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La génération D. et les retraites

La génération D. et les retraites
La réforme des retraites se profile comme thème d'actualité n°1. Dans les reportages télé, on trouvera toujours des jeunes pour affirmer d'un air concerné face caméra que «oui, le problème des retraites me préoccupe vraiment», les syndicats étudiants vont s'inviter dans les négociations. Pourtant, dans le fond, la plupart des jeunes (20 ans) et des moyens jeunes (28 ans), n'en ont, disons-le tout net, rien à foutre. Ça peut sembler dommage mais c'est comme ça. La retraite... Alors comment dire... Mais il y a pire. publicité Stagiaire dans l'âme Ce que dit cette indifférence, c'est que les jeunes ont un rapport complètement différent au travail, au salariat et à l'Etat. Si on entend régulièrement louer le système des stages — et en partie à raison — il faut tout de même voir que ça inaugure une nouvelle mentalité. De toute façon, pour être stagiaire, il vaut mieux oublier toute notion de code du travail, à moins de sombrer dans l'amertume et la dépression. Pas de bras, pas de chocolat

A Oxford, les taxis devront enregistrer les conversations des passagers Vivement que ça n'arrive jamais en France. La BBC rapporte que le Conseil municipal de la ville d'Oxford a adopté un arrêté qui fera obligation aux taxis d'enregistrer toutes les conversations de leurs passagers via une caméra de surveillance installée à l'arrière de leur véhicule. Le respect de cette obligation sera imposé à travers les renouvellements de licences accordées aux chauffeurs à partir du mois d'avril 2015, ou dès le 6 avril 2012 pour les conducteurs qui demanderont alors leur première licence de taxi. Une conseillère de la ville explique que les caméras tourneront en permanence pour enregistrer l'image et le son, et que les enregistrements seront conservés sur un disque dur pendant 28 jours. Evidemment, l'arrêté soulève l'indignation des associations de protection de la vie privée. (illustration : cc palindrome6996)

La « marchandisation du corps humain » : les incohérences et les usages réactionnaires d’une dénonciation Il serait absurde de nier l’importance, dans notre société, de l’idée que les produits et les éléments du corps humain ne sont pas des « marchandises », des choses qu’on peut vendre ou acheter. C’est cette idée que le principe de non commercialisation du corps humain est censé exprimer. Une bonne partie des lois bioéthiques reposent sur ce principe. Toute la question est de savoir pourquoi cette idée et ce principe occupent une telle place dans nos jugements moraux et légaux. Est-ce pour des raisons éthiques profondes, éternelles, universelles, comme le respect dû à la personne humaine et au corps qui la représente ? À mon avis, la deuxième réponse est la bonne. Dans toutes les sociétés, il y a des choses qu’on peut vendre et acheter et d’autres pas. Que signifie « marchandisation » ? Tous ceux qui s’intéressent au débat public savent qu’il existe des notions contagieuses qui, loin d’éclairer le débat, contribuent à le rendre impossible. Autre chose. Réponses socio-historiques

Cet article fait pas mal parler de lui je crois (repris une dizaine de fois dans mon feed Facebook) by PED May 26

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