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La boutique contre le bazar

La boutique contre le bazar
Imaginons le web comme une ville. Avec son centre : urbain, social ; avec ses activités : trouver un job, faire ses courses ; avec ses services ; Et puis avec sa banlieue mal famée, ses quartiers "chauds" (spywares, spams et malwares). L'article du NYTimes "The Death of The Open Web" (intégralement traduit sur Framablog) file cette métaphore jusqu'à nous amener dans l'une de ces si typiques entrées de mégalopoles modernes : les zones de chalandise que constituent les "magasins" ou autres boutiques, plus précisément celles d'Apple (avec l'IPhone et l'Ipad notamment, puisque ce sont là les deux éléments centraux dudit article). "People who find the Web distasteful — ugly, uncivilized — have nonetheless been forced to live there: it’s the place to go for jobs, resources, services, social life, the future. Toujours selon les termes de l'article, nous serions ainsi les témoins d'une "urban decentralization, suburbanization and the online equivalent of white flight." White flights.

digital journalism » Article » L’envol sous CC Favoriser le duplicate content, ce n'est pas uniquement prendre le risque "de [s]e faire bien baiser pour parler crument", comme l'a expliqué Keeg dans un billet. Le choix du Creative Commons présente aussi des avantages. Titre Original : Passer ses textes sous licence Creative Commons, c’est bien. Je suis à peu près certains que les blogueurs sont très majoritairement favorables aux idées globales de diffusion et de liberté. Pourtant, une grande majorité des blogs ne sont surtout pas en Creative Commons. C’est par ces mots que commence un billet fort incisif, “Le cocktail favori de Google : Creative Commons et duplicate content” publié par Keeg sur le blog du même nom. C’est un fait que si les licences Creative Commons permettent de réserver certains droits (comme l’usage commercial ou la création d’œuvres dérivées), elles autorisent toutes la reproduction et la rediffusion des contenus , ce qui implique que les textes sous CC puissent exister en plusieurs endroits sur la Toile.

The Medium - The Death of the Open Web People who find the Web distasteful — ugly, uncivilized — have nonetheless been forced to live there: it’s the place to go for jobs, resources, services, social life, the future. But now, with the purchase of an or an , there’s a way out, an orderly suburb that lets you sample the Web’s opportunities without having to mix with the riffraff. This suburb is defined by apps from the glittering App Store: neat, cute homes far from the Web city center, out in pristine Applecrest Estates. In the migration of dissenters from the “open” Web to pricey and secluded apps, we’re witnessing urban decentralization, suburbanization and the online equivalent of white flight. The parallels between what happened to cities like Chicago, Detroit and New York in the 20th century and what’s happening on the Internet since the introduction of the App Store are striking. Like the great modern American cities, the Web was founded on equal parts opportunism and idealism. Still don’t really know what an app is?

Apple ou le carré VIP du Web Quelques rares voix discordantes ont réussi tant bien que mal à émerger du concert de louanges médiatiques qui a accompagné la sortie toute récente de l’iPad en France. Pourquoi je n’achèterai pas un iPad nous a ainsi expliqué Cory Doctorow. L’iPad, c’est de la merde ! surenchérissait Tristan Nitot dont la formule lapidaire est d’autant plus marquante que le garçon est d’ordinaire calme et courtois (il s’en justifie plus longuement sur Mac4Ever). Et puis il y a eu également ce brillant exposé d’Affordance.info, dont le titre La boutique contre le bazar en rappelle un autre. La mort du Web ouvert The Death of the Open Web Virginia Heffernan - 17 mai 2010 - The New York Times(Traduction Framalang : Barbidule et Goofy) Le Web est une gigantesque et foisonnante zone commerciale. Les gens qui ne trouvent pas le Web à leur goût – trop affreusement barbare – sont pourtant bien obligés d’y vivre : c’est là qu’on peut chercher du travail, des ressources, des services, une vie sociale, un avenir.

Créer et gérer soi-même sa propre campagne Adwords | Web marketi Créer une campagne Adwords? “Pff, facile…” vous allez me dire. Et bien oui, c’est facile en soi à créer une campagne Adwords, c’est facile de se retrouver présent dans les liens sponsorisés de son choix. Là où c’est compliqué, c’est d’etre présent et d’en plus de gagner de l’argent. Alors vous pouvez toujours fermer les yeux et croiser les doigts, ca marche parfois. Ou vous pouvez également suivre ce mini guide qui aidera les personnes les plus débutantes à se lancer bien armé dans le monde du référencement payant. Une fidèle lectrice du blog je suppose... Géolocalisation, choisir les bons mots clés pour les bonnes annonces, etc. Les bases Si vraiment Adwords est pour vous un mot chinois, je vous recommande vivement d’aller faire un tour sur la page decryptant les bases des bases du référencement payant. On imaginera dans le cas contraire que vous avez déjà mis un minimum les mains dans le camboui. Petit rappel express pour ceux qui n’ont que de vagues souvenirs. Les mots clés Géolocaliser

#pdlt : L’effondrement des modèles économiques complexes « Inter Xavier de la Porte, producteur de l’émission Place de la Toile sur France Culture, réalise chaque semaine une intéressante lecture d’un article de l’actualité dans le cadre de son émission. Désormais, vous la retrouverez toutes les semaines aussi sur InternetActu.net. Clay Shirky est américain. Il est à la fois journaliste, écrivain et enseignant, il s’intéresse particulièrement aux interactions entre réseaux et culture. Il fait partie des gens qui sont très écoutés aux Etats-Unis et au-delà. Shirky raconte avoir donné il y a un an une conférence devant un parterre de décideurs de la télévision. Selon Shirky, il est très compliqué de répondre à cette question. Ces prémisses sont doubles. Et Shirky va s’employer à nous montrer pourquoi. L’addition des degrés de complexité dont la bureaucratie est un exemple finit par rendre une société si rigide que, quand survient une grosse crise, elle s’effondre. Selon Shirky, elle est bien là la réponse à donner aux dirigeants des chaînes de télé.

The Tragic Death of Practically Everything Wired Editor in Chief Chris Anderson is catching flak for the magazine’s current cover story, which declares that the Web is dead. I’m not sure what the controversy is. For years, once-vibrant technologies, products, and companies have been dropping like teenagers in a Freddy Krueger movie. Thank heavens that tech journalists have done such a good job of documenting the carnage as it happened. Without their diligent reporting, we might not be aware that the industry is pretty much an unrelenting bloodbath. After the jump, a moving recap of some of the stuff that predeceased the Web–you may want to bring a handkerchief. Internet Explorer, as you’ll recall, died in 2004. In 2005, the Macintosh suffered a trauma which inevitably led to its death earlier this year. Linux absolutely, positively died in 2006. The venerable technology known as TV died in 2006. too. By 2007, Microsoft Office had bit the big one. Microsoft itself also passed away in 2007. The iPod definitely died last year.

Effet de serfs sur la Toile Internet serait-il en train de devenir la matrice d’un nouveau système féodal, où une poignée de grands seigneurs exploitent des légions de serfs ? Et non cette société de pairs tant célébrée ? On avait déjà l’impression ces derniers temps, en se baladant sur le Net, d’une foule de gueux faisant la manche en ligne, histoire de récupérer quelques sous auprès des généreux internautes afin de réaliser un film, sortir un disque ou financer une ascension au Népal. Ce dont l’internaute se doute moins, c’est qu’il est lui-même exploité, souvent à son insu. Le système Recaptcha tient également du crowdsourcing. Ce parasitage est pratiqué à grande échelle sur le Web. En échange de la mise à disposition de plateformes d’hébergement (YouTube, Facebook, MySpace…), l’amateur est convié à produire des textes, des images, des vidéos afin de générer du trafic, qui pourra être monétisé, tout comme les quantités de données personnelles qu’il génère.

Internet dépasse la publicité extérieure dans le mix média - Jou En avril 2010, Internet conserve une part stable dans le mix média des annonceurs, mais constitue dorénavant le quatrième média publicitaire en France. Les annonceurs ont dépensé en France un peu plus de 234 millions d'euros bruts en publicité en ligne au mois d'avril 2010, selon l'Adex Report publié par Kantar Media. Cela représente 10,9 % d'un marché publicitaire pesant 2,1 milliards d'euros bruts tous médias confondus. Une part stable par rapport à mars 2010 (lire l'article La part d'Internet dans le mix média passe la barre des 10 %, du 20/04/2010). Cependant, en quatrième position, Internet gagne une place dans le classement des médias publicitaires par rapport à mars 2010. Parmi les secteurs qui investissent le plus en e-publicité au mois d'avril 2010 figurent celui de la banque-assurance avec 26,3 millions d'euros bruts, suivi par les secteurs de l'automobile et du voyage, ayant chacun investi 23,9 millions d'euros bruts.

Ebooks libres gratuits MONNIER, THYDE :Travaux - « Les Desmichels » volume V - Romans Attention: téléchargement non autorisé dans certains pays. Lire la note sur le droit d’auteur. Auteur décédé en 1967..Une équipe d'ouvriers italiens, beaux garçons et fieffés coureurs, qui s'installe pour de grands travaux dans un village provençal brûlé de soleil et de passions secrètes, voilà de quoi bouleverser femmes et jeunes filles. Tim Berners-Lee: Facebook could fragment web | Technology Facebook, LinkedIn and other social networking sites represent "one of several threats" to the future of the world wide web, its founder, Sir Tim Berners-Lee has warned. Some of the web's "most successful inhabitants", such as Facebook and large telecoms companies, have begun to "chip away" at its founding principles, Berners-Lee wrote in a Scientific American journal essay published today. Social networking sites that do not allow users to extract the information they put into them is a "problem" that could mean the web is "broken into fragmented islands", he said. Google accused Facebook earlier this month of leaving its 600 million users in a "data dead end" with their contact details and personal information "effectively trapped". Although Facebook recently began allowing users to download profile information including status updates and photos, the world's most popular social network has been roundly criticised for leaving users' network of contacts "walled" inside its own site.

« Nous n’exploitons pas le réseau, c’est le réseau qui nous expl Matteo Pasquinelli est chercheur à la Queen Mary University de Londres. Dans son livre Animals Spirits (1), le théoricien des médias identifie les conflits sociaux et les modèles économiques à l’œuvre derrière la rhétorique de la culture libre. Dans votre livre, vous critiquez le «digitalisme» contemporain, soit la croyance selon laquelle Internet est un espace libre de toute forme d’exploitation, qui nous mènerait naturellement vers une société du don. Nous pensions qu’Internet était une sphère en constante expansion, capable d’avoir une incidence sur notre société. Dans son livre la Richesse des réseaux , Yochai Benkler déclare que l’information n’est pas en concurrence, et prédit un mode de production non compétitif. Non seulement Benkler, mais de nombreux économistes croient que l’information et le savoir sont des ressources infinies et que chacun peut y participer et en profiter à l’âge du numérique. Vous observez que cette économie du Net mène à un déclassement. Marie LECHNER

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