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Rebooter les villages

Zone rurale autonome + hackers = hackerland. Une équation somme toute logique, comme nous l'ont expliqué les habitants d'un de ses "néo-villages" installé dans le Centre. Ils organisaient ce week-end leur deuxième festival, au joli titre en forme de synthèse : electronic pastorale. La sainte trinité du hackerland. Ces deux univers étaient faits pour se rencontrer, s’aimer, s’aider : les hackers et ce qu’on pourrait appeler les zones rurales autonomes. Car le lieu a d’abord rassemblé une poignée de personnes qui voulaient vivre en autosuffisance, constituer un collectif au maximum “résilient” : trois gars du coin et pas des Parisiens en mal de retour à la Nature comme le Larzac en a vu tant passer. Alors, ils ont acheté deux hectares et, partant de ce rien de terre, ont construit pas à pas “un village”. Éloge de la do-ocracy Depuis leurs débuts, ils ont entendu tous les noms d’oiseaux planants : “hippies”, “tarte aux fleurs”, “allumés énergétiques”, etc. Il est libre, le pixel

fr RepRap est la première machine autoréplicable de production d'usage général fabriqué par l'homme. RepRap se présente sous la forme d'une imprimante 3D, pilotée par un logiciel libre, capable d'imprimer des objets en plastique. Puisque la RepRap est composée de plusieurs pièces de plastique et que la RepRap a la capacité d'imprimer ces pièces, la RepRap peut être considérée comme autoréplicable — tout le monde peut la construire avec du temps et le matériel nécessaire. Cela signifie également que — si vous possédez une RepRap — vous pouvez imprimer beaucoup d'objets utiles, voire même imprimer une autre RepRap pour un ami... Le concept RepRap relève de la production de machines autoreplicables, ainsi que de les rendre librement accessibles au bénéfice de tous. RepRap.org est un projet collectif, vous êtes donc cordialement invités à modifier presque toutes les pages de ce site, ou mieux, créer de nouvelles pages personnalisées. RepRap a été la première imprimante 3D à faible coût.

Would Paying Politicians More Attract Better Politicians? Singaporean Prime Minister Lee Hsien Loong at the G20 Cannes summit in 2011. (Photo: Pablo Manriquez) Whenever you look at a political system and find it wanting, one tempting thought is this: Maybe we have subpar politicians because the job simply isn’t attracting the right people. This is an unpopular argument for various reasons, in part because it would be the politicians themselves who have to lobby for higher salaries, and that isn’t politically feasible (especially in a poor economy). But the idea remains attractive, doesn’t it? Some countries already pay their government officials a lot of money — Singapore, for instance. Ministers in Singapore are the highest paid politicians in the world, receiving a 60% salary raise in 2007 and as a result Prime Minister Lee Hsien Loong‘s pay jumped to S$3.1 million, five times the US$400,000 earned by President Barack Obama. Although Singapore recently cut its politicians pay drastically, the salaries remain relatively very high.

usinette.org Le FMI félicite l’Islande pour son bras d’honneur aux banquiers Toute honte bue, l’économiste en charge de l’Islande au FMI admet que les insulaires ont fait le bon choix en refusant d’appliquer les cures d’austérité habituellement prescrites par les équipes de Christine Lagarde… Décodé, le style télégraphique du titre de l’article du 13 août de businessweek.com est éloquent : « Le FMI déclare que le plan de sauvetage à la manière Islandaise fournit des leçons pour les temps de crise ». L’article fait référence à l’interview récemment accordée à Bloomberg par la charmante Daria Zakharova, chef de la mission économique en charge de l’Islande au sein du FMI, qui tire les enseignements du « surprenant et puissant rétablissement » de sa « protégée ». Maniant une langue de bois bien compréhensible compte tenu du contexte déjà évoqué par Bakchich à 2 reprises, Zakharova a bien sûr omis de rappeler à son interlocuteur, le sort un brin expéditif réservé par les autorités locales, aux banksters locaux à l’origine du naufrage du pays. L'Europe attendra

A propos L’Electrolab est un hacker space dans la zone industrielle de Nanterre. À quelques stations de RER du centre de Paris, Ce nouveau Fablab de la région parisienne est, comme son nom l’indique, dédié aux projets ayant une forte connotation électronique et / ou mécanique. Installé dans les sous-sols d’une des entreprises de la zone, à 5 minutes à pieds de la gare de Nanterre Ville, il accueille dans ses 180 m² utilisables, tous les outils et matériaux nécessaires au développement et à la réalisation de circuits électroniques, robots et autres machins-qui-font-du-bruit-et-qui-clignotent. Il est équipé entre autres d’une zone chimie avec perchlo et matériel de révélation de PCB, d’une zone mécanique pouvant accueillir un véhicule de taille normale avec tour, fraiseuse, poste à souder, d’une zone électronique avec de grands plans de travail tout équipés (fers à souder, alimentations, oscilloscopes…) et bien sûr de grandes tables pour se poser avec son laptop et geeker tranquillement.

"Eurobonds", "project bonds"... le lexique du sommet Article publié le 23 mai 2012 Qu'est-ce qu'un "eurobond" ? Les eurobonds, ou euro-obligations, sont une vieille idée des partisans d'une Europe plus fédérale. A quoi serviraient les euro-obligations ? Cet outil, régulièrement relancé par la Commission européenne, permettrait aux pays les plus fragiles de la zone euro, qui doivent actuellement verser des primes de risque très fortes pour emprunter, de bénéficier des taux d'intérêt très faibles dont jouissent les Etats les plus solides. Par conséquent, ils afficheraient un taux d'intérêt correspondant à une moyenne des taux de chaque Etat émetteur pondérés par leur poids économique. Les euro-obligations permettraient aux Etats de refinancer leur dette, c'est-à-dire de combler leur déficit et de rembourser leurs créanciers. Qu'est-ce qu'un "project bond" ? Certains les appellent les "bébés eurobonds" : il s'agirait aussi d'emprunts lancés en commun par plusieurs pays européens. Les divergences franco-allemandes

Agences de notation  Allez au contenu, Allez à la navigation Sénat - Titre de la page 13 avril 2014 Recherche Recherche avancée Accueil > Travaux parlementaires > Commissions > Missions d'information > Agences de notation Mission commune d'information sur le fonctionnement, la méthodologie et la crédibilité des agences de notation Lors de sa réunion du 8 février 2012, la conférence des présidents a pris acte de la création d'une mission commune d’information sur le fonctionnement, la méthodologie et la crédibilité des agences de notation. Consultez le rapport de la mission commune d'information et ses annexes La synthèse du rapport Le blog de la mission commune d'information sur les agences de notation Trois questionnaires en ligne, destinés aux investisseurs, émetteurs et analystes en français (et en anglais), ont été créés. Participez à la consultation en ligne en répondant aux questionnaires Composition Les travaux de la mission Bureau Les membres de la mission Communiqués de presse Mon Sénat Accès rapide Agenda du Sénat

What money can't buy - UN discusses happiness as a measure of progress The High Level Meeting “Happiness and Well-being: Defining a New Economic Paradigm” was hosted on 2 April by the Government of Bhutan at the UN headquarters in New York. It brought together hundreds of representatives from governments, religious organisations, academia and civil society to discuss the issue. Prime Minister of Bhutan, Lyonchoen Jigmi Yoezer Thinley The discussion was chaired by Jacqueline McGlade, Executive Director of the European Environment Agency (EEA). “The economic crisis, accelerating environmental degradation and growing discontent around the world all point to one conclusion – GDP as the sole measure of success has reached the end of the road,” she said. Many environmental analyses carried out by the EEA underline the importance of breaking the link between environmental damage and economic growth if we are to achieve continued prosperity, without destroying the natural systems that sustain us. What makes us happy? Happiness and Rio+20 UN press release

Venez donc chez moi, il y a une taxe (carbone) ! - Blogs Intelligence économique Vue depuis l’Australie, le bras de fer qui oppose l’Union Européenne à la majorité des pays membres de l’Organisation de l’Aviation Civile Internationale (26 sur 36), prend un tour préoccupant. Rappelons rapidement quelle est la situation : depuis le 1er janvier 2012 l’Union Européenne a institué un système de permis à polluer dans l’espace européen se traduisant par une taxe dite « taxe carbone ». Elle touche potentiellement près de 4300 sociétés dans le monde et leur coûtera 1milliard de dollars US en 2012. Mais voici l’occasion de traiter – du point de vue de l’intelligence économique – les effets collatéraux d’une taxation faite dans un but non commercial – la lutte contre le réchauffement climatique – très difficilement quantifiable et aux résultats compliqués à mesurer. Qui va payer ? Taxeur et taxéCe constat amène à s’interroger sur la qualité ou la capacité comparée du taxeur et du taxé en tant qu’investisseur.

Développement durable et luxe sont-ils compatibles ? Un mariage contre nature... Souvent associé au gaspillage et à l'ostentation, le luxe paraît aux antipodes du développement durable qui, pour sa part est associé à la recherche de sobriété et à une réflexion profonde sur la consommation responsable. Lorsque le luxe s'associe à la liberté de création, à la beauté et au plaisir personnel, le développement durable tend à être associé à un monde contraignant, simple et relativement austère, mettant l'altruisme en avant. La question est également posée sur l'utilité du luxe, car les critiques les plus vives portent justement sur le caractère inutile que lui trouvent ses plus grands détracteurs. Le luxe est ainsi accusé d'utiliser et de gaspiller les ressources, humaines autant que naturelles, qui pourraient être nécessaires pour des industries plus utiles. Le luxe DD n'est-il que du Green Washing ? Source : ABC-luxe.com Retrouvez les cahiers des Universités du luxe en cliquant ici.

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