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Une astuce pour connaître la date de publication d'une page web

Lorsque l'on navigue sur le Web et que l'on découvre de nouvelles ressources, on se pose fréquemment des questions sur la date de mise en ligne des informations. Si ces questions trouvent aisément des réponses sur les blogs – la date de publication de chaque billet est généralement indiquée –, il est en revanche plus difficile de savoir quand a été lancé un site web, si la date n'est pas précisée. Nous vous proposons dans cet article une méthode qui, si elle ne fonctionne malheureusement pas pour tous les sites, s'avère néanmoins efficace dans de nombreux cas. Cette méthode consiste à tirer parti de la fonction "Recherche par date", proposée notamment par Google et Exalead. Nous avons déjà parlé dans ce blog de la possibilité qu'offrent ces moteurs d'affiner les résultats selon la date de publication des pages. On accède à cette fonctionnalité, sur Google, en cliquant sur le choix "Plus d'outils" de la colonne de gauche et en choisissant l'option de son choix, dans le module "Date".

Défendre la valeur de la formation documentaire de manière efficace: un résumé On vous aurait dit il y a 15 ans que les bibliothécaires allaient être amenés à faire du marketing, vous auriez probablement levé les yeux au ciel… des voitures volantes avec ça? Le milieu a beaucoup changé, en bonne partie grâce à l’évolution des technologies. Même si la bibliothèque demeure l’endroit par excellence pour trouver de l’information de niveau académique, il est beaucoup plus facile pour un étudiant de la contourner qu’auparavant. La promotion que doit maintenant faire le personnel des bibliothèques ne vise pas à vendre des produits, mais à faire connaître les collections et les services essentiels à la recherche. Penser stratégie… …c’est ne pas oublier l’idée initiale dans le processus. Définir où vous êtes : quelle est l’offre actuelle en formation? Les alliés stratégiques Nos bibliothèques sont les poumons de nos institutions. Jouer le jeu Première règle : argumenter son idée. Conclusion Outre ces points, plusieurs autres éléments pertinents ont été abordés, tels :

Centraliser toutes ses factures sur un seul site, Greenbureau Greenbureau est un service Web complètement gratuit en français qui propose de réunir toutes ses factures sur un seul site. L’internaute s’inscrit sur Greenbureau, sécurise son compte avec un mot de passe (ou se connecte via son compte Facebook) puis passe en revue les différents fournisseurs pour lequel il désire mutualiser ses factures sur le site. Les grandes marques sont présentes sur le site : EDF, GDF-Suez, Orange, SFR, Assurance maladie, Pôle emploi… A ce jour une cinquantaine de fournisseurs sont disponibles sur le service. Pour chacun d’entre-eux, on dispose d’informations pratiques : coordonnées du service clients, assistance, service en ligne… L’intérêt est de gérer ses factures de façon complètement dématérialisée, ce qui pour le consommateur en facilite l’accès et est un gain de temps appréciable, car il retrouve au même endroit toutes ses factures bien rangées sans avoir à se connecter sur une multitude de plateformes différentes pour les retrouver. Source : Greenbureau

L’article infocom : 5 cas pratiques de recherche d’information Améliorer sa recherche d’information sur internet : 5 cas pratiques Aujourd’hui, nous recensons pour vous quelques articles en ligne présentant des cas pratiques de recherche d’information. Usez-en pour perfectionner votre méthodologie ! « Productivité au travail : comment gagner une heure par jour et par personne », par Jérôme Bondu Cas pratique : Rechercher des informations sur un récent appel d’offre public paru en Albanie « Google : trucs et astuces pour les pros de l’infodoc », par BFR Consultants Cas pratique : Identifier rapidement quelques statistiques officielles sur la consommation d’énergie en France (p.11) « Comprendre le fonctionnement des moteurs et en tenir compte », par Netsources (Béatrice Foenix-Riou) Cas pratique : Comment localiser des associations allemandes dans le domaine de l’énergie ? Et bien sûr, si vous avez repéré d’autres cas pratiques sur Internet, merci de nous en transmettre l’URL afin que nous puissions mettre à jour cet article !

Les techniques secrêtes pour contrôler les forums et l’opinion publique Attention, c'est du lourd ! Le 12 juillet dernier, le site Cryptome, sorte d'ancêtre à Wikileaks, qui publie des documents que les gouvernements et les sociétés n'aimeraient pas voir sur le net, a mis en ligne le témoignage et les explications techniques d'un ex-agent de Cointelpro. Cointelpro est une organisation US liée au FBI dont la mission était de faire de la désinformation et de foutre le bordel parmi les groupes d'activistes. Officiellement, Cointelpro a disparu en 71, mais l'organisation a juste changé de noms. Le 18 juillet, ce témoignage sur Cryptome a été mis en avant sur Slashdot par un contributeur de longue date. Ce document met au jour toutes les techniques employées par les gouvernements, les désinformateurs, les politiques, etc. sur le net mais aussi dans la vraie vie pour décrédibiliser leurs adversaires et enterrer les sujets sensibles. Mais peu importe... Techniques pour manipuler les forums sur Internet Technique #1 – " FORUM SLIDING " 1. 1) L’évitement. Provocateurs

Former à la recherche d’information #1 – en France Quelques notes, vraiment mal rédigées (je révise !), de la journée organisée conjointement par les groupes Ile-de-France et Paris de l'ABF jeudi 25 avril à l'UPMC. • Introduction de la journée - Le profond bouleversement du monde des bibliothèques universitaires Christophe Péralès, Président de l'ADBU, Directeur du SCD UVSQ Christophe Péralès a rappelé les grands enjeux de l'enseignement supérieur et la recherche aujourd'hui. Il a ensuite fait le point sur les réformes des dix dernières années : la loi LRU a été votée en 2007. La LRU s'inscrit dans le cadre de la LOLF (2001), qui a profondément réformé la manière dont on votait les budgets. Dans ce contexte, les PRES ont été créés : il s'agissait de favoriser des rapprochements pour la recherche. Actuellement, les universités se trouvent dans ce qu'on pourrait appeler l'acte de 2 de la loi LRU. Une autre modification d'importance a consisté dans le fait que les budgets ne sont plus fléchés. L'ADBU s'était prononcée en faveur de la LRU.

Die Antwoord, vrais faux freaks Qui sont vraiment Ninja, YoLandi et Hi-Tek ? Entre la sortie l'an dernier de son album $O$ et celle de Ten$ion, on a pu se pencher sur le cas Die Antwoord, et on en sait désormais un peu plus sur les trois lascars de Cape Town. Issu du collectif hip hop MaxNormal.TV, Ninja alias Watkin Tudor Jones, ex-Max Normal et ex-The Constructus Corporation, est investi depuis de nombreuses années au sein de la scène rap de son pays. Il est également un performer artistique, un producteur et un satiriste reconnu en Afrique du Sud. Die Antwoord, entre comédie et parodie Par provocation et goût de la satire, Die Antwoord prône la culture "zef". Aux sources de l'esthétique fourre-tout de Die Antwoord Parfaits représentants de l'esthétique after-pop telle que décrite par l'essayiste Eloy Fernandez Porta dans son livre Homo Sampler, les membres de Die Antwoord unissent culture populaire et culture académique dans un grand fourre-tout post-moderne. Die Antwoord, porte-parole d'une culture sud-africaine

Les articles de ‘Science’ s’invitent dans les salles de classe Apprendre à déchiffrer un article de recherche est un rite d’initiation par lequel passent tous les étudiants en science. La revue Science met maintenant des publications entièrement annotées à disposition des non-initiés, faisant ainsi de cette tâche une expérience bien plus agréable et productive. À la tête du projet « Science in the Classroom », Melissa McCartney explique qu’il est essentiel de comprendre le processus de la recherche, non seulement pour les futurs scientifiques, mais aussi pour tout citoyen se trouvant un jour face aux importants dilemmes que nous pose la science. Cet article est une traduction de « “Science” Articles Enter the Classroom » disponible sur : « Je faisais les choses machinalement », avoue Melissa McCartney en parlant de ses premières expériences à la fac, notamment la première fois qu’elle a été confrontée à des articles de recherche scientifique. « C’est à peine si je comprenais à quoi ils servaient », ajoute-t-elle.

Apple et Microsoft veulent rendre l'homme bien sage et docile La technologie est souvent merveilleuse par les possibilités nouvelles qu'elle offre. Elle est aussi parfois redoutable, par exemple lorsqu'elle permet de s'assurer qu'une interdiction n'est plus simplement une interdiction que l'on peut contourner, mais une impossibilité totale d'enfreindre la règle. Qu'il s'agisse de la loi adoptée par les parlementaires élus, ou de règles plus ou moins arbitrales édictées par des entreprises privées, ou par des autorités publiques. Hier, quand un règlement ou un contrat paraissait inepte, il était toujours possible de ne pas y obéir, et d'accepter d'en subir les éventuelles conséquences. Avec les DRM sur les contenus culturels, la technologie a déjà permis que désormais, seules les personnes autorisées puissent lire un livre. Apple a ainsi obtenu mardi un nouveau brevet, déposé en juin 2008, portant sur "des appareils et méthodes pour l'application de politiques sur un appareil sans fil". Or la menace est évidente :

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