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Histoire de Hackers

Histoire de Hackers
En 2006, Jonathan Zittrain, professeur à la Faculté de Droit de Harvard, voyait dans la prochaine décennie celle d'un effort résolu pour remplacer l'ordinateur personnel par une nouvelle génération «d'appareils d'information». Et il avait, semble-t-il aujourd'hui, complètement raison. Mais une chose qu'il ne pouvait prédire était l'identité du premier à donner l'assaut. Comment, en effet, quelqu'un pouvait-il deviner qu'Apple, le créateur de l'ordinateur personnel, conduirait la marche vers son extermination? Il y a de nombreuses choses intéressantes à dire au sujet de l'iPad. Il pourrait sauver l'édition, la télévision, et le journalisme. publicité Il pourrait aussi transformer à nouveau les Américains en ces créatures passives sur leurs canapés, comme dans les années 1950. Apple est une entreprise schizophrène, une révolutionnaire autoproclamée étroitement liée aux forces consensuelles que sont les conglomérats du divertissement et l'industrie des télécommunications. Tim Wu

Google Hacking, outil inédit de recherche d'ebooks Dans les premiers temps de l'internet démocratisé, l'un des outils favoris des internautes était le Google Hacking, un outil permettant de repérer des éléments particuliers sur la toile, au travers d'une recherche qui s'est largement démocratisée. Au travers de ces recherches, on pouvait trouver des documents Excel, des adresses mails, profiter de webcams... ou trouver des fichiers MP3 et vidéo. La plupart du temps, ces recherches servaient d'ailleurs à alimenter son disque dur en fichiers illégaux. Alx, (CC BY-NC-SA 2.0) « Le Google Hacking est une technique consistant à détourner la puissance de récupération d'informations par Google afin de retrouver des données en jouant avec les différents paramètres fournis par le moteur de recherche. Au commencement, était la faille Le Google Hacking posait de sérieux problèmes, puisqu'il permettait de trouver des failles de sécurité dans un site. En somme, du piratage de grande échelle était possible. Un moyen de dire "merde" À bon entendeur...

Dial-A-Joke Dial-A-Joke refers to a telephone service that users can call to listen to previously recorded jokes. Jokes are recorded on an automatic answering machine. In the past, many jokes were recorded on cassette tape and then played sequentially, each caller hearing the next joke on the tape. Modern touch tone phones allow callers to select different joke types: knock-knock, joke of the day, professional humor, random, etc. Dial-A-Joke operators will sometimes actually answer the phone, which is called taking a live call. The Original Dial-A-Joke by Mark Robbins, Ira Goldstein, Ben Weinberg and Jan Lucas[edit] 881-2345 Telephone Entertainment Line was created in 1971. The Dial-A-Joke answering machine was located in the apartment of Mark Robbins and Ira Goldstein on Yarmouth Street in Encino, California. The four got a rubber stamp made that said “Dial-A-Joke ###-####” and stamped hundreds of business card sized pieces of paper and then passed them out in local malls. See also[edit] Dial-A-Song

La prochaine révolution ? Faites-la vous même ! Les hackers ne s'intéressent pas qu'aux logiciels, mais font aussi dans le "Do It Yourself". Et quand ils s'en prennent aux objets, le résultat est souvent étonnant. Petit tour du monde du DIY. Article traduit en espagnol : ¿La próxima revolución? “Dans la prochaine révolution industrielle, les atomes seront les nouveaux bits“ En janvier 2010, Chris Anderson, rédacteur en chef de Wired et auteur de La longue traîne, tentait ainsi de résumer la révolution en cours du Do It Yourself (DIY, Faites-le vous même, en français). Chris Anderson évoque ainsi la Rally Fighter, la première voiture de course “open source” (ses spécifications sont “libres“), développée de façon communautaire, en mode “crowdsourcing” (du nom donné au fait d’utiliser la créativité, l’intelligence et le savoir-faire d’un grand nombre d’internautes). Pour lui, c’est une véritable révolution, non seulement industrielle, mais également dans le rapport que l’on entretient avec les technologies, les objets. La Fab@Home

Netlinking exemple pratique > Actualités Référencement Actualité du 16/09/2011 Aujourd'hui, Google se base sur deux éléments essentiels pour positionner les sites dans ses résultats de recherche. Le contenu du site (arborescence, redactionnel, linking interne) et les liens en provenance d'autres sites. C'est ce deuxième critère que nous détaillons aujourd'hui, car ce point fait souvent défaut dans nos constats lors d'audit de référencement. Dans la pratique, les référenceurs appellent celui-ci le netlinking. Le principe du netlinking consiste à créer un maillage complet de sites qui feront pointer des liens vers le site principal. L'effet recherché est de positionner au mieux les diverses pages du site principal. Une image pour tout comprendre : Ce schéma de netlinking est un exemple, il pourra être appliqué partiellement. Explications : 1 : Le site principal doit d'ores et déjà être correctement optimisé pour bénéficier au maximum des liens qu'il va recevoir. 3: Un blog associé au site est un bon moyen d'envoyer des liens. + Sylvain Richard

Dial-A-Joke Telephone Entertainment Phone Recordings Jokeline Pa Aerial 3D: Amazing System Shows 3D Objects In Mid-Air, With No Screen (Video) Since 2006, Tokyo-based Burton has been working on Aerial 3D, a technology that makes it possible to produce pictures in 3D in mid-air or underwater – without using a screen (that’s what I call “True 3D Technology” indeed). Burton says their laser-based system is the only one of its kind. The current system projects 3D objects at 50,000 dots per second (up from around 1,000 in 2006) and with a frame rate of 10-15. The Aerial 3D works by focusing laser light, producing “plasma excitation from the oxygen and nitrogen in the air”. As you can see in the video below, the technology still leaves some room for improvement regarding picture quality (Burton currently tries to boost the frame rate), but the 3D objects can be seen floating in mid-air clearly: Video courtesy of Diginfo TV

iPad: Confessions d’un addict… énervé - Transnets - Blog LeMonde Aaaah l'iPad… je ne sais pas si je devrais avoir honte mais, après avoir émis de sérieuses réserves , j'ai craqué. J'en ai acheté un. Je m'en sers depuis trois semaines et je suis séduit. J'ai pris le modèle le moins cher, à 500 dollars. L'écran est fabuleux et je m'en sers pour surfer sur le web, voir des programmes télé et lire des journaux. Pour travailler (écire) j'utilise le petit clavier Bluetooth d'Apple, bien plus commode que le virtuel intégré. Ceci dit l'appareil n'est pas vraiment commode à manipuler et j'ai eu des difficultés de connexion avec au moins un point d'accès WiFi. Les piles durent longtemps (pas loin des dix heures promises) mais il faut plus d'une nuit pour les recharger. Pour ceux qui se demandent si ce gadget peut sauver les journaux, la réponse est très simple: c'est non. L'ironie c'est que l'application Kindle me permet de lire sur mon iPad les livres que j'achète sur mon compte Amazon et que je lisais avant sur mon Kindle. Ça m'énerve. Alors?

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