Lettre à Line Beauchamp | Courrier des lecteurs SN = sciences naturelles TS = technico-sciences CST = culture, société et techniques Pour moi, comme je pensais me diriger vers la gestion au cégep et à l'université, étant donné mes antécédents familiaux et mes affinités pour ce secteur, on m'a recommandé le programme TS que j'ai réussi avec une note de 88% à l'examen du Ministère, au premier centile. Je suis maintenant à ma deuxième session de cégep dans le programme de Sciences humaines profil administration et je suis forcée de me rendre compte que vous avez omis d'arrimer les cours de mathématiques collégiaux avec ceux du secondaire. Je pense avoir rempli ma partie du contrat, j'ai fait mon secondaire, j'ai suivi le cours de mathématiques suggéré, je désire poursuivre mes études postsecondaires, mais vous et votre gouvernement m'avez laissé tomber. Je suis studieuse, disciplinée et j'ai eu la chance de faire tout mon secondaire au collège privé, j'étais donc bien préparée pour mon entrée au cégep, mais ce n'est pas le cas de tous.
Classeprepa - apprendre autrement Soutien Scolaire Jeux éducatifs en ligne Jean-Michel Anctil témoigne dans Le round de la persévérance | JEAN-FRANÇOIS GAGNON | Estrie Directrice générale du CJE Memphrémagog, Josée Boily confie que les deux femmes ont dû revenir à la charge quelques, sinon plusieurs, fois pour enfin obtenir la participation de l'humoriste à leur projet. Si elles tenaient tellement à cette participation, c'est que Jean-Michel Anctil a créé une fondation dont l'objectif est de soutenir la persévérance et la réussite scolaire chez les jeunes au Québec. Elles auraient probablement eu de la difficulté à trouver un meilleur ambassadeur de cette cause. «Je pense que quand on veut décrocher de l'école, l'idée c'est d'en parler. Il faut trouver quelqu'un en qui on a confiance pour ça», soutient l'humoriste dans la vidéo, dont la production a été financée en partie par la Caisse Desjardins du Lac-Memphrémagog. D'après lui, il importe également que les jeunes découvrent leur passion, la nourrissent et ne laissent pas des gens les décourager de suivre leur voie. L'histoire de Marc-André Lessard-Gagnon est particulièrement touchante.
Cours, exercices, examen et révision à télécharger Sommaire général Journal de Québec Actualités - Record dappels à laide cet article est réservé aux membres vip Pour poursuivre la lecture / mois * Taxes Incluses * Certaines conditions s'appliquent Contenu réservé VIP : Nouvelles exclusives Galeries photos Cartes interactives Vidéos exclusives Contenu des chroniqueurs Compléments d’information Vos privilèges VIP : Accès illimité à 100 % du contenu internet Application mobile pour appareils Android et iOS. Offre valide pour 6 mois, pour les nouveaux abonnés seulement.
Le site pédagogique Dans les écoles, tout n'est pas mauvais | Catherine Delisle | Opinions Maxime a créé sa page Facebook. Dans le temps de le dire, il a compté 400 membres. Le comédien et animateur, Jasmin Roy, dans une entrevue, a dit recevoir chaque jour des centaines de témoignages d'adolescents victimes d'intimidation à l'école. Autrefois, on aurait serré les ouïes au sans génie, les parents auraient admonesté un châtiment à leur tête folle, le cas aurait été réglé en moins de deux. Goût amer L'entrevue réalisée par Guy A Lepage avec le jeune Maxime laisse un goût amer. «On ne baisse pas les bras, jamais», m'a-t-on dit, insistant sur le fait que les écoles se préoccupent de toutes les formes de violence, autant verbale que physique, et de façon encore plus intense depuis la disparition du jeune David Fortin, d'Alma. Portrait de la victime Apparemment, la victime toute désignée est le p'tit gros à lunette plutôt marginal. Mais voilà, les enfants ne sont pas assis sur les bancs d'école 24 heures sur 24. D'autres parents sont totalement dépassés par les événements.
E3C : la Banque Nationale de Sujets Le ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse s’engage à traiter vos données à caractère personnel dans le respect de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 modifiée relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés et du RGPD. Nous sommes particulièrement attentifs à la protection des données personnelles et nous veillons à ce que la collecte de vos données soit réduite au strict nécessaire. Certaines fonctionnalités du site (partage de contenus sur les réseaux sociaux, lecteurs vidéos, contenus interactifs) font par ailleurs appel à des services proposés par des tiers. Ces fonctionnalités déposent des cookies leur permettant d’identifier les sites que vous consultez et les contenus auxquels vous vous intéressez. Ces cookies ne sont déposés que si vous donnez votre accord. S’informer sur les cookies et données personnelles du site education.gouv.fr, contacter ou exercer vos droits auprès du délégué à la protection des données.
Intimidation: ces adultes qui ferment les yeux... | Daphnée Dion-Viens Parmi sa soixantaine d'étudiants, 82?% ont répondu avoir été victimes d'intimidation lors de cet exercice et 64?% d'entre eux ont témoigné d'un laisser-faire de la part des adultes de l'école. «Quand l'adulte lui-même cautionne ça, on a un problème», lance M. Roy. À en croire les étudiants interrogés par Le Soleil, ces situations sont plus fréquentes qu'on pourrait le croire. Dans un de ses cours de cinquième secondaire, Maryse a dû intervenir en classe pour défendre un élève qui se faisait ridiculiser depuis des années. Sophie-Anne, qui s'est fait traiter de tous les noms à l'école à cause d'un problème de poids, se rappelle très bien d'un professeur d'éducation physique très peu compréhensif, qui l'a apostrophée alors qu'elle était à bout de souffle pendant un exercice de course à pied. Sa mère a bien tenté d'en discuter avec le directeur de l'école, mais elle s'est fait répondre qu'il n'y avait pas de preuves, ajoute-t-elle. «De dire qu'on fait rien, je trouve que c'est gros. Pour M.