Les lois basiques de la bêtise humaine Il semble que les gens intelligents ont toujours sous-estimé le pouvoir dommageable des individus stupides, c’est une des lois de la bêtise humaine. Les lois fondamentales de la stupidité humaine sont anciennes. L’essai définitif sur le sujet est plus récent. Il s’appelle “les lois de base de la bêtise humaine”, il a été publié en 1976 par un économiste italien (lien plus bas). Le professeur Carlo Maria Cipolla a enseigné dans plusieurs universités en Italie et pendant de nombreuses années à l’université de Californie, Berkeley. Cipolla a écrit les lois dans un langage simple. 1. L’essai de Cipolla donne une vision aux rayons X de ce qui distingue les pays en hausse de ceux qui sont en baisse. Les nations qui chutent ont, au contraire, une “prolifération alarmante » de personne non stupide, dont le comportement « renforce inévitablement le pouvoir destructeur” de leurs concitoyens à la persistante stupidité.
Théorème du singe Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le théorème du singe est un exemple d'« histoire enseignement », une historiette présentée sur le mode narratif, non nécessairement véridique, dont la morale permet d'enseigner ou d'expliciter un phénomène. Ici, le théorème du singe est utilisé pour mettre en valeur le fonctionnement du conditionnement mental. Cette histoire est présentée comme le récit d'une expérience scientifique comportementale menée sur des chimpanzés. Le récit de l'expérience[modifier | modifier le code] De singes et de bananes. Une vingtaine de chimpanzés sont isolés dans une pièce où est accrochée au plafond une banane, et seule une échelle permet d'y accéder. Rapidement, les chimpanzés apprennent qu'ils ne doivent pas escalader l'échelle. Un des singes est remplacé par un nouveau. L'expérience est poursuivie jusqu'à ce que la totalité des premiers chimpanzés qui avaient effectivement eu à subir les douches froides soient tous remplacés. (en) G.
Principe de Peter. Le dérèglement hiérarchique L’humour, l’ironie peuvent avoir une fonction de critique sociale décapante, rabaissant le prestige du pouvoir, en même temps que l’autorité et le sérieux de la psychologie scientifique ainsi que les idéaux de la réussite. Il n’y a pas que la démocratie dont on puisse se moquer : tous les bureaucrates se ressemblent, en toute dictature, dure ou molle. On appelle cela des chefs ! La compétition, synthèse "chrétienne" du Maître et de l’Esclave (de la lutte et du travail) est la vérité du Capitalisme, au nom de l’efficacité déjà fondée par Machiavel, mais son triomphe totalitaire mène à l’incompétence généralisée. C’est bien des tares réelles qui sont dénoncées ici et qui sont déjà prises en compte par les nouvelles organisations. Mais la banalité hiérarchique s’étend à tous les liens de dépendances, divers sectes, mafias, clientélismes et chaînes de dépendances dont la société moderne meuble dangereusement sa solitude et la disparition des liens communautaires traditionnels.
Comment les idiots ne savent pas qu’ils sont idiots ? Votre Guru revient sur une étude publiée en 1999, mais qui est complètement d’actualité à l’approche des futures élections démocratiques et qui vient parfaitement compléter mon tout récent article sur les lois basiques de la bêtise humaine. Nous allons découvrir ensemble quelque chose dont nous nous doutions, surtout vous fidèles lecteurs(rices)… L’effet Dunning-Kruger, ou comment des difficultés à reconnaitre sa propre incompétence conduisent à se surestimer. Un nombre croissant de recherches en psychologie montre que l’incompétence prive les gens de la capacité à reconnaitre leur propre incompétence. Pour dire les choses crument, les gens sont trop bêtes pour savoir qu’ils sont stupides et inversement, les personnes compétentes ont tendance à sous-estimer leur niveau de compétence. Image d’entête : l’affiche du film Idiocraty. *La notion de percentile ou centile reste difficile à expliquer simplement, vous pouvez prendre ses résultats sous la forme de pourcentage.
Expérience de Rosenhan L'étude de Rosenhan est composée de deux parties. La première implique la participation d'associés en bonne santé mentale, les « pseudo-patients », qui simulent des hallucinations auditives brèves dans le but d'être admis dans douze hôpitaux psychiatriques des États-Unis, répartis dans cinq États différents du pays. Ils ont tous été admis et reconnus souffrant de désordres psychiatriques. Après leur admission, ils agissent normalement et déclarent au personnel soignant qu'ils se sentent bien, et n'ont plus d'hallucination du tout. Le personnel de l'hôpital échoue dans chaque cas à détecter la supercherie, et reste au contraire persuadé que tous les pseudo-patients montrent les symptômes d'une maladie mentale. La seconde partie consiste à demander au personnel d'un hôpital psychiatrique d'identifier de faux patients dans un groupe qui n'en comporte pas. Les pseudo-patients[modifier | modifier le code] « I told friends, I told my family, 'I can get out when I can get out. Maurice K.
jeux sérieux 1 - serious game Vous voici devant la plus récente version de notre célèbre Répertoire des Jeux sérieux gratuits. Principales nouveautés : Septembre 2013 : 22 jeux nouveaux ! Les nouveautés se situent dans les catégories suivantes: Pour les tout-petits (1), Administration - Finances - Marketing (2), Alimentation - Agriculture (1), Biologie-Nature (1), Droit et justice (1), Entraide - Bénévolat - Citoyenneté (1), Environnement-Développement durable (1), Informatique-Internet (2), Langues (3), Mathématiques (1), Musique (1), Orientation professionnelle (2), Physique (1), Psyché (1) et Santé-Hygiène-Prévention (3). Pour vous éviter de parcourir une très longue liste, nous vous proposons de cliquer ci-dessous sur les sujets qui vous intéressent. Cela vous conduira directement au coeur de la catégorie voulue. Sommaire du répertoire N’hésitez pas à explorer les catégories que vous ne connaissez pas, vous y découvrirez certainement des merveilles ! Bonne découverte, et bons jeux ! Pour les tout-petits (1 nouveauté)
Principe de Peter Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le principe de Peter, également appelé « syndrome de la promotion Focus », est une loi empirique relative aux organisations hiérarchiques proposée par Laurence J. Peter et Raymond Hull dans l'ouvrage Le Principe de Peter (1970)[1]. Selon ce principe, « dans une hiérarchie, tout employé a tendance à s'élever à son niveau d'incompétence » avec le corollaire qu'« Avec le temps, tout poste sera occupé par un employé incapable d'en assumer la responsabilité. » L'ouvrage de Peter et Hull est rédigé sur un ton satirique mais le principe qu'il expose a fait l'objet d'études universitaires étudiant sa validité par la modélisation ou par la confrontation à des cas réels, certaines concluant à sa validité complète ou partielle. Présentation de la thèse[modifier | modifier le code] Explication du principe[modifier | modifier le code] Ces dernières hypothèses ne sont qu'une interprétation non systématiquement retenue du principe de Peter. ↑ Laurence J.
Type 4 Le Type Quatre de l'Ennéagramme : L'individualiste Le type sensible et retiré : Expressif, dramatique, intériorisé et irritable Peur fondamentale : ne pas avoir d'identité ou d'importance Le désir de base : se trouver et trouver leur raison d’être (créer une identité) Ennéagramme Quatre avec un aile Trois : « L'Aristocrate » Ennéagramme Quatre avec un aile Cinq : « Le Bohême » Résumé du profil du type Quatre Les Niveaux épanouis Niveau 1 (à leur meilleur) : Profondément créatifs, exprimant des valeurs personnelles et universelles, éventuellement à travers l'art. Niveau 2 : Conscients d'eux-mêmes, introspectifs, à la recherche d'eux-mêmes, conscients de leurs sentiments et de leurs impulsions. Niveau 3 : Personnels, individualistes, véridiques, ils se révèlent, sont honnêtes dans leurs émotions et humains. Les Niveaux moyens Niveau 6 : Progressivement, ils pensent qu'ils sont différents des autres, et se sentent exemptés de la vie telle que les autres la vivent. Les Niveaux pathologiques
Utilitarisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'utilitarisme est une doctrine éthique qui prescrit d'agir (ou ne pas agir) de manière à maximiser le bien-être global de l'ensemble des êtres sensibles. L'utilitarisme est donc une forme de conséquentialisme, théorie évaluant une action (ou une règle) uniquement en fonction des conséquences escomptées, qui se distingue de la morale rationnelle et notamment kantienne. Explication[modifier | modifier le code] L'utilitarisme est une forme de conséquentialisme : il évalue une action (ou une règle, voire une disposition ou un désir) uniquement en fonction de ses conséquences, ce qui l'oppose à une morale idéaliste plaçant la raison à la source des actions. L'utilitarisme définit classiquement le bien-être par le bonheur. L'utilitarisme est donc un conséquentialisme eudémoniste. Il convient donc de ne pas réduire le concept d'utilité à son sens courant de moyen en vue d'une fin immédiate donnée. L'Utilité utilitariste[modifier | modifier le code]
Expérience de Asch Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'expérience de Asch, publiée en 1951, est une expérience du psychologue Solomon Asch qui démontre le pouvoir du conformisme sur les décisions d'un individu au sein d'un groupe[1]. Description de l'expérience[modifier | modifier le code] Exemple : la ligne de gauche est la ligne de référence ; les trois lignes de droite sont les lignes de comparaison. Solomon Asch invita un groupe d'étudiants (entre 7 et 9) de 17 à 25 ans à participer à un prétendu test de vision auquel avaient auparavant été soumis des sujets témoins qui n'eurent aucun mal à donner toujours la bonne réponse. Les complices et le sujet furent assis dans une pièce et on leur demanda de juger la longueur de plusieurs lignes tracées sur une série d'affiches. Après l'annonce des résultats, le sujet attribuait généralement sa piètre performance à sa propre « mauvaise vue ». Variantes[modifier | modifier le code] L’expérience de Asch comprend différents facteurs.
extrait:
"- la personne incompétente tend à surestimer son niveau de compétence,
- la personne incompétente ne parvient pas à reconnaître la compétence dans ceux qui la possèdent véritablement,
- la personne incompétente ne parvient pas à se rendre compte de son degré d'incompétence," by magickara Apr 16