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Do it yourself

Do it yourself
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Do it yourself (DIY) est une appellation, dont une traduction littérale en français serait « Faites-le vous-même », « Faites-le par vous-même », « Fais-le toi-même » ou encore « fait maison », ou « fait à la main » au Canada, qui désigne à la fois : certains musiciens ou mouvements culturels ;des activités visant à créer des objets de la vie courante, des objets technologiques ou des objets artistiques, généralement de façon artisanale. En 2007, la croissance des ressources de DIY en ligne est en forte progression[1], et le nombre de propriétaires ayant un blog à propos de leur propre expérience ne cesse de croître de même que les sites web DIY d'organisations. Philosophie Do it yourself[modifier | modifier le code] On peut associer la formule « Do it yourself » au bricolage ou à la débrouillardise mais cela ne s'arrête pas là. Dans la culture punk[modifier | modifier le code] Bijoux de fantaisie DIY[modifier | modifier le code]

Fab lab Un fab lab ou fablab[1] (contraction de l'anglais fabrication laboratory, « laboratoire de fabrication ») est un tiers-lieu de type makerspace[2] cadré par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) et la FabFoundation[3] en proposant un inventaire minimal[4] permettant la création des principaux projets fab labs, un ensemble de logiciels et solutions libres et open-sources, les Fab Modules[5], et une charte de gouvernance, la Fab Charter[6]. Pour être identifié en tant que fab lab par la FabFoundation, il faut passer par plusieurs étapes[7] et il est possible de suivre une formation à la Fab Academy[8]. Les fab labs sont réunis en un réseau mondial très actif, d'après son initiateur Neil Gershenfeld[9]. Les couleurs du logo représentent[10] : le vert : modèle commercial et économique ;le bleu : impact social et durabilité ;le rouge : recherche et éducation. Historique[modifier | modifier le code] Principes des fab labs[modifier | modifier le code] Fab City[modifier | modifier le code]

objets du futur - Game Taito Stations… - La Tokyo Tower de… - Les japonais ont… - Les japonais… - Microworld Biosphere ou la science avant la fiction A la fin des années 80 naquit l'expérience Biosphere. A l'époque, pour ceux qui s'en rappelent, il y avait comme de l'utopie dans l'air: recréer sous un dome un monde hermétique pour simuler ce qu'on serait capable de faire bientôt sur d'autres planètes. A l'époque, "bientôt" c'était l'an 2000 ! Alors, forcément, l'utopie est retombée comme un vieux soufflet. Mais pourquoi tant de haine ? Parce que voici ci-dessous une image venant de la webcam de Biosphere qui y montre encore une expérience en cours. Biosphere aujourd'hui, c'est encore un film de science-fiction des années 80.

Dis-moi si tu préfères bidouiller Arduino ou consommer iPad et j Parmi la centaine de commentaires provoqués par notre récent article Pourquoi je n’achèterai pas un iPad, on a pu noter une opposition franche entre ceux qui pensaient qu’il était important, voire fondamental, d’avoir la possibilité « d’ouvrir le capot » logiciel et matériel de la bête, et ceux qui n’y voyaient qu’une lubie de geeks passéistes et rétrogrades. Or aujourd’hui nous allons justement évoquer un drôle d’objet qui accepte d’autant plus volontiers de se mettre à nu qu’il sait que c’est sa principale qualité aux yeux de son enthousiaste et créative communauté. Il s’agit de la carte Arduino qui est un peu à l’électronique ce que le logiciel libre est à l’informatique, puisque le design, les schémas, les circuits et l’environnement de programmation sont disponibles sous licence libre[1] Nous vous suggérons également cette excellente interview de Alexandra Deschamps-Sonsino, réalisée par Hubert Guillaud pour InternetActu, dont voici quelques larges extraits : Matériel ouvert

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