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Sociologie des organisations

Sociologie des organisations
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La sociologie des organisations peut se définir comme une branche de la sociologie qui étudie comment les acteurs construisent et coordonnent des activités organisées. Elle peut aussi se définir comme une science sociale qui étudie des entités particulières nommées organisations, ainsi que leurs modes de gouvernance et interactions avec leur environnement, et qui applique les méthodes sociologiques à l'étude de ces entités. Elle est à l'intersection de plusieurs disciplines, dont l'économie des organisations, le management et la théorie des organisations. Sens et enjeux[modifier | modifier le code] Sens du terme organisation en sociologie[modifier | modifier le code] Le terme organisation peut avoir trois sens distincts en sociologie : L'étude des organisations répond alors à une triple exigence : Enjeux[modifier | modifier le code] Les métaphores retenues par Morgan permettent de voir l'organisation : Trois auteurs vont se démarquer.

La Troisième Vague Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Préambule d'avertissement[modifier | modifier le code] Chronologie de l’expérience d’après Ron Jones[modifier | modifier le code] Lundi[modifier | modifier le code] Jones donne une allocution sur la discipline : comment elle est nécessaire aux athlètes, aux artistes, aux scientifiques, et comment, par la maîtrise de soi, elle assure la réussite des projets. Mardi[modifier | modifier le code] Mercredi[modifier | modifier le code] Jeudi[modifier | modifier le code] Vendredi[modifier | modifier le code] Le journal de l’école, le Cubberley Catamount, consacre à l’expérience une brève extrêmement courte (numéro du [1]) et un article de fond, pourtant assez peu détaillé (numéro du [2]). Réactions et suites de l’expérience[modifier | modifier le code] Des psychologues s’intéressèrent alors à l’expérience menée par Ron Jones, notamment en matière de malléabilité d’esprit chez les adolescents. Questions de vérité historique[modifier | modifier le code]

ABC de la sociologie des organisations - Cours de théorie des organisations La sociologie des organisations s'intéresse aux entités particulières que sont les organisations – définies comme un ensemble de personnes, de dispositifs techniques et de pratiques sociales en interaction - et applique des méthodes sociologiques à leur description. Elle étudie par exemple comment les acteurs construisent et coordonnent des activités organisées, l'identité au travail, la culture d'entreprise, l'histoire des formes d'organisation et la genèse des règles qui les régissent. On parle également de théorie des organisations, voire de sciences des organisations pour désigner l'ensemble des disciplines concernées (la sociologie, mais aussi l'économie, la gestion, les sciences politiques etc.). Dans le cadre d'un internet qui devient "massivement relationnel" elle s'intéresse à l'étude des réseaux sociaux et aux questions de l'identité numérique ou des identités numériques… Ces cours en diapositives animées, vidéo, pptx, pdf sont distribués sous licence Creative Commons 1. 2. 3.

Capitalisme La mise en forme de cet article est à améliorer(octobre 2017). La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ». Comment faire ? Les points d'amélioration suivants sont les cas les plus fréquents. Pour une aide détaillée, merci de consulter Aide:Wikification. Si vous pensez que ces points ont été résolus, vous pouvez retirer ce bandeau et améliorer la mise en forme d'un autre article. Le capitalisme désigne l'économie de marché, vue sous l'angle du rôle des capitalistes, entrepreneurs ou épargnants, et du montant de leurs investissements dans la production de biens et de services. L'entreprise de production de biens et services crée de la valeur ajoutée par différence entre ses ventes et ses achats. Ambiguïtés de significations[modifier | modifier le code] Sa définition diffère dans le temps, dans l'espace, et en fonction des sensibilités politiques des personnes qui l'emploient. Étymologie[modifier | modifier le code] En 1932, M.

Théorie de la connaissance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une partie de cet article porte sur la théorie analytique de la connaissance, discipline philosophique qui s'est pour l'essentiel développée dans le monde anglophone[1]. Le monde germanique, de par l'apport anglo-saxon a repris les résultats analytique pour les réunir dans une théorie globalisante. Le passage est très distinct de Locke, Berkeley, Hume à Kant pour l'analytique. Définition classique de la connaissance[modifier | modifier le code] Croyance vraie justifiée[modifier | modifier le code] L'approche classique définit la connaissance comme une croyance vraie et justifiée[2], et non seulement une croyance vraie. Le terme de « connaissance » a longtemps désigné, en philosophie, des croyances dont la vérité est justifiée de manière certaine. Le problème de Gettier et les analyses contemporaines de la connaissance[modifier | modifier le code] Dans un célèbre article intitulé « Is Justified True Belief Knowledge? Jean C.

Expérience de Rosenhan L'étude de Rosenhan est composée de deux parties. La première implique la participation d'associés en bonne santé mentale, les « pseudo-patients », qui simulent des hallucinations auditives brèves dans le but d'être admis dans douze hôpitaux psychiatriques des États-Unis, répartis dans cinq États différents du pays. Ils ont tous été admis et reconnus souffrant de désordres psychiatriques. Après leur admission, ils agissent normalement et déclarent au personnel soignant qu'ils se sentent bien, et n'ont plus d'hallucination du tout. Le personnel de l'hôpital échoue dans chaque cas à détecter la supercherie, et reste au contraire persuadé que tous les pseudo-patients montrent les symptômes d'une maladie mentale. La seconde partie consiste à demander au personnel d'un hôpital psychiatrique d'identifier de faux patients dans un groupe qui n'en comporte pas. Les pseudo-patients[modifier | modifier le code] « I told friends, I told my family, 'I can get out when I can get out. Maurice K.

GINALEX : Managers de Proximité, de Terrain et Agent de Maitrise, Formation Douai Max Weber Max Weber [maks vebɛʁ][1] (en allemand [maks ˈveːbɐ][2]), né le 21 avril 1864 et mort le 14 juin 1920, est un économiste et sociologue allemand originellement formé en droit. Considéré comme l'un des fondateurs de la sociologie, il porte ses interrogations sur les changements opérés sur la société avec l'entrée dans la modernité. On lui doit notamment des analyses complexes du capitalisme industriel, de la bureaucratie et du processus de rationalisation en Occident. Contrairement à Émile Durkheim, considéré lui aussi comme un père de la sociologie, Weber a peu enseigné et n'a pas fait école de son vivant. Et à la différence de Karl Marx, il aborde le capitalisme non pas « de l'extérieur » (en analysant ses composantes économiques) mais « de l'intérieur », en passant au crible les motivations de ses promoteurs et en recourant pour cela à une méthode qu'il qualifie de « compréhensive ». Introduction[modifier | modifier le code] Réception de son œuvre[modifier | modifier le code]

Méthodologie historique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En épistémologie et en histoire, la méthodologie historique désigne l’ensemble des réflexions qui portent sur les procédés, les moyens, les règles suivies et les contextes des travaux des historiens. Elle tend à cartographier comment les historiens produisent des interprétations historiques, voir à servir de matériel pour la définition des méthodes considérées déontologiques ou tout au moins valides. La recherche et la critique des matériaux[modifier | modifier le code] L'histoire, comme son origine le rappelle, est d'abord une enquête (Ἱστορίαι [Historíai] signifie « enquête » en grec). D'autre part, la recherche et la critique des matériaux ne devrait pas se limiter aux seuls documents écrits, ce qui serait une heuristique trop simple. La recherche des sources[modifier | modifier le code] Avant de se lancer dans la lecture des sources, l'historien réfléchit sur les documents qui pourraient répondre à la question historique qu'il se pose.

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