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J'ai Un Doute Sur La Dette Publique

Dette publique et "loi Rothschild" : le silence des médias C'est le point aveugle du débat : la dette publique est une escroquerie ! En cause, la loi Pompidou-Giscard de 1973 sur la Banque de France, dite "loi Rothschild", du nom de la banque dont était issu le président français, étendue et confortée ensuite au niveau de l'Union européenne par les traités de Maastricht (article 104) et Lisbonne (article 123). D'une seule phrase découle l'absolue spoliation dont est victime 99% de la population : "Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France". Contraint d'emprunter aux banques privées En clair et pour faire simple, la Banque de France a désormais interdiction de faire crédit à l’État, le condamnant à se financer en empruntant, contre intérêts, aux banques privées, au lieu de continuer à emprunter sans intérêt auprès de la banque de France qui lui appartient. Qui gouverne ? Silence médiatique Inlassable propagande des conservateurs-libéraux ? Mais les éminents confrères ?

Thrive « Thrive » est un long documentaire avec une vision globale qui relie beaucoup de sujets, incluant la spiritualité, la science, le pouvoir mondial et les alternatives pour un monde meilleur. Il y est question du tore, modèle énergétique universel, de la fleur de vie, symbole millénaire, des crop circles et des extra-terrestres, de l’énergie libre de Tesla, du lobby pétrolier, de la médecine industrielle, du contrôle du monde par un pouvoir oligarchique, de la création monétaire, de la crise financière, du pouvoir pyramidal qui régit notre société, de la suppression des libertés, de la surveillance électronique et des projets de puçage de la population… mais aussi des espoirs de changement, des solutions, de nos moyens et atouts pour changer le monde, en démontrant qu’un autre monde est possible. Source : SytiNet

TSCG : comprendre quelque chose à ce pacte budgétaire | EtClik Des mois que les politiques de tous bords se divisent, prônent ou s’insurgent contre 4 lettres, « TSCG », sous fond de toile européen. Présenté tantôt comme seule solution pour sortir l’Europe de la crise, tantôt comme une camisole de force pour les États, condamnés à l’austérité à perpétuité, qu’en-est-il vraiment ? Le TSCG, c’est quoi, ça vient d’où ? Éléments de réponse… Cette vidéo réalisée par la Gauche unitaire européenne et la Gauche verte nordique permet assez bien de comprendre de quoi il s’agit. C’est quoi la différence ? Pour faire très court, le TSCG est un nouveau traité européen qui va imposer des politiques d’austérité dans les pays signataires afin de sortir de la crise. Frise chronologique : le TSCG, fruit de 60 ans de construction européenne Pour comprendre de quoi il s’agit, il faut remonter 20 ans en arrière. L’article 104 du traité de Maastricht (qui est devenu l’article 123 du traité de Lisbonne) interdit aux États d’emprunter à la Banque centrale européenne (BCE).

269 – Derudder – Holbecq: Manifeste… « Plus loin que Jorion Manifeste pour que l’argent serve au lieu d’asservir ! Une Nation souveraine a le pouvoir et la légitimité d’émettre sa propre monnaie. Dette et austérité sont des choix idéologiques. Savez-vous que: - Les intérêts de la dette publique absorbent la totalité de l’impôt sur le revenu ! - La BCE a prêté 1000 milliards aux banques mais refuse de prêter aux États pour alléger leur fardeau ! - Le retour du droit de création monétaire par la Banque Centrale au service des États leur éviterait de dépendre de la spéculation et leur permettrait de financer les urgences sociales et écologiques ! Au lieu de cela en Grèce des familles en sont réduites à abandonner leurs enfants. Pourquoi sauver les banques et non pas les peuples ? Pour beaucoup d’entre nous, c’est parfaitement incompréhensible ! Pure utopie pensez-vous ? Contrairement à ce que croient encore certains, ce ne sont pas les États qui émettent la monnaie, mais le système bancaire privé, simplement lorsqu’il accepte une demande de crédit.

La vraie démocratie - Ce n'est pas ce que vous croyez Goldman Sachs par Denis Gorteau Parfois, sous la pression des évènements et de l’urgence, des hommes de bonne volonté tentent de travailler au bien de l’Humanité. Est-ce le cas avec Obama ? En tout cas, pour sauver le capitalisme d'une crise fatale, il tente quelque chose. Après un début de réforme du terrible système de santé états-unien, le président tente aujourd’hui de réformer le système financier. Il faut dire qu’en 2008 le monde entier a failli tomber raide d’inanition quand la faillite menaçait les principales banques, intermédiaires financiers entre les entreprises, les Etats, les régions… Un « plan de sauvetage » mobilisant des sommes colossales a été nécessaire pour sauver le système et ses maîtres, milliardaires impudents et au dessus des lois. Mais que peut un éventuel honnête homme face à un système en roue libre ?

Ce mec a emprunté 500 000 euros avec la ferme intention de ne jamais les rembourser En 2008, le militant anticapitaliste Enric Durán a emprunté 492 000 € à 39 organismes de crédits différents sans aucune intention de les rembourser. Mais –comme on peut s’y attendre de la part d’un militant anticapitaliste –, il n’a pas tout claqué dans des couteaux de cuisine en diamants et des frisbees de luxe. Au lieu de ça, il a reversé son fric à quelques causes anticapitalistes indéterminées et le reste à Crisi, un journal gratuit qui a détaillé sa façon de procéder et encouragé la population à faire pareil. Ce geste hardi de Robin des Bois des temps modernes a fait de lui un héros du jour au lendemain. Ça faisait deux ans que j’essayais d’interviewer Enric, mais – que les 14 organismes de crédit qui essayent de l’envoyer en prison pour détournement de fonds en témoignent – c’est un mec sur lequel il est assez difficile de mettre la main. Enric avec un exemplaire de son journal, Crisi VICE : Hey Enric, qu’est-ce qui s’est passé exactement avec ton procès ? Je vois.

Code is Law - Traduction française du célèbre article de Lawrence Lessig Le 5 mars dernier, Tristan Nitot se pose la question suivante sur Identi.ca : « Je me demande s’il existe une version française de Code is Law, ce texte sublime de Lessig ». Monsieur Nitot qui évoque un texte sublime de Monsieur Lessig… Mais que vouliez-vous que nos traducteurs de Framalang fassent, si ce n’est participer à modifier favorablement la réponse de départ étonnamment négative ! Écrit il y a plus de dix ans, cet article majeur a non seulement fort bien vieilli mais se serait même bonifié avec le temps et l’évolution actuelle du « cyberespace » où neutralité du net et place prise par les Microsoft, Apple, Google et autres Facebook occupent plus que jamais les esprits et nos données[1] Bonne lecture… Le code fait loi - De la liberté dans le cyberespace Code is Law - On Liberty in Cyberspace Lawrence Lessig - janvier 2000 - Harvard Magazine(Traduction Framalang : Barbidule, Siltaar, Goofy, Don Rico) À chaque époque son institution de contrôle, sa menace pour les libertés.

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