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Effet Dunning-Kruger

Effet Dunning-Kruger
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Personnage d'une carte postale de 1910 qui a inspiré (entre autres sources) celui d'Alfred E. Neuman, la mascotte du magazine Mad. L’effet Dunning-Kruger est un biais cognitif selon lequel les moins compétents dans un domaine surestiment leur compétence alors que les plus compétents auraient tendance à sous-estimer leur niveau de compétence. Ce phénomène a été démontré au travers d'une série d'expériences dirigées par David Dunning et Justin Kruger. Dunning et Kruger ont noté que plusieurs études antérieures tendaient à suggérer que dans des compétences aussi diverses que la compréhension de texte, la conduite d'un véhicule, les échecs ou le tennis, « l'ignorance engendre plus fréquemment la confiance en soi que ne le fait la connaissance » (pour reprendre l'expression de Charles Darwin). Leur hypothèse fut qu'en observant une compétence présente en chacun à des degrés divers, Comme le notèrent Dunning et Kruger,

Théorème du singe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le théorème du singe est un exemple d'« histoire enseignement », une historiette présentée sur le mode narratif, non nécessairement véridique, dont la morale permet d'enseigner ou d'expliciter un phénomène. Ici, le théorème du singe est utilisé pour mettre en valeur le fonctionnement du conditionnement mental. Cette histoire est présentée comme le récit d'une expérience scientifique comportementale menée sur des chimpanzés. Le récit de l'expérience[modifier | modifier le code] De singes et de bananes. Une vingtaine de chimpanzés sont isolés dans une pièce où est accrochée au plafond une banane, et seule une échelle permet d'y accéder. Rapidement, les chimpanzés apprennent qu'ils ne doivent pas escalader l'échelle. Un des singes est remplacé par un nouveau. L'expérience est poursuivie jusqu'à ce que la totalité des premiers chimpanzés qui avaient effectivement eu à subir les douches froides soient tous remplacés. (en) G.

Principe de Peter. Le dérèglement hiérarchique L’humour, l’ironie peuvent avoir une fonction de critique sociale décapante, rabaissant le prestige du pouvoir, en même temps que l’autorité et le sérieux de la psychologie scientifique ainsi que les idéaux de la réussite. Il n’y a pas que la démocratie dont on puisse se moquer : tous les bureaucrates se ressemblent, en toute dictature, dure ou molle. On appelle cela des chefs ! La compétition, synthèse "chrétienne" du Maître et de l’Esclave (de la lutte et du travail) est la vérité du Capitalisme, au nom de l’efficacité déjà fondée par Machiavel, mais son triomphe totalitaire mène à l’incompétence généralisée. C’est bien des tares réelles qui sont dénoncées ici et qui sont déjà prises en compte par les nouvelles organisations. Mais la banalité hiérarchique s’étend à tous les liens de dépendances, divers sectes, mafias, clientélismes et chaînes de dépendances dont la société moderne meuble dangereusement sa solitude et la disparition des liens communautaires traditionnels.

Expérience de Rosenhan L'étude de Rosenhan est composée de deux parties. La première implique la participation d'associés en bonne santé mentale, les « pseudo-patients », qui simulent des hallucinations auditives brèves dans le but d'être admis dans douze hôpitaux psychiatriques des États-Unis, répartis dans cinq États différents du pays. Ils ont tous été admis et reconnus souffrant de désordres psychiatriques. Après leur admission, ils agissent normalement et déclarent au personnel soignant qu'ils se sentent bien, et n'ont plus d'hallucination du tout. Le personnel de l'hôpital échoue dans chaque cas à détecter la supercherie, et reste au contraire persuadé que tous les pseudo-patients montrent les symptômes d'une maladie mentale. La seconde partie consiste à demander au personnel d'un hôpital psychiatrique d'identifier de faux patients dans un groupe qui n'en comporte pas. Les pseudo-patients[modifier | modifier le code] « I told friends, I told my family, 'I can get out when I can get out. Maurice K.

jeux sérieux 1 - serious game Vous voici devant la plus récente version de notre célèbre Répertoire des Jeux sérieux gratuits. Principales nouveautés : Septembre 2013 : 22 jeux nouveaux ! Les nouveautés se situent dans les catégories suivantes: Pour les tout-petits (1), Administration - Finances - Marketing (2), Alimentation - Agriculture (1), Biologie-Nature (1), Droit et justice (1), Entraide - Bénévolat - Citoyenneté (1), Environnement-Développement durable (1), Informatique-Internet (2), Langues (3), Mathématiques (1), Musique (1), Orientation professionnelle (2), Physique (1), Psyché (1) et Santé-Hygiène-Prévention (3). Pour vous éviter de parcourir une très longue liste, nous vous proposons de cliquer ci-dessous sur les sujets qui vous intéressent. Cela vous conduira directement au coeur de la catégorie voulue. Sommaire du répertoire N’hésitez pas à explorer les catégories que vous ne connaissez pas, vous y découvrirez certainement des merveilles ! Bonne découverte, et bons jeux ! Pour les tout-petits (1 nouveauté)

Type 4 Le Type Quatre de l'Ennéagramme : L'individualiste Le type sensible et retiré : Expressif, dramatique, intériorisé et irritable Peur fondamentale : ne pas avoir d'identité ou d'importance Le désir de base : se trouver et trouver leur raison d’être (créer une identité) Ennéagramme Quatre avec un aile Trois : « L'Aristocrate » Ennéagramme Quatre avec un aile Cinq : « Le Bohême » Résumé du profil du type Quatre Les Niveaux épanouis Niveau 1 (à leur meilleur) : Profondément créatifs, exprimant des valeurs personnelles et universelles, éventuellement à travers l'art. Niveau 2 : Conscients d'eux-mêmes, introspectifs, à la recherche d'eux-mêmes, conscients de leurs sentiments et de leurs impulsions. Niveau 3 : Personnels, individualistes, véridiques, ils se révèlent, sont honnêtes dans leurs émotions et humains. Les Niveaux moyens Niveau 6 : Progressivement, ils pensent qu'ils sont différents des autres, et se sentent exemptés de la vie telle que les autres la vivent. Les Niveaux pathologiques

Expérience de Asch Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expérience de Asch, publiée en 1951, est une expérience du psychologue Solomon Asch qui démontre le pouvoir du conformisme sur les décisions d'un individu au sein d'un groupe[1]. Description de l'expérience[modifier | modifier le code] Exemple : la ligne de gauche est la ligne de référence ; les trois lignes de droite sont les lignes de comparaison. Solomon Asch invita un groupe d'étudiants (entre 7 et 9) de 17 à 25 ans à participer à un prétendu test de vision auquel avaient auparavant été soumis des sujets témoins qui n'eurent aucun mal à donner toujours la bonne réponse. Les complices et le sujet furent assis dans une pièce et on leur demanda de juger la longueur de plusieurs lignes tracées sur une série d'affiches. Après l'annonce des résultats, le sujet attribuait généralement sa piètre performance à sa propre « mauvaise vue ». Variantes[modifier | modifier le code] L’expérience de Asch comprend différents facteurs.

Automates intelligents 4 Septembre 2001 Notes par Jean Paul Baquiast Ilya Prigogine Retour au sommaire du dossier Le grand succès actuel du darwinisme évolutionnaire, appliqué notamment aux sciences de la vie et aux sciences humaines et sociales, tend à faire oublier ce qui apparut dans les années 1980 comme une avancée considérable dans la compréhension de la logique de la vie, et plus généralement des divers mécanismes évolutifs, l'introduction de la flèche du temps et de l'irréversibilité dans la dynamique des systèmes physiques, la thermodynamique du non-équilibre. Ce furent Ilya Prigogine, Isabelle Stenghers et leurs disciples de l'Université libre de Bruxelles et de l'Université du Texas à Austin qui furent les initiateurs de cette véritable révolution conceptuelle, abondamment commentée ou complétée depuis et devenue incontournable. L'introduction du temps et de l'irréversibilité dans la physique. L'irruption du darwinisme a sonné une première alerte. L'homme devant l'incertain Automates Intelligents © 2001

Bases neurologiques du libre-arbitre 25 septembre 2002 Retour sur les bases neurologiques du libre arbitre par Jean-Paul Baquiast La parution récente du livre "The illusion of conscious will" de DM Wegner, remet en actualité les discussions relatives à la "réalité neurologique" du libre arbitre dans le fonctionnement du cerveau conscient. Dans la perspective matérialiste, la priorité consiste à préciser exactement le moment où le "Je" prends une décision que nous pourrons qualifier de consciemment volontaire, qu'il conviendra de distinguer de toutes celles qui sont la conséquence des multiples conditionnements génétiques et culturels auxquels les hommes comme les animaux sont soumis. Intuitivement, nous considérons que la conscience volontaire est le propre de l'homme, ceci même lorsque nous ne nous référons pas à des conceptions dualistes de l'esprit. Benjamin Libet et Robert Kane Diverses observations semblent confirmer l'hypothèse du caractère illusoire de la décision volontaire. Revenons à l'expérience de Libet.

extrait:
"- la personne incompétente tend à surestimer son niveau de compétence,
- la personne incompétente ne parvient pas à reconnaître la compétence dans ceux qui la possèdent véritablement,
- la personne incompétente ne parvient pas à se rendre compte de son degré d'incompétence," by magickara Apr 16

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