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Laboratoire de Zététique, Université de Nice-Sophia Antipolis Fa c u l t é d e s S c i e n c e s d e N i c e Le sérieux n'empêche pas un petit clin d'oeil à StarWars TSG (et à la 20th century Fox)... Le laboratoire de Zététique a été nommé "Center For Inquiry-France" par le CSI (USA) "to promote and defend reason, science and freedom of inquiry in all areas of human endeavor." Impostures intellectuelles Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Impostures intellectuelles est un ouvrage d'Alan Sokal et Jean Bricmont publié en 1997[1]. L'ouvrage constitue une critique assez dure envers ce que les auteurs regroupent sous le nom de « philosophie postmoderne ». Une nouvelle édition, revue et augmentée, est sortie en 1999. Contexte[modifier | modifier le code] Au cours du XXe siècle, la sociologie des sciences et la philosophie des sciences ont vu se développer des courants relativisant radicalement la valeur des thèses admises en science en tant que vérités. En 1996, la revue de sciences humaines Social Text publia un recueil d'articles allant dans le sens des postmodernes, sous le nom Science wars. Le canular l'ayant rendu assez célèbre, Sokal s'associa au physicien belge Jean Bricmont pour écrire un livre détaillant son point de vue sur ce qu'il cherchait à mettre en évidence. L'objectif de l'ouvrage[modifier | modifier le code] Réactions[modifier | modifier le code]

Invisible Pink Unicorn The Invisible Pink Unicorn (IPU) is the goddess of a parody religion used to satirize theistic beliefs, taking the form of a unicorn that is paradoxically both invisible and pink.[1] She is a rhetorical illustration used by atheists and other religious skeptics as a contemporary version of Russell's teapot, sometimes mentioned in conjunction with the Flying Spaghetti Monster.[2] The IPU is used to argue that supernatural beliefs are arbitrary by, for example, replacing the word God in any theistic statement with Invisible Pink Unicorn.[3] The mutually exclusive attributes of pinkness and invisibility, coupled with the inability to disprove the IPU's existence, satirize properties that some theists attribute to a theistic deity.[4] History[edit] The Invisible Pink Unicorn logo used to depict atheism The concept was further developed by a group of college students from 1994 to 1995 on the ISCA Telnet-based BBS. Invisible Pink Unicorns are beings of great spiritual power. Concepts[edit]

Licorne rose invisible Représentation de la Licorne rose invisible. La LRI est utilisée comme exemple afin de mettre en évidence l'aspect arbitraire des croyances surnaturelles; par exemple, remplacer le mot « Dieu » dans n'importe quelle déclaration théiste par « Licorne rose invisible »[3]. Les attributs de couleur rose et d'invisibilité qui s'excluent mutuellement, conjugués à l'incapacité de réfuter l'existence de la LRI, fait une satire des propriétés que certains théistes attribuent à leur divinité[4]. Historique[modifier | modifier le code] L'idée de la Licorne rose invisible est apparue sur Usenet, notamment sur alt.atheism, au début des années 1990[5] — ce qui explique que la quasi-totalité des références à son sujet soient en anglais. Cette idée a ensuite été développée principalement entre 1994 et 1995 par un groupe d'étudiants de l'Université de l'Iowa. « Les Licornes roses invisibles sont des êtres d'un grand pouvoir spirituel. — Serah Eley, Manifeste Objectif[modifier | modifier le code]

Church of the Flying Spaghetti Monster Les pseudo-sciences nuisent-elles à l'image de la science ? Ce texte reprend l’essentiel de l’intervention faite lors de l’atelier « Image de la science » au Colloque National sur les Études Scientifiques Universitaires (Bordeaux, 3, 4 et 5 février 2003). La croyance dans le paranormal et l’image de la science Des croyances très répandues Force est de constater que la croyance dans les phénomènes paranormaux est encore largement répandue comme en témoigne une série d’enquêtes menées depuis une vingtaine d’années par la SOFRES et dont le dernier sondage réalisé (2000) confirme les précédents : Outre l’étonnante stabilité de ces croyances au long de ces deux décennies, une autre leçon se doit d’être soulignée : le niveau d’instruction ne semble pas prémunir de ces croyances. Ainsi, des populations comme les enseignants en primaire ou collège semblent adhérer plus largement que la moyenne à certaines croyances. Un business important et lucratif Quels dangers ? « Bien sûr, chacun est libre de croire ce qu’il veut. La suite de la campagne est édifiante.

La démarche scientifique face à la parapsychologie - Méthode et prudence scientifiques 1. Introduction Ce texte a été rédigé particulièrement pour ceux qui luttent contre les pseudo-sciences, mais aussi à destination des parapsychologues, médiums, partisans de l’ésotérisme etc., pour montrer la différence de point de vue entre celui des scientifiques et le leur. J’ai voulu répondre à leur attente, en apportant un point de vue plus « scientifique » que celui habituel adopté par les tenants des thèses parapsychologiques ou ésotériques, car il m’a semblé intéressant de confronter le point de vue des scientifiques avec celui des médiums, tenants de l’ésotérisme et des parapsychologues. Mais avant de pouvoir le faire, il est nécessaire de procéder à un rappel de la démarche scientifique. 2. La démarche scientifique part d’un certain nombre de présupposés, issus de l’expérience, que nous allons exposer. Voici ces principaux présupposés. 2.1. Tous les phénomènes de la nature procèdent par une série de causes et d’effets déterministes. 2.2. 2.3. 2.4. 2.5. 2.6. 2.7. 3. 4. 4.1. 4.2.

À propos de la brève « Deux façons de servir la science » Dans notre numéro 299 (janvier 2012), Suzy Collin-Zahn commentait, dans la rubrique « Regards sur la science », le livre de Christian Magnan intitulé Le théorème du Jardin. Christian Magnan a souhaité réagir à cette analyse. Vous trouverez sa lettre ci-après ainsi que la réponse de Suzy Collin-Zahn. La réaction de Christian Magnan J’ai été choqué par l’article de Suzy Collin-Zahn paru dans le numéro de janvier 2012 de Science et pseudo-sciences (page 9). Pour illustrer la bonne façon, à ses yeux, de servir la science, notre astrophysicienne choisit la dernière découverte-phare de la physique, à savoir la mise en évidence de neutrinos dont la vitesse dépasserait celle de la lumière : un comportement interdit par la relativité restreinte. C’est précisément cette proposition que conteste mon livre. Les cosmologistes connaissent bien cette façon vicieuse de produire des explications arbitraires face à des observations. Le débat sur les dérives de la science sera-t-il ouvert loyalement ? C.

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