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Loi sur l'instruction publique

Loi sur l'instruction publique
chapitre I-13.3 Loi sur l'instruction publique Droit à l'éducation scolaire. 1. Toute personne a droit au service de l'éducation préscolaire et aux services d'enseignement primaire et secondaire prévus par la présente loi et le régime pédagogique établi par le gouvernement en vertu de l'article 447, à compter du premier jour du calendrier scolaire de l'année scolaire où elle a atteint l'âge d'admissibilité jusqu'au dernier jour du calendrier scolaire de l'année scolaire où elle atteint l'âge de 18 ans, ou 21 ans dans le cas d'une personne handicapée au sens de la Loi assurant l'exercice des droits des personnes handicapées en vue de leur intégration scolaire, professionnelle et sociale (chapitre E-20.1). L'âge d'admissibilité à l'éducation préscolaire est fixé à 5 ans à la date déterminée dans le régime pédagogique; l'âge d'admissibilité à l'enseignement primaire est fixé à 6 ans à la même date. 1988, c. 84, a. 1; 1997, c. 96, a. 1; 2004, c. 31, a. 71. Services éducatifs aux adultes. 2. 3.

http://www2.publicationsduquebec.gouv.qc.ca/dynamicSearch/telecharge.php?type=2&file=/I_13_3/I13_3.html

Comment s'inscrire au Concours? Réaliser un projet entrepreneurial scolaire ou parascolaire au cours de l’année, soit de juin 2013 à juin 2014 (les cas particuliers doivent être approuvés par l’organisation nationale pour être admissibles). La majorité des activités du projet doit avoir commencé avant la date limite d’inscription du 17 mars 2014 afin de pouvoir évaluer et valider le développement des valeurs entrepreneuriales des élèves ou des étudiants. Pour le volet Entrepreneuriat étudiant, aucuns frais de gestion de dossier ne sont demandés par le responsable local ou l’organisme. Compléter le formulaire d’inscription électronique. Veuillez noter qu’aucune inscription en format papier ne sera acceptée et que les données du formulaire pourraient être utilisées aux fins de recherche et d’analyse statistique.

«Le monarque, c’est moi» De plus en plus clientélistes, les rapports famille-école ont beaucoup changé au cours des dernières années. Devant une institution soucieuse de son image et qui se plie à leurs désirs, papa et maman gagnent du terrain. Et on a des petites nouvelles pour vous : le parent-roi n’est pas mort… Il est plus vivant que jamais. Elle écrit des courriels de plainte à la direction, se mêle des résultats scolaires de ses enfants, donne des conseils au prof, corrige ses fautes et trouve qu’après tout, il n’y a rien de mal à faire manquer une semaine d’école à son enfant si c’est pour l’amener en voyage en Europe. « Le monarque, c’est moi », dit Danielle Verville, maman de quatre filles, qui assume pleinement sa couronne de parent-roi. « Ce n’est pas dans le sens que je suis dans l’incapacité absolue de tolérer toute frustration ou de faire preuve de patience dans la satisfaction de mes besoins », nuance-t-elle. « Je suis un parent-roi, mais je suis aussi exigeante que l’école. »

À l'aide de cette recette, votre plaque en vitrocéramique sera autant propre qu'à l'état neuf - Trucs et Astuces - Maisons Etc. Cherchez-vous une excellente façon de nettoyer la plaque en vitrocéramique de votre cuisinière de façon efficace et surtout presque naturelle? Ne cherchez plus, nous avons la recette parfaite pour vous et comme vous allez le voir à travers les photos de cet article, elle est très efficace! En effet, tant que la saleté est superficielle, il n’y a aucun problème à nettoyer une plaque en vitrocéramique, mais aussitôt qu’un dégât de cuisson avec des éclaboussures de gras, de sucre, de tomate, de sauce survient, c’est pas mal plus difficile de bien la nettoyer. Cette recette maison qui a fait ses preuves va vous aider à bien nettoyer votre plaque pour lui donner son apparence neuve. Vous avez besoin de bicarbonate de soude, du savon liquide à vaisselle et du vinaigre. Prévoyez aussi une serviette de bain aussi grande que la plaque.

Régime pédagogique de l'éducation préscolaire, de l'enseignement primaire et de l'enseignement secondaire Régime pédagogique de l'éducation préscolaire, de l'enseignement primaire et de l'enseignement secondaire Loi sur l'instruction publique (chapitre I-13.3, a. 447) 1. Les services éducatifs offerts aux élèves comprennent des services d'éducation préscolaire, des services d'enseignement primaire et secondaire, des services complémentaires et des services particuliers. D. 651-2000, a. 1. Liens, éducation, français,  lecture, orthographe, conjugaison, règles, dictionnaire, mots-croisés, grammaire, enseignement Langue Orthographe, grammaire, conjugaison Vocabulaire, jeux, mots-croisés... Lecture Expression, rédactions Pour les plus petits (primaire) Élèves en difficulté, ressources, Segpa...

Le Devoir de philo - Bravo pour cet article ! Je souscris entièrement à ce que conclut Vincent Geloso. Il était clair dans les années 60 que le cours classique traditionnel, par exemple, devait être revu en fonction de la post-industrialisation, au même titre que l'ensemble des programmes scolaires et académiques. Cette révision était en principe excellente, mais il aurait fallu que ses tenants et aboutissants échappent à l'autorité absolue d'un gouvernement forcément truffé de gestionnaires patentés dont l'objectif principal a collectivement été de renforcer leur position personnelle et d'obtenir le maximum de promotions et de revenus, plutôt que de veiller prioritairement à ce que chaque Québécois soit formé de manière à trouver sa place et son rôle dans une société en bouillante évolution. On ne leur avait d'ailleurs jamais demandé d'essayer de réinventer un processus d'apprentissage qui relève non pas de la programmation multimillénaire du cerveau, mais plutôt de l'errance de quelque doctorant. Guy O'Bomsawin - Verchères

Des inepties ! Concernant l'article de Vincent Geloso, surtout dans la section "Paramètres de discussion", j'aimerais relever certains points pour avoir vécu l'époque dont il parle, soit 1952 à 1972 et pour avoir étudier à cette époque. L'auteur fait un lien logique entre l'autonomie des écoles et la participation des parents dans les activités de ces dites écoles. Et entre la participation et la qualité de l'éducation.

Les dangers de la comparaison historique Dans son « Devoir d’histoire » du weekend dernier, Vincent Geloso, candidat au doctorat en histoire économique à la London School of Economics, proposait une critique du modèle interventioniste de l’État québécois dans le développement du réseau de l’éducation au Québec depuis la Révolution tranquille. Décrivant la performance québécoise au chapitre de l’éducation entre 1901 et 1961 au moyen de différentes statistiques (taux effectifs de fréquentation, décrochage, scolarité moyenne et diplomation universitaire) qu’il oppose au « progrès » des années 1960, Geloso parvient au constat que le Québec d’après-guerre fait généralement meilleure figure que celui de la Révolution tranquille en terme de rattrapage par rapport à lui-même, mais surtout par rapport au reste du Canada. Au-delà des statistiques de performance, l’implication accrue de l’État québécois dans le milieu de l’éducation à partir des années 1960 était motivé surtout par la nécessité d’agir.

Crache pas sur ma Révolution tranquille - Réponse à M. Geloso Vincent Geloso, dans son dernier article, « L’État a-t-il vraiment fait progresser l’éducation au Québec ? » crache, littéralement, sur la Révolution tranquille. Comme quoi le legs de ce mouvement se résumerait à une baisse de la fréquentation scolaire chez les Québécois. Ce qui, selon M. Le Devoir d’histoire - L’État a-t-il vraiment fait progresser l’éducation au Québec? Alors qu’approche la tenue d’un autre sommet pour discuter de l’avenir de l’enseignement supérieur, nombreuses sont les mentions des progrès réalisés pendant la Révolution tranquille. Le fameux rapport Parent, qui recommanda la gratuité scolaire jusqu’aux études universitaires en 1964, reste un document de référence régulièrement cité. Cette rhétorique décrit la Révolution tranquille comme le début d’un âge d’or qui aurait permis au Québec de cesser d’être le cancre du Canada.

Enseignement de l’histoire: où est le problème? Entrevue avec Éric Bédard « Le blogue de Mathieu Bock-Côté La question de l’enseignement de l’histoire est de nouveau au centre de l’actualité. De quelle manière enseigner l’histoire du Québec? Et quelle histoire enseigner? L'enseignement du français a peu changé depuis 25 ans Voilà l'une des conclusions tirées de l'enquête intitulée État des lieux de l'enseignement du français, réalisée par Suzanne-G. Chartrand et Marie-Andrée Lord, professeures à la Faculté des sciences de l'éducation de l'Université Laval, en collaboration avec le Conseil supérieur de la langue française. Le Soleil a déjà publié les résultats préliminaires de cette étude, réalisée à l'automne 2008 auprès de 801 enseignants et de 1617 élèves de quatrième et cinquième secondaire. Mais depuis, les auteurs ont eu le temps de pousser plus loin l'analyse. Le Conseil supérieur de la langue française avait réalisé une étude semblable en 1985, ce qui permet de faire des comparaisons.

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