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How to Motivate People: Skip the Bonus and Give Them a Real Project

How to Motivate People: Skip the Bonus and Give Them a Real Project
Science has managed to reveal some crazy things that fly in the face of almost every commonly accepted management practice. Here's the latest: Rewards for top performers lead them to worse performance. And if you want to foster innovation, bonuses won't work either. Rather, it's all about letting people slip from under line management and strike out on their own, on projects they care about. Dan Pink lays all that out in this new video, which illustrates a talk he gave at the RSA (a kind of British version of TED): Wild stuff, and all the more unsettling because of the current mess on Wall Street. The fact that science has also created a new vision for workplace performance--fueled less by management and more by individual goals--is shocking. Pink tackles those themes at length in Drive: The Surprising Truth About What Motivates Us.

Qualité de vie au travail et qualité du travail : quel lien ? HAS (CLOT) Xavier FONTANET (BLOG) Essilor Faire confiance au hasard car il est juste ! Publié le 12/10/2011 à 09:16, mis à jour le 12/10/2011 à 09:30 Recourir à la Pythie revenait, en un sens, à se fier au hasard . Photo : DR. BLOGUE. Découvrez mes précédents posts Pour être un bon dirigeant, acceptez l’incertitude - Joichi Ito (MIT) (2011 oct) Au sommet Think global d’IBM à New York, le directeur du MIT Media Lab Joichi Ito a invité les dirigeants à adopter la sérendipité. « Les dirigeants sont surévalués. » C’est sur ces mots que Joichi Ito, directeur du MIT Media Lab, a commencé sa présentation au sommet mondial des dirigeants Think d’IBM à New York, déclenchant les rires et peut-être le courroux de quelques détenteurs de MBA. Joichi Ito est monté seul sur scène pour s’interroger ouvertement sur la valeur du titre de « dirigeant » à une époque où bon nombre d’entreprises moins hiérarchiques ont prouvé leur valeur via une technologie connectée. Les exemples de Mozilla (Firefox) et Wikipédia « Nous pensons que ce qui gouverne le monde, c’est l’intérêt personnel éclairé. À Wikipédia, a-t-il indiqué, la communauté pousse ses membres vers des rôles de dirigeant. Accepter le chaos mais ne jamais être totalement satisfait Le monde est majoritairement incontrôlable et compliqué, constate Joichi Ito. À lire aussi

"Manager-bricoleur” ! Un talentueux ! Celui qui “bricole” en entreprise a souvent une image négative. Pourtant, le bricolage managérial a de nombreuses vertus ! C'est ce qu'explique Raffi Duymédjian(1), professeur chercheur à l’École de management de Grenoble : « En France, “la débrouille”, le fait de “faire avec” sont encore considérés comme des moments ponctuels, des accidents de parcours, qui, s’ils se répètent, risquent de mettre en péril la rigueur et la lisibilité du système. » Cette notion fait pourtant référence à des compétences fondamentalement positives dans les pays anglo-saxons, dans des domaines aussi variés que l’innovation, l’entrepreneuriat, des systèmes d’information… Le manager bricoleur est donc un profil précieux pour une entreprise, mais qui peine encore à être légitimé, sans doute en raison d’un problème de sémantique qui, dans le monde professionnel, renvoie le bricolage à une forte image négative. Le profil du manager bricoleur Utiliser les compétences personnelles de ses collaborateurs

Clef RH : mes collaborateurs ne s’entendent pas ! Ça vient d’où ? Psychologie & Management (PERRIER) Je complète cet article (Temps de lecture ± 1mn30). Il est important d’axer les interrogations autour de la question du travail, de l’activité professionnelle. Car les difficultés tournant autour des histoires quotidiennes «du boulot» à faire ensemble, lorsqu’elles sont non résolues, non débattues, dérivent en «mal-entendus» et en querelles de personnes : «J’en fais une affaire personnelle !». Travailler ce n’est pas seulement produire, c’est aussi vivre ensemble une aventure humaine. Managers, remontez patiemment l’histoire professionnelle de votre équipe, de vos collaborateurs installés dans la relation dégradée. Donnez-vous du temps pour tout cela. Emmanuelle PERRIER Pour aller plus loin… Like this: J'aime chargement…

Du bonheur de travailler à Dieulefit La relation à l’autre, la liberté donnée par un salaire, la joie de voir le résultat, sont au cœur de leurs motivations. La place Châteauras, avec son Temple et ses « grands magasins », est le centre du monde. C’est – en tout cas – le centre de ce bourg drômois, où se croisent commerçants, ouvriers, artisans, chefs d’entreprise, fonctionnaires. Tous attachés à ce pays et à leur vie ici. Pour La Croix, quelques-uns de ses habitants ont accepté d’expliquer leur goût du travail, les raisons pour lesquelles ils ne vont « pas à reculons au boulot », pour reprendre une expression employée par beaucoup. Le travail : un devoir et une chance « Sans travail, on ne peut rien faire dans la vie. Son directeur, Jean-Marie, ingénieur des arts et métiers, estime « avoir la chance de faire quelque chose qui m’intéresse. À 200 mètres de là, et avec une trentaine d’années de moins, Patrice a repris la société de son père. Le travail permet de se « sentir bien » Le salaire est une motivation.

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