Publicité et Environnement Janvier 2007 Notre constat : de plus en plus de publicités font une utilisation abusive et mensongère de l'argument écologique en vantant les qualités écologiques d'activités et de produits en réalité polluants. Cet usage abusif trompe le consommateur sur la réalité du produit et vient à l'encontre des efforts des associations pour l'inciter à consommer de manière plus responsable. Cela s'appelle faire du blanchiment écologique (voir la définition et les méthodes des entreprises). Ces comportements sont possibles à cause de l'insuffisance du contrôle de la publicité effectué par le BVP (voir notre expertise et nos critiques). Nos objectifs (Voir nos 6 objectifs). Nos propositions de réformes : nous réfléchissons actuellement à des propositions de réformes qui permettraient que nos objectifs soient pris en compte, notamment par le biais d'une réglementation plus contraignante. Et pour aller plus loin: de la documentation et des liens Internet.
ecoblanchiment - Accueil L’écoblanchiment est une technique qui s’étend avec la mode écolo, sans que, pour autant, organismes privées ou institutions publiques souhaitent réellement changer de mode de productions ou de politique publique. Ainsi voit-on se développer des vraies fausses actions de développement durable. Grâce à ce site, les Verts souhaitent montrer du doigt ces fausses actions écologiques qui ralentissent la mise en œuvre d’une vraie sensibilisation, et donc, de véritables transformations collectives, publiques et industrielles, dont l'objectif est la protection de l’environnement. Cet écoblanchiment concerne ainsi aussi bien les politiques publiques que celles menées par les entreprises. Nous souhaitons ici pointer principalement un domaine qui reste le plus symbolique et omniprésent dans notre champs de représentations, des qui influe avec constance tous nos sens, et, de ce fait chercher à changer nos comportements dans tous les moments de la vie « moderne » : la publicité.
Greenwashing « Ecologie Etant végétarienne depuis pas mal de temps maintenant, cela fait quelques années que je n’ai pas mis les pieds chez McDonald’s. En toute logique, j’ignore donc quasiment tout de la multinationale, hormis les publicités que je suis obligée de me farcir au cinéma. Et puis par une belle journée d’automne, alors que je me baladais au centre ville, un fait m’a frappé : McDonald’s n’est plus rouge et jaune, mais vert et jaune. Couleur écolo, quoi, comme le bouchon vert de la lessive sans phosphate, celui du démaquillant écocert à l’aloé vera, ou encore l’étiquette verte de la bombe anti-moustique qui zigouille l’insecte tout en protégeant l’environnement (on ne rigole pas, c’est marqué dessus, alors c’est certainement une indubitable vérité). Mais parfois, quelques images valent mieux qu’un long discours ! Ainsi, voici un petit avant/après de certains produits ou logos qui ont visiblement subi un greenwash : Share and Enjoy
Everyone Be Green Argument écologique et blanchiment écologique des entreprises. Qu'est-ce que l'abus de l'argument écologique ? L'argument écologique permet de vanter dans une publicité ou sur un emballage les caractéristiques écologiques d'un produit ou service, ou ses avantages pour la protection de l'environnement. Du fait de l'engouement actuel pour des produits plus respectueux, d'une part, cela permet d'orienter le consommateur dans ses choix, et d'autre part, cela pousse les entreprises à innover pour modifier leur offre. Or, depuis quelques années, de plus en plus de produits et services sont présentés comme "écologiques", "protégeant la nature" ou "protégeant l'environnement", alors que l'intérêt du produit ou du service pour la nature est minime, voire inexistant. C'est d'autant plus critiquable que l'argument écologique est très utilisé pour les produits et par les entreprises les plus polluants : voitures, produits chimiques, sociétés pétrolières... La conséquence immédiate de l'abus de l'argument écologique :
Bienvenue dans l'ère du «greenwashing»: les nouvelles astuces pour vendre plus vert Temps de lecture: 4 min Vos diesels polluent trop? L’huile de palme plombe vos ventes? Pour faire oublier aux consommateurs ces accrocs, quelques astuces –que les mauvaises langues qualifient de «greenwashing» voire d’«écoblanchiment»– peuvent permettre d’assurer un beau bilan commercial, à défaut d’un beau bilan carbone. Après plusieurs années de repli, ces pratiques qui lavent plus vert sont de retour et ont su se faire une place de choix dans les stratégies commerciales et publicitaires des marques et des entreprises. Ce fut particulièrement le cas au moment de la COP21, cette grand-messe climatique organisée par les Nations unies fin 2015; le greenwashing ne manqua pas de s’inviter au cœur des négociations, malgré quelques tentatives de dénonciation. Ces stratégies visant à verdir les produits sont tout particulièrement utilisées dans le design des produits, l’emballage ou encore les arguments publicitaires. Du vert ou du bleu Un nom dans l’air (pur) du temps Temps de lecture: 4 min
L'éco consommation Définition de l'éco consommation ou consommation responsable L'éco consommation est une expression nouvelle. Elle représente un mode de consommation compatible avec un développement durable et une gestion rationnelle des ressources naturelles. A titre secondaire, elle veille au respect des droits des consommateurs (qualité et la sécurité des produits ; disponibilité sur le marché). L'éco consommation repose sur une modification des comportements de consommation qui impliquent de réfléchir sur les choix lors de l'achat et de l'utilisation des produits et des services. Ce nouvel état d'esprit de consommation, conduit le consommateur à prendre en compte et même parfois à s'impliquer dans la façon de traiter les déchets issus de cette consommation. Fondements, enjeux et objectifs de l'éco consommation Les fondements de l'éco consommation Les enjeux de l'éco consommation Les objectifs de l'éco consommation Définition de l'éco consommation ou consommation responsable
1 % pour la planéte Through our current campaign, Our Common Waters, and with exposure to increased oil and gas development near our homes and communities, we have grown concerned about hydraulic fracturing (commonly called “fracking”) and its impact on water, air, soil, wildlife habitat, and human health. Over 90% of oil and gas wells in the U.S. use fracking to aid in extraction, and many fracking fluids and chemicals are known toxins for humans and wildlife. For decades, natural gas (methane) deposits were tapped by single wells drilled vertically over large, free-flowing pockets of gas. Then came fracking, a water- and chemical-intensive method that promised the profitable extraction of natural gas trapped in shale. [Above: A natural gas fracking site in Erie, Colorado across the field from an elemetary school. Photo: Topher Donahue] One fracking well uses an average of 2 million to 8 million gallons of water over the life of the well, one to two percent of that total are various chemicals.
Avis d'Expert : Greenwashing ou éco-blanchiment La communication sociétale et le greenwashing : Effets sur le consommateur, Atouts et Risques pour les marques. Entretien avec Florence Benoit-Moreau, Maître de Conférences à l’Université Paris-Dauphine au sein du groupe Marketing & Stratégie, et membre du laboratoire de recherche DRM (Dauphine Recherche en Management) Bonjour, vous venez de rejoindre en septembre 2009 le groupe Marketing & Stratégie de l’Université Paris-Dauphine en tant que Maître de Conférences, et à ce titre vous serez particulièrement impliquée dans le Master Marketing. Pourriez-vous tout d’abord présenter les grandes lignes de votre parcours ? Mon intérêt pour le Marketing, puis son enseignement, s’est développé rapidement, alors que j’étais étudiante à HEC Paris (Promotion 1999), en Majeure Marketing. J’ai ensuite eu la chance de débuter ma carrière au sein du BCG (Boston Consulting Group), l’un des cabinets leaders en Conseil en Stratégie. Mais quels risques sont donc perçus par les entreprises ? Greenwashing...
Greenwashing : une arme marketing utilisée par les grandes marques de mode L’ADEME (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) définit le greenwashing comme la méthode utilisée par les entreprises afin d’orienter certaines actions marketing et communicationnelles vers un positionnement écologique. De la mode au cosmétique, force est de constater que depuis l’expansion croissante du modèle écologique, les grandes marques ne se gênent pas pour s’auto-qualifier d’ « éco-responsable ». Qu’il s’agisse d’un simple coup de pub ou d’un réel engagement, il est difficile de déceler le vrai du faux quant à l’implication environnementale des plus grandes firmes. S’agit-il d’une arnaque marketing parsemée de vert ou d’une marche active vers une reconversion des méthodes de production ? Greenwashing : quand l’écologie fait vendre Le terme parle de lui même : entre « green » et « brainwashing » (lavage de cerveau) ce procédé associe une image écologique et responsable à une marque. Comment lutter contre le greenwashing ?
Éthique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Trois questions construisant le « triangle de l'éthique » : je veux, je peux, je dois. L’éthique (du grec ηθική [επιστήμη], « la science morale », de ήθος (« ethos »), « lieu de vie ; habitude, mœurs ; caractère, état de l'âme, disposition psychique » et du latin ethicus, la morale[1]) est une discipline philosophique pratique (action) et normative (règles) dans un milieu naturel et humain. Elle se donne pour but d'indiquer comment les êtres humains doivent se comporter, agir et être, entre eux et envers ce qui les entoure. Il existe différentes formes d’éthique qui se distinguent par leur degré de généralité (l’éthique appliquée par exemple ne possède pas le degré de généralité de l’éthique générale). Définition[modifier | modifier le code] Justification[modifier | modifier le code] L'éthique regroupe un ensemble de règles qui se différencient et complètent les règles juridiques. Objet de l'éthique[modifier | modifier le code]
Greenwashing : quand la publicité se fait verte En matière de publicité, le vert est à la mode. La protection de l'environnement devient même un argument de vente et un faire-valoir, y compris là où on l'attend le moins. Cette nouvelle tendance a un nom : greenwashing. Greenwashing : à nouveau phénomène, nouveau mot Si le mot "greenwashing" ne vous dit rien, vous avez en revanche déjà certainement remarqué que certaines publicités n'hésitent pas à vanter les mérites écologiques de produits qui sont tous sauf verts. Coup de peinture verte dans la publicité Le greenwashing désigne ainsi une attitude peu louable de la part des entreprises, visant à exagérer les performances environnementales d’un produit ou d’une marque. D’ailleurs, plus un produit s’avère polluant ou peu naturel, plus celui-ci est susceptible de faire l’objet de publicité relevant du greenwashing. A défaut de pouvoir échapper au greenwashing (comme la publicité, il est partout), au moins peut-on apprendre à le reconnaître afin de ne pas se laisser abuser.
Comment démasquer les marques qui se prétendent "éthiques"? A force d'entendre parler de mode durable, on a un peu peur qu'elle ne le soit plus tant que ça. C'est vrai que le durable, l'équitable, l'achat responsable et le made in France, nous en voyons, tous les jours, partout. Autant dire que c'est devenu un marronnier. Et la mode, par essence, se démode. Une lectrice a laissé sur mon blog un commentaire très pertinent: "Qu'est-ce que ça veut dire éthique? C'est vrai, il est tellement facile de dire que nous produisons "respectueusement", que beaucoup de marques s'en servent comme arguments de vente. Les marques ont compris que cela faisait un peu tiquer les consommateurs. Les Français veulent du bio et de l'équitable. Ce toilettage éthique, c'est ce qu'on appelle le greenwashing, quand il concerne le bio et l'écologie. Comment démêler le vrai du faux? Il y a des indices. Beaucoup de marques intrinsèquement "éthiques" font confiance à leurs clients pour apprécier la différence. Les actualités économiques sont essentielles. Le feeling.