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L’innovation en France et ses freins culturels – 2e partie

L’innovation en France et ses freins culturels – 2e partie
[Flashback GRI: je profite de l'été pour donner une nouvelle actualité au 2e volet article publié en mai 2010 - il peut être lu indépendamment du 1er] Voici le deuxième volet d’un article consacré aux problèmes structurels et culturels qui affectent l’innovation en France. Suite à la mise en ligne de la première partie, j’ai reçu des témoignages édifiants en droite ligne avec la « fiction » intitulée Comment démotiver un inventeur salarié ? Il est donc essentiel que d’autres analystes reprennent ce problème pour alerter sur l’urgence de réformer ce système de rémunération des inventeurs salariés. Toute stagnation en la matière équivaut à un recul. « La technologie est un capital, la R&D est un service, tandis que l’innovation est une culture. » Citation d’un directeur scientifique de Total reprise dans le rapport parlementaire Pour une nouvelle vision de l’innovation. Allemagne-France : le gagnant-gagnant et le perdant-perdant C’est donc que le problème est plus profond, il est culturel.

Qu'est-ce que le virtuel? Pierre Lévy Table des matières Retour Un mouvement général de virtualisation affecte aujourd'hui non seulement l'information et la communication mais aussi bien les corps, le fonctionnement économique, les cadres collectifs de la sensibilité ou l'exercice de l'intelligence. La virtualisation atteint même les modalités de l'être ensemble, la constitution du "nous" : communautés virtuelles, entreprises virtuelles, démocratie virtuelle... Quoique la numérisation des messages et l'extension du cyberespace jouent un rôle capital dans la mutation en cours, il s'agit d'une vague de fond qui déborde amplement l'informatisation. Faut-il craindre une déréalisation générale ? Jamais, sans doute, le changement des techniques, de l'économie et des moeurs n'ont été si rapides et déstabilisants. Comme on le verra tout au long de ce livre, le virtuel, rigoureusement défini, n'a que peu d'affinité avec le faux, l'illusoire ou l'imaginaire. Dans le premier chapitre, "Qu'est-ce que la virtualisation ?"

inventionsalarie.com - Reconnaissance de l'INVENTEUR La créativité expliquée Peut-on vraiment « manager », « améliorer la créativité, par des moyens précis ? J’avoue personnellement avoir toujours été assez sceptique sur le sujet, en partant du principe que si on innove à partir d’une méthode connue et éprouvée, alors ce n’est plus de l’innovation, par définition. Et les étagères des librairies consacrées au développement personnel, au management, voire au New Age, abondent en techniques infaillibles d’amélioration de la créativité, du jeu de rôle au mindmapping en passant par la programmation neurolinguistique, le brainstorming ou le sacrifice de boucs (la méthode la plus efficace à mon avis). Mais Anthony McCaffrey, dont les travaux ont été présentés ces jours-ci dans Science Daily, semble relancer le débat. Il est vrai que le bonhomme suscite l’intérêt puisqu’il a reçu un don de 170 000 $ de la National Science Foundation pour développer sa théorie et surtout mettre au point une technologie qui permettrait de lui donner une application pratique. Rémi Sussan

La peur, premier frein à l’innovation L’argent ne fait pas tout. « En matière d’innovation, les moyens financiers dédiés à la recherche (R&D) jouent bien sur un rôle clé. Mais s’il suffisait de mettre de l’argent pour rendre une économie compétitive, nous le saurions depuis longtemps. Les freins à l’innovation sont d’ordre administratif, juridique et même culturel, » a expliqué Nathalie Kosciusko-Morizet Secrétaire d’Etat à la Prospective et au développement de l’économie numérique aux vénérable membres de l’Institut Diderot (club de réflexion de l’assurance), lors d’une intervention dédié à la prospective. Le peur de se tromper, n’est-elle, pas dans notre pays, le seul vrai frein à l’innovation. Les résultats des du Centre d’analyse stratégiques déboucheront-ils enfin sur une notre intitulée « Priorité nationale : il faut enseigner le droit à l’erreur, dès la maternelle ».

Déterminisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le déterminisme est une notion philosophique selon laquelle chaque événement est déterminé par un principe de causalité. Définition[modifier | modifier le code] Le déterminisme est la théorie selon laquelle la succession des événements et des phénomènes est due au principe de causalité, ce lien pouvant parfois être décrit par une loi physico-mathématique qui fonde alors le caractère prédictif de ces derniers. Le déterminisme ne doit être confondu ni avec le fatalisme ni avec le nécessitarisme. On distingue schématiquement le déterminisme régional et le déterminisme universel. L'idée du déterminisme universel fut esquissée la première fois par le baron d'Holbach[1] : — Paul Henri Thiry d'Holbach, Système de la nature D'Holbach se distingue des nécessitaristes tels que Spinoza ou Hobbes en affirmant la calculabilité de la nécessité. — Pierre-Simon de Laplace, Essai philosophique sur les probabilités[2] Limites[modifier | modifier le code]

L’innovation en France et ses freins culturels – 1ère partie La mort d'Archimède, gravure d'après Pier Francesco Mola [Flashback GRI: je profite de l'été pour donner une nouvelle actualité à cet article publié en mai 2010] Voici le premier volet d’un article en deux parties consacré à une curieuse et dramatique contradiction française entre, d’une part, le discours officiel qui porte aux nues l’innovation industrielle et, d’autre part, la réalité vécue par les salariés inventeurs découragés et démotivés par de multiples freins culturels et structurels. Comment démotiver un inventeur salarié ? Vous êtes un ingénieur hautement qualifié et expérimenté au sein d’un grand groupe industriel. Conscient de l’intérêt stratégique de votre découverte, vous faites part de votre invention à votre hiérarchie. Vous vous engagez alors dans une lutte épuisante où certains manœuvrent pour s’approprier cette découverte capitale. Or, des jours, des semaines, des mois passent sans aucun signe de la part de la direction. On vous convoque alors pour un entretien. 1. 2.

Holisme Holisme (du grec ancien ὅλος / hólos signifiant « entier ») est un néologisme forgé en 1926 par l'homme d'État sud-africain Jan Christiaan Smuts pour son ouvrage Holism and Evolution[1]. Selon son auteur, le holisme est « la tendance dans la nature à constituer des ensembles qui sont supérieurs à la somme de leurs parties, au travers de l'évolution créatrice[1] ». Le holisme se définit donc globalement par la pensée qui tend à expliquer un phénomène comme étant un ensemble indivisible, la simple somme de ses parties ne suffisant pas à le définir. De ce fait, la pensée holiste se trouve en opposition avec la pensée réductionniste qui tend à expliquer un phénomène en le divisant en parties. Différentes acceptions[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Antiquité[modifier | modifier le code] XXe siècle[modifier | modifier le code] Holisme est un terme nouveau introduit dans les années 1920. Jan Christiaan Smuts[modifier | modifier le code] Le holisme de J. « M.

L'Open Innovation progresse en France, des freins persistent De droite à gauche, Christian Travier, de Laval Mayenne Technopole, Jean-Luc Beylat, de Bell Labs France, et Bernard Scherrer, d'EDF. Hors champ, Jean-Louis Liévin (cliquer sur l'image / Crédit : LMI) De nombreuses initiatives favorisent déjà l'Open Innovation dans l'Hexagone, mettant en relation les compétences et les idées entre grandes entreprises, laboratoires de R&D, PME et start-up. L'Open Innovation se traduit déjà concrètement dans de grands groupes français et trouve un écho naturel dans nombre de PME, à Paris et en région. ideXlab a détecté 5 millions d'experts Pour Bernard Scherrer, directeur Innovation au sein du groupe EDF (2 000 chercheurs, 14 laboratoires communs avec plusieurs organismes de recherche), l'Open Innovation permet de jouer à plusieurs et de courir plus vite, la notion de temps étant liée au marché, à la concurrence. 800 start-ups identifiées en un an par EDF Un chantier autour de la propriété intellectuelle

Holisme en sociologie Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le holisme vient du grec ancien holos signifiant « la totalité, l'entier ». On trouve la première forme de définition dans l'étude de la cosmogonie mythologique. Par l'évolution de sa définition le holisme est conceptualisé selon les différentes disciplines académiques : la philosophie, le positivisme, la sociologie, l'économie, la biologie, la neuroscience, et en médecine. Historique[modifier | modifier le code] Le positivisme[1] est la première discipline à mettre en lumière l’expression du terme « sociologie » dont Auguste Comte (1798-1857) est le fondateur. Le paradigme évolutionniste du sociologue anglais Spencer (1820-1903) est inspiré des thèses de Lamarck (1744-1829) et montre que l'évolution des êtres vivants est soumise aux poids des circonstances extérieures prédominantes qui influent sur la société. — Karl Marx, Critique de l'économie politique Notes[modifier | modifier le code] Portail de la sociologie

Management de l'innovation - holisme organisationnel - Jérémy Gain Abstract Experts, entrepreneurs, théoriciens du management et même politiciens, aujourd'hui tout le monde s'accorde pour dire que l'innovation est indispensable. Elle est plus que jamais le moteur de la croissance dans les pays développés et le cÏur de la compétitivité des entreprises. Mais c'est un phénomène complexe qui para»t difficile à ma»triser. L'innovation ne se commande pas pourtant elle se manage. C'est cela ce que nos travaux cherchent à déterminer. Mots clés innovation, management, Google, holisme, théorie des organisations, innovation participative. Avis au lecteur Ce mémoire a été préparé dans le cadre d'un Master en Négociation et Affaires Internationales à l'école de commerce NEGOCIA (Chambre de Commerce et d'Industrie de Paris). Les citations d'auteurs seront mises entre guillemets. Les sigles et acronymes seront explicités dans le texte ou en note de bas de page lors de leur première apparition pour l'ensemble du document. Remerciements Introduction générale I. I. I. I. I.

La communication, un enjeu scientifique et politique majeur du 21e siècle - Dominique WOLTON Plus de vingt années de recherches personnelles, et de responsabilités scientifiques me permettent de confirmer cette hypothèse si rarement partagée : La communication est un enjeu scientifique et politique majeur du 21e siècle. Le triomphe des techniques, en rapprochant les hommes et les sociétés, oblige en effet à un redoutable effort de connaissance car ce rapprochement, en rendant plus visible les différences culturelles, sociales et religieuses, augmente les difficultés de l’intercompréhension. La fin des distances géographiques accentue le poids des différences culturelles, donc la nécessité d’une réelle volonté pour se tolérer mutuellement. Les machines peuvent être « on line », les individus et les sociétés ne le sont jamais. 1 – Théorie de la communication et théorie de la société Par communication, il faut entendre cinq phénomènes. Au travers de la communication se joue en définitive le rapport au monde de chacun d’entre nous. Avec quelle outil opérer ce travail de tri ?

« Prospective du Virtuel », une tribune de Roger Nifle

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