyances et les religions de l'humanité[réf. nécessaire]. Shambalha (tibétain bde byung) est un pays mythique, dépositaire de l'enseignement du kalachakra qui fut transmis par le Bouddha à la demande de son roi Suchandra. Il est décrit dans le Tantra Kalachakra et ses commentaires. Selon le 14e Dalai Lama[2], c'est une terre pure terrestre qui ne peut cependant pas être située sur une carte ; seuls y ont accès ceux qui ont acquis le karma convenable. Selon le tantra, le 25e roi de Shambhala reviendra dans le monde[3] pour en chasser les forces obscures et établir un âge d'or. Le thème du royaume parfait dissimulé dans l’Himalaya existe aussi dans le bön : il s’agit en l’occurrence du berceau de cette religion. Rigdan Tagpa ou Manjushrí Kírti, roi de Shambhala.

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