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La Mode et le e-commerce : une histoire qui fonctionne

La Mode et le e-commerce : une histoire qui fonctionne
Contre toute attente, la Mode en ligne, ça marche ! Quelques sceptiques disaient il y a quelques années, que cela ne pourrait pas fonctionner. Il est vrai que l’habillement est un marché où le sensoriel (visuel, essayage etc.) est un facteur important, et l’on aurait pu douter de son efficacité sur la toile. Que nenni ! Chiffre à l’appui, nous allons vous montrer que la Mode et le e-commerce s’entendent très bien… La Mode, pilier de la vente en ligne Après le tourisme, le secteur de l’habillement est celui qui fonctionne le mieux sur internet. La vente de vêtement en ligne, ne date pas d’hier, nos amis d’outre-Manche, ont pris le pas depuis un moment déjà. Revenons en terrain connu, en ce qui concerne les différentes typologies d’acteurs de la Mode en France, ce sont toujours les mastodontes de la vente par correspondance (La Redoute, les 3suisses) qui génèrent la majeure partie des ventes en ligne dans le secteur Mode (47% pour être exact). Le profil des e-shoppers Soyons 2.0

La vente en ligne va-t-elle faire revenir les clients dans les magasins - ms 20/05/13 Atlantico : Consomme-t-on davantage dans un magasin que sur un site internet ? Le besoin de satisfaction est-il plus fort lorsqu'on parcourt des rayons ? Quelles différences de comportements observe-t-on chez les consommateurs dans ces deux cas de figure ? Catherine Lejealle : Avec l’arrivée de canaux de vente et de communication digitaux, la plupart de nos achats se font en cross-canal ; c’est à dire que pour un même achat, le processus d’achat est fragmenté entre canaux physiques et digitaux. La recherche d’information se fait via les forums et les pages Facebook des marques tandis que l’achat réel se fait en magasin . Pourquoi cette incitation à aller en magasin et à pratiquer du "Reach online and purchase offline" (ROPO) ? Comment interpréter ces innovations ? En se limitant à la vente en ligne, les "brick and mortar" perdent l’avantage de déployer un univers sensoriel et un territoire bien à eux qu’ils ont souvent mis des années et des millions à bâtir. Que réserve l’avenir ?

E-commerce : les taux de conversion secteur par secteur Voici le dernier baromètre des performances e-commerce de Kantar Media Compete et Google. Il passe au crible taux de conversion, de rebond et d'abandon de 9 segments de marché. Le taux de transformation des sites marchands français s'est amélioré de 13% entre 2012 et 2013, puis encore de 7% au 1er trimestre 2014. Des résultats issus de la 3ème édition du baromètre sectoriel de la performance de conversion des sites e-commerce français, que publient Kantar Media Compete et Google. Distribution : les acteurs multicanaux portés par le click-and-collect Le secteur de la distribution affiche pour sa part un taux de conversion en progression moyenne de 10%. Sur le segment du prêt-à-porter, le taux de conversion par visite s'est amélioré de 17% entre 2012 et 2013 pour atteindre 3% l'an dernier. Côté high-tech, segment e-commerce le plus ancien, les taux de conversion par visite (3,8%, stable) et par visiteur (8,1%, en hausse de +10%) sont cette année encore les plus élevées de ce baromètre.

Les réseaux influencent les comportements d'achat - ETUDE - l L’agence DigitasLBi (Publicis Groupe) a publié les résultats de son étude 2014 sur les tendances mondiales du commerce connecté à travers 12 pays. Il en ressort que le "Showrooming" (pratique selon laquelle les consommateurs visitent un magasin pour examiner et tester un produit en personne avant de l'acheter en ligne ou ailleurs, souvent à un prix moins cher), tendance identifiée en 2013, prend de l’ampleur : 49% des consommateurs français déclarent qu'une différence de prix de -5% les feraient quitter le magasin où ils se trouvent. De plus, 42% des français déclarent que les réseaux sociaux influencent leur comportement d’achat. 82% des utilisateurs de réseaux sociaux chinois déclarent que les médias sociaux influencent leur comportement; l'Espagne, l'Italie et les Etats-Unis montrent une moyenne de 55%, alors que pour la France elle est de 42%. 31% des utilisateurs de réseaux sociaux français admettent que Facebook influence leur décision d’achat, 6% pour Twitter, 2% pour Pinterest.

Les réseaux sociaux drainent 7,7% de visites sur les sites e-commerce Les acheteurs sont de plus en plus nombreux à utiliser les réseaux sociaux. Conséquence: le trafic augmente sur les sites web des retailers. Une nouvelle étude d’Experian montre que Facebook ou Pinterest sont parmi les plus efficaces pour découvrir les produits. L’étude montre que les visites ont ainsi augmenté de 7,7% sur les sites web des détaillants grâce au canal social média. L’année dernière, les visites atteignaient 6,6% du trafic vers les marques. L’étude, réalisée sur plus de 34 000 détaillants américains, explique cette progression au vu de la fréquentation des réseaux sociaux. Les annonceurs sont de plus en plus nombreux à pointer vers les réseaux sociaux pour augmenter l’engagement du consommateur, indique le rapport . La même étude montre que le site d’Amazon.com et celui de Wal- Mart obtiennent le plus de trafic via leurs comptes Pinterest , Facebook et YouTube.

Shopping : 72% des Français préfèrent les magasins physiques à Internet Selon les résultats d’un sondage Ipsos, publié lundi 29 avril, une grande majorité des Français préfère réaliser ses courses en magasins physiques plutôt qu’en ligne. Relayée par l’AFP, l’étude précise que : « quelle que soit la catégorie de produits, 95% des sondés déclarent acheter souvent ou systématiquement en magasin. » Une habitude particulièrement prononcée au niveau de l’alimentation (89%) et des vêtements (60%). Même les produits culturels, très plébiscités en ligne (28%), seraient encore majoritairement achetés en magasins physiques (40%). Parmi les avantages cités pour l’achat physique : la très forte dimension humaine. Ces résultats viennent donc rejoindre ceux d’une étude menée par eBay en octobre dernier. Or, la notion de plaisir apparaît comme essentielle dans le cadre d’achats compulsifs. Dans le cadre de cette problématique, de nombreux acteurs du commerce tendent à bouleverser les habitudes d’achats des consommateurs afin de mettre l’accent sur l’expérience utilisateur.

E-commerce et magasins physiques : quelles synergies pour mieux recruter et fidéliser les consommateurs ? Les modifications du comportement des consommateurs devenant hyper connectés, cross canaux et à la recherche d’immédiateté, associées à l’essor, sous différentes formes, du commerce digital, transforment en profondeur le rôle que doit jouer le point de vente physique aujourd’hui. Comment un réseau peut-il désormais s’y adapter pour vendre, se différentier et fidéliser toujours plus de clients grâce à la proximité et la relation humaine qu’il offre quotidiennement en magasin ? L’appel du digital face à l’efficacité du canal traditionnel De plus en plus d’enseignes se tournent actuellement vers le commerce digital en ouvrant des boutiques sur Internet ou encore en créant de nouvelles applications de vente sur Smartphone. « Digital-to-Store » où comment rediriger un trafic qualifié en magasin Un vendeur mieux informé prodiguant des conseils personnalisés grâce au digital Des programmes de fidélité dématérialisés et adaptés aux usages des Smartphones.

Les 4 règles de la séduction e-commerce En retail, le jeu de la séduction ne se résume pas à un bon feeling. Tout se joue en réalité sur la connexion initiale et la capacité des e-marchands à tenir leurs promesses à chaque interaction. En plus d’une offre produit de grande qualité, il est nécessaire de proposer un parcours d’achat clair, un processus de paiement simple, une livraison dans les temps attendus, un excellent service client et des politiques de retour de marchandises impeccables. La clé du succès réside dans la capacité à trouver LE client qui cherche exactement ce que vend un e-marchand, au prix où il le vend et au moment où le produit est disponible. 1/ Eviter de se survendre Les retailers consacrent beaucoup de temps à la personnalisation et à s’assurer que chaque message délivré soit cohérent avec leur marque. Par exemple, en jouant sur des suggestions ciblées, une boutique en ligne affiche plusieurs looks récemment consultés par un client. 2/ Ne pas se faire trop désirer 4/ Jouer la carte de l’honnêteté

Comment utiliser les réseaux sociaux pour séduire les consommateurs ? Petit à petit, les réseaux sociaux prennent leur place dans les stratégies de relation client multicanal. D'ailleurs, selon la deuxième édition de l'étude Social media attitude du SNCD, ils s'imposent devant le téléphone et le courrier dans la hiérarchie des canaux de relation avec la marque suite à l'achat. D'où l'intérêt de soigner sa présence sur Facebook ou Twitter. Et les clients mordent à l'hameçon puisque 36% des socionautes sont fans d'au moins une marque ; 32% ont déjà posté un avis et 27% sont prêts à acheter via un réseau communautaire. Enfin, le bouche-à-oreille reste une valeur sûre, y compris sur la Toile, puisque 37% prennent en compte les avis ou remarques publiés. Face à ces nouveaux comportements, les directions de la relation client ont tout intérêt à capitaliser sur ces échanges spontanés. 1-Définir les objectifs à atteindre Y aller, certes, mais pour dire quoi ? 2- Se lancer et communiquer Ouvrir une page sur Facebook ou un compte Twitter est à la portée de chacun.

Le comportement d'achat du client en magasin s'analyse aussi via mobile Pour connaître les comportements d'achat des consommateurs à l'intérieur même du magasin, les caméras ou le Kinect peuvent être la solution. Apparemment, le mobile aussi ! En entrant dans un magasin ou en regardant simplement par la vitrine de celui-ci, les consommateurs sont loin de se douter qu'un logiciel est en train d'analyser leur comportement. Des informations obtenues via les signaux des téléphones Ainsi, les trois co-fondateurs de Nomi – Corey Capasso, Wesley Barrow et Marc Ferrentino – ont conçu cet outil de façon à ce qu'il s'insère sur le réseau Wifi de la boutique l'ayant adopté ou s'aide de petits capteurs qui peuvent suivre jusqu'à trois mètres les signaux d'un appareil mobile. Un outil au service des entreprises Elle permet également de cerner leurs préférences, leur façon d'acheter, et ce dans le but d'améliorer les profits des vendeurs.

Histoire - Le e-commerce Le concept de e-commerce est né au moment des premières transactions effectuées par des moyens électroniques. En France, les origines du commerce électronique remontent aux années 80 au moment des premières transactions par minitel. Dans les années 90, les ordinateurs se commercialise et internet fait son apparition dans les foyers français. Les transactions entres entreprises et particuliers commence à augmenter. Au dernier semestre 1996, le nombre de foyers équipés d'une connexion internet ne dépassait pas la barre des 95000. En 1997, le commerce électronique semble se démocratiser et les entreprises historiques du secteur informatique telles qu'IBM et Microsoft se lance dans l'aventure virtuelle. A la fin des années 90, les internautes sont peu nombreux et l'achat par internet est encore flou, néanmoins, on sait ce qu'ils achètes : des produits informatiques. Vers 1998, un groupe de travail est mené par Dominique Strauss-Kahn afin de développer le cybercommerce.

Les outils e-marketing les plus utilisés dans le secteur de l’e-commerce | Web marketing & e-commerce Hello tout le monde ! Voici comme promis un récapitulatif très utile qui vous permettra de distinguer les outils e-marketing les plus souvent utilisés mais aussi les nouveautés dans le secteur de l’e-commerce. En effet nombreux sont les outils e-marketing utilisés par les e-commerçants (des mini-jeux,l’emailling, les flux RSS, l’e-marketing direct, le référencent naturel,la publicité….et j’en passe). Je vais donc choisir quelques outils qui me paraissent les plus pertinents mais aussi les plus efficaces. Les réseaux sociaux : Selon une étude de la Fevad (fédération e-commerce et vente à distance), « neuf e-marchands sur dix disposent d’une page Facebook". Le marketing lié aux moteurs de recherche (SEO Search Engine optimizer): Full performance (une agence de référencent), a annoncé lors du salon VAD e-commerce la commercialisation de WebPredict . L’affiliation : La certification de sites e-commerce: "le trusted Stores de Google" Qu’est ce que cela signifie? Like this: J'aime chargement…

Introduction au e-Commerce (commerce électronique) Décembre 2017 Introduction au e-Business On appelle « Commerce électronique » (ou e-Commerce) l'utilisation d'un média électronique pour la réalisation de transactions commerciales. La plupart du temps il s'agit de la vente de produits à travers le réseau internet, mais le terme de eCommerce englobe aussi les mécanismes d'achat par internet (pour le B-To-B). Le client effectuant des achats sur internet est appelé cyberconsommateur. Le e-Commerce ne se limite pas à la seule vente en ligne, mais englobe également : La réalisation de devis en ligne Le conseil aux utilisateurs La mise à disposition d'un catalogue électronique Un plan d'accès aux points de vente La gestion en temps réel de la disponibilité des produits (stocks) Le paiement en ligne Le suivi de la livraison Le service après-vente Boutiques en ligne La plupart des sites de commerce électronique sont des boutiques en ligne comprenant a minima les éléments suivants au niveau du front-office : Pour approfondir Formations e-commerce

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