les besoins de l'enfant selon Maslow - Devenir Parents Les besoins de l’enfants selon la pyramide de Maslow Selon le Dictionnaire de psychopathologie de l’enfant et de l’adolescent, « en langage courant, le besoin désigne une exigence de la nature ou de la vie sociale supposant un assouvissement rapide. Il existe des besoins fondamentaux, besoins de considération, de dépassement. Niveau 1 : Les besoins physiologiques Doit être satisfait ou en partie satisfait. Niveau 2 : Le besoin de sécurité L’insatisfaction du niveau 2 de la pyramide engendrerait la peur chez l’enfant. Si l’enfant est sécurisé physiquement, il sera plus à même de se développer. La sécurité affective est une base pour l’enfant. Au moment du coucher, un enfant qui réclame régulièrement la même histoire Par exemple en demandant toujours la même histoire avant le couché, les enfants peuvent anticiper les choses, ce qui les rassure. Le doudou de l’enfant lui procure aussi une certaine sécurité car il se sent rassuré et important en « tant qu’individu relié à quelqu’un » F.
Repérage, troubles Dys et école - F8 - Accueillir un élève ayant des TDAH associés à des troubles des apprentissages F8 • Accueillir un élève ayant des TDAH associés à des troubles des apprentissages • Contexte et enjeux Pour bien apprendre dit-on, il faut être concentré, attentif. Partant de ce constat, comment faire avec des élèves qui souffrent de troubles de l’attention ? Comment aider les enfants à solliciter cette attention de manière durable ? Comment les enseignants peuvent-ils les accompagner pour mobiliser ces capacités d’attention ? Durée : 1 jour (7h). • Objectifs pédagogiques – À l’issue de la formation, les participants seront capables de : – Définir le trouble de l’attention avec ou sans hyperactivité et repérer ses manifestations spécifiques. – Identifier les impacts de ces Dysfonctionnements sur les apprentissages de l’élève et sur la personne de l’enfant et/ou de l’adolescent. – Posséder des références communes et un vocabulaire commun afin de faciliter les échanges au sein de l’équipe pédagogique. • Modalités pédagogiques et nombre de participants. Télécharger la fiche formation
Ateliers spécialisés pour les enfants présentant des troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité. Ateliers spécialisés pour les enfants présentant des troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité. Ces ateliers permettront de travailler avec les enfants, diverses situations qui leur posent problème, à travers des activités ludiques et encadrés par des professionnels spécialisés. 3 axes de travail : Comportemental (via des jeux de rôle et des histoires) Comment mieux gérer mon impulsivité ? Cognitif (via des jeux de société, des exercices cognitifs divers et des métaphores): Entraînement des différentes composantes de l’attention, prise de conscience du fonctionnement de son cerveau Créatif (via l’art-thérapie): Diverses activités « artistiques » (musique, expression corporelle, peinture, écoute et production de conte, jeu de marionnettes, etc) permettront aux enfants de s’exprimer au sein d’un groupe sécurisant et d’affirmer leur créativité Objectifs visés par ces ateliers : Qui sommes-nous ? D’un point de vue pratique: Où ? Quand ? 6 mercredis après-midi de 13h30 à 16h00. Comment ? Prix ?
Traumatisme de l’enfant victime de la guerre La guerre (mais aussi le refuge et le génocide) est une situation extrême qui nuit au développement physique et psychique harmonieux des enfants. Xavier GUIGUE (1993) explique merveilleusement bien que la guerre ne détruit pas uniquement des vies, elle détruit aussi « l’idée de vie, l’idée de l’homme, c’est le le sacrifice du langage, du symbolique ». Il nous montre que la guerre, en détruisant des structures telles que celles des systèmes éducatif ou médico-sanitaire, en remettant en cause les références et l’organisation familiale et sociale, empêche l’enfant de vivre sa condition d’enfant et le prive des éléments qui devaient participer à son développement. I. « Généralités, concept de PTSD et ses limites » Les personnes réfugiées et celles qui vivent ou ont vécu dans un environnement violent (guerre, génocide et répression politique en particulier) souffrent souvent de ce qu’on appelle un stress post-traumatique. II. « Manifestations du traumatisme psychologique chez l’enfant »
Je n'en peux plus du trouble d'opposition - Famille TDAH Eloïse Beaulé Entrepreneur et passionnée du web, Eloïse est aussi maman de 3 garçons dont 2 ont des diagnostics de TDAH. Elle écrit sur sa vie de famille touchée de près par le TDAH depuis 2009 et s'est donné pour mission de guider et d'orienter les familles vers les ressources et les outils pouvant soulager leur quotidien déjà rempli de défis. Latest posts by Eloïse Beaulé (see all) LE trouble d’opposition… ce trouble associé au TDAH, véritable calvaire pour les parents. Quand j’ai du mal avec fiston, je me tourne vers le spécialiste, Dr Benoît Hammarenger. C’est quoi exactement? D’abord, avant de conclure à un TOP (Trouble d’Opposition avec Provocation), il faut comprendre que les enfants sont tous en quête d’autonomie durant leur développement. Comment on sait si c’est bien le TOP? Le Dr Hammarenger identifie les signes suivants : Comment s’en sortir? Même si vous savez déjà ce qu’il faut faire pour vous sortir du cercle infernal de la confrontation, il est parfois bon de se les rappeler.
Quelles prises en charge pour les enfants présentant des troubles du comportement ? Quelles prises en charge pour les enfantsprésentant des troubles du comportement ? Un texte de Daniel Calin Lire aussi sur ce site un ensemble important de textes consacrés aux problématiques des troubles du comportement. Ce texte a servi de base à une conférence donnée à Arcachon, le 5 octobre 2007, dans le cadre du XXe congrès de l’AFPS, intitulé Regards pluriels enfant singulier (Quelle place à l’école pour l’enfant de la modernité ?). Il a été initialement publié en Mars 2008 dans les annales de ce congrès. Remarque préalableMalgré le titre de mon intervention, de par des contraintes de temps, j’ai décidé de centrer ma réflexion sur ce que je propose d’appeler les « enfants du chaos ». Des notions floues La notion de « troubles du comportement » est extrêmement floue(1). Ensemble de comportements négativistes, hostiles ou provocateurs, persistant pendant au moins 6 mois durant lesquels sont présentes quatre des manifestations suivantes (ou plus) : N.B. Toutefois, les esprits évoluent.
TRAUMATISMES DE GUERRE CHEZ L'ENFANT ET CONSEQUENCES MNESIQUES Lionel BAILLYPsychiatre des Hôpitaux, Unité de Psychopathologie de l'enfant CH Sainte Anne, Paris Les guerres sont par définition des catastrophes humaines. Moments de rupture sociale et historique, elles mettent en péril l'existence des sociétés et donc celle de la socialisation. C'est pourquoi elles s'accompagnent d'un luxe inouï de précautions symboliques. De la déclaration de guerre à l'uniforme des soldats, des grades à la discipline (militaire ...) des conventions de Genève à la cour martiale, tout est prévu pour en atténuer les effets dévastateurs. La guerre est donc par essence faite de destruction et de meurtre et toute la population à des degrés divers y est confrontée. Au plan individuel, le traumatisme survient lorsque le sujet acteur ou témoin de l'événement est soudain confronté à une émotion si forte qu'elle déborde ses capacités de traitement. Ce souvenir obsédant est envahissant et vient prendre la place de la vie psychique. [retour]
Trouble de l'opposition: les solutions | Dre Nadia Gagnier, collaboration spéciale | Dre Nadia J'aimerais remercier les gens qui m'ont fait ce commentaire, et les rassurer en précisant que bien souvent, le simple fait de pouvoir bien identifier une problématique chez son enfant, d'en reconnaître les symptômes et de savoir qu'il faut consulter peut déjà soulager et guider beaucoup de parents. Cette critique constructive m'a tout de même permis de réfléchir au fait que bien que tous les enfants ne souffrent pas du trouble de l'opposition, les solutions qui s'appliquent habituellement à ce trouble peuvent tout de même servir à tous les parents. J'ai donc décidé d'approfondir cette chronique en y développant une suite... Mais avant de proposer les solutions, permettez-moi de résumer le contenu de la chronique de la semaine dernière, pour ceux qui ne l'auraient pas lue... Plusieurs parents sont surpris lorsque leur enfant défie leur autorité, parce qu'ils s'attendent à ce qu'il respecte les consignes de façon automatique ! Les symptômes - Perd le contrôle de sa colère
Serge Tisseron En septembre 2005, paraissait le rapport de l’Inserm sur « les troubles de conduite chez l’enfant et l’adolescent ». Il devenait évident qu’il était impossible de continuer à ignorer les troubles de conduite chez certains jeunes enfants, caractérisés notamment par l’agressivité, et leurs conséquences désastreuses pour l’école, les familles, mais aussi pour ces jeunes eux-mêmes. Et il était évident aussi qu’il fallait agir de bonne heure. Mais comme beaucoup, l’idée proposée dans ce rapport de détecter et traiter les « enfants à risque », notamment de manière pharmacologique, dès l’école maternelle, voire dès la crèche, me choquait. C’est courir le risque d’imputer aux enfants des responsabilités découlant de leurs parents et, au-delà d’eux, des milieux sociaux. C’est aussi celui de stigmatiser certains enfants aux yeux de leur enseignant, voire de leur camarades, avec le danger de voir des prédictions se « réaliser », selon une dynamique aujourd’hui bien connue.
L’impact psychologique des traumatismes et son traitement Psychologie scientifique par Jacques Van Rillaer - SPS n° 294, janvier 2011 « Que laisser de côté et que garder ? La grande majorité des êtres humains et des animaux subissent au moins occasionnellement des situations stressantes ou traumatisantes. L’état de stress post-traumatique À la fin du XIXe siècle, une controverse est née à la suite des demandes de dédommagement de la part de victimes d’accidents de chemin de fer, pour leurs troubles « nerveux ». Le mot « stress » a été utilisé en 1936 par le physiologiste canadien Hans Selye pour désigner « la réponse non spécifique de l’organisme à toute sollicitation » (2). Le DSM Le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM) établit une classification des troubles qui fait autorité dans l’ensemble de la communauté des psychiatres et psychologues d’orientation scientifique. Ce manuel évolue à travers le temps. Nous utilisons la 4e édition, publiée en anglais en 1994 (éd. Des bénéfices psychologiques de traumatismes ? 1. 2. 3.
La période du « non » chez l’enfant | Babilou La « période du non », aussi appelée « phase d’opposition » est une période tout à fait normale, par lesquels tous les enfants passent et qui est essentielle à leur développement. Parfois très éprouvante lorsque l'on est parents, cette période peut être source de beaucoup d’inquiétudes. Si vous en ressentez le besoin, n'hésitez pas à en parler et à demander des conseils autour de vous. A quel âge apparaît la phase d’opposition ? La période du non a généralement lieu entre les 18 mois et les 2 ans de l’enfant. La phase d’opposition, bien que difficile à vivre pour les parents, est également un signe positif du développement de votre enfant. Lors de cette période, le « non » de l’enfant à tendance à se cristalliser autour de certains moments. A cette période, l’enfant peut aussi vouloir dire non de manière systématique, parfois même sans le penser. La période du non : comment l’accueillir en tant que parent ? Accueillir les émotions qui accompagnent la phase d’opposition
Bouger permet aux enfants hyperactifs (TDAH) d'être alertes et de se concentrer Les enfants avec et sans le TDAH restaient assis relativement tranquilles alors qu'ils regardaient le film Star Wars en même temps qu'ils coloriaient avec un logiciel de dessin. Mais tous les enfants devenaient plus actifs quand ils devaient retenir des lettres, des chiffres et des formes générées par ordinateur pour accomplir une tâche. Les enfants ayant le TDAH devenaient significativement plus actifs que les autres, bougeant leurs mains et leurs pieds et pivotant sur leurs chaises. Selon l'auteur, les enfants ayant le TDAH ont besoin de bouger plus pour maintenir le niveau requis de vigilance quand ils exécutent des tâches exigeantes pour la mémoire de travail, un type de mémoire à court terme (1). Ils ont de la difficulté à rester assis sans bouger à moins d'être dans un environnement très stimulant dans lequel ils n'ont pas besoin d'utiliser beaucoup leur mémoire à court terme. (2) Menée par la psychologue Jackie Andrade de l'Université de Plymouth. Psychomédia avec source:Eurekalert