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Sciences humaines et nouvelles technologies / Humanities and digital technologies

Sciences humaines et nouvelles technologies / Humanities and digital technologies

Write Book 2 - Pierre Mounier (dir.) Qu’est-ce que les humanités numériques ? Apparue en 2006, l’expression connaît depuis un véritable succès. Mais au-delà du slogan à la mode, quelle est la réalité des pratiques qu’il désigne ? Si tout le monde s’accorde sur une définition minimale à l’intersection des technologies numériques et des sciences humaines et sociales, les vues divergent lorsqu’on entre dans le vif du sujet. Ces dix-huit textes essentiels, rédigés ou traduits en français par des chercheurs de différentes nationalités, proposent une introduction aux humanités numériques accessible à tous ceux qui souhaitent en savoir plus sur ce domaine de recherche en constante évolution. Manifeste des Digital humanities Contexte Nous, acteurs ou observateurs des digital humanities (humanités numériques) nous sommes réunis à Paris lors du THATCamp des 18 et 19 mai 2010. Au cours de ces deux journées, nous avons discuté, échangé, réfléchi ensemble à ce que sont les digital humanities et tenté d’imaginer et d’inventer ce qu’elles pourraient devenir. À l’issue de ces deux jours qui ne sont qu’une étape, nous proposons aux communautés de recherche et à tous ceux qui participent à la création, à l’édition, à la valorisation ou à la conservation des savoirs un manifeste des digital humanities. I. 1. 2. 3. II. 4. – que se sont multipliées les expérimentations dans le domaine du numérique en Sciences humaines et sociales depuis un demi-siècle. – que le numérique induit une présence plus forte des contraintes techniques et donc économiques dans la recherche ; que cette contrainte est une opportunité pour faire évoluer le travail collectif ; III. 5. 6. 7. 8. IV. 9. 10. 11. 12. 13. 14. Rejoignez-nous !

Blogo-Numericus | Dangers et bienfaits de la généralisation des écrans et du numérique pour les enfants et les adolescents : enjeux de société et débats politiques Vous êtes ici : Infos > Vie en société > Jeunes > Ecrans et nouvelles technologies Dossier d'information et de réflexion - basé sur une sélection d'extraits d'articles de presse de référence - sur le règne naissant de la civilisation du numérique et sur les effets du développement exponentiel des écrans et de l'application des nouvelles technologies dans la société française (télévision, ordinateur, téléphone mobile, Internet, réseaux sociaux, jeux vidéos, . Impact de l'écran sur le développement des enfants : dangers et bienfaits Une réduction du temps de sommeil néfaste pour les enfants et les adolescents Protection des données et droit à l'oubli Une solution originale pour échapper aux écrans : les abstinents à la télévision Exposer les enfants trop tôt ou trop longtemps aux écrans est dangereux pour leur développement Ces enfants qui ne vivent que devant des écrans "Les jeux vidéo et les réseaux sociaux modifient le rapport à l'espace, au temps, à la construction de l'identité"

Le double visage de l'outil qui fabrique la nouvelle humanité numérique LE MONDE | | Par Paul Mathias, expert des lab Hadopi et ex-directeur de programme au Collège international de philosophie Inextricablement lié aux réseaux sociaux et à Facebook, le "printemps arabe" a frappé les consciences, mais n'a pas été le premier événement à résulter d'un usage expert et constant des réseaux. Les manifestations de Gênes contre le G8, en 2001, consacraient l'idée que des "foules intelligentes", composées d'individus interconnectés et mobiles, formaient un dispositif de contestation très efficace et capable de neutraliser les techniques de confinement mises en oeuvre par les forces de police. Pourtant, les noces de la démocratie et des technologies du numérique, des réseaux, posent problème. Seulement la médiation ne se fait pas ici comme au moyen de l'encre et du papier, de la voix et de l'image et de leur diffusion analogique. Les réseaux, ce sont des protocoles, des applications, des calculs, des automatismes, des algorithmes.

Debates in the Digital Humanities Encompassing new technologies, research methods, and opportunities for collaborative scholarship and open-source peer review, as well as innovative ways of sharing knowledge and teaching, the digital humanities promises to transform the liberal arts—and perhaps the university itself. Indeed, at a time when many academic institutions are facing austerity budgets, digital humanities programs have been able to hire new faculty, establish new centers and initiatives, and attract multimillion-dollar grants. Clearly the digital humanities has reached a significant moment in its brief history. Together, the essays in Debates in the Digital Humanities—which will be published both as a printed book and later as an ongoing, open-access website—suggest that the digital humanities is uniquely positioned to contribute to the revival of the humanities and academic life.

Conversation privée sur Facebook Les médias ont baptisé ce bug - pour l'instant toujours démenti par Facebook - le "cauchemar de Facebook" : des messages privés, reçus entre 2007 et 2009, qui réapparaissent aléatoirement sur la timeline des utilisateurs. Leur timeline publique. Une nouvelle fois (on ne les compte plus), le réseau social se retrouve donc au centre des angoisses cyber-existentielles des internautes. On les comprend. Facebook n'est pas là pour protéger votre vie privée Facebook est un outil de partage et de publication, son but n'est pas de sécuriser les échanges de ses membres sur internet. Comme le résume très bien le journaliste Jean-Marc Manach, spécialiste des questions de vie privée, "il n'y a pas de 'vie privée' sur Facebook : sur un 'réseau social', on mène une 'vie sociale', voire une 'vie publique'". Du reste, les exemples de licenciements à cause de propos tenus sur Facebook ne manquent pas pour illustrer les dangers de la confusion entre public et privé. Facebook n'oublie rien

Six Provocations for Big Data The era of Big Data has begun. Computer scientists, physicists, economists, mathematicians, political scientists, bio-informaticists, sociologists, and many others are clamoring for access to the massive quantities of information produced by and about people, things, and their interactions. Diverse groups argue about the potential benefits and costs of analyzing information from Twitter, Google, Verizon, 23andMe, Facebook, Wikipedia, and every space where large groups of people leave digital traces and deposit data. Significant questions emerge. Will large-scale analysis of DNA help cure diseases? Or will it usher in a new wave of medical inequality? This essay offers six provocations that we hope can spark conversations about the issues of Big Data. (This paper was presented at Oxford Internet Institute’s “A Decade in Internet Time: Symposium on the Dynamics of the Internet and Society” on September 21, 2011.)

«Humanités Digitales» Texte retravaillé le lundi 28 octobre 2013 L’usage en français de l’expression «Humanités Digitales» a démarré à l’Université de Bordeaux 3 dès 2008, et à celle de Lausanne en 2010, sans qu’il n’y ait eu de contact entre les groupes de chercheurs des deux universités. Depuis 2013, la Suisse compte 3 laboratoires d’Humanités Digitales, à l’Université de Bâle, à l’EPFL et à l’Université de Lausanne. L’apparition d’un néologisme tient du fait de société, et demandera bien du temps pour être analysé. De fait, les discussions sur ce thème sont en pleine effervescence, d’où la réécriture de ce blog, qui ignorait encore en septembre 2012, lors de sa première rédaction, l’antériorité de l’usage bordelais. Je soulignerai simplement ici qu’ «ordinateur» ou l’anglais «computer» désignent un concept cérébral. D’autre part, le chercheur en Humanités Digitales tient de l’Homo Faber et réellement fabrique, crée les nouvelles sciences humaines et sociales. Claire Clivaz, «Common Era 2.0. Claire Clivaz

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