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France : Les adolescents français migrent vers Twitter

France : Les adolescents français migrent vers Twitter
Près d'un 15-24 ans sur cinq préfère à présent ce réseau social à Facebook. Il était entendu que les adolescents ne tweettaient pas! Que les fameux natifs du digital boudaient ce réseau social jugé austère. Trop adulte à leur goût, pris en main par des technophiles et autres tendanceurs. Quelque 16% des 15-24 sont déjà sur le réseau de micro-blogging en France, selon les derniers chiffres de l'institut ComScore. Jusqu'à présent, les adolescents plébiscitaient Facebook. «Twitter, c'est juste à moi» Anaïs rit: «Tu veux parler de nos parents? À l'inverse, les risques de rencontrer sur Twitter des membres de sa famille et même ses copains de lycée restent encore faibles. Facebook a valorisé les ego, en offrant à chacun une scène.

Quelles sont les pratiques numériques des jeunes (dossier) Grande question de notre temps : que font les jeunes sur Internet ? Quelles sont leurs pratiques numériques ? À cette question, bien des études et sondages essayent de répondre. Pour faciliter la compréhension du sujet, Michel Guillou (spécialiste du numérique éducatif – TICE) a mis en ligne la présentation Pratiques numériques médiatiques des jeunes, enjeux et perspectives, un dossier riche d’informations sur les publics jeunes et leur relation aux technologies. Données chiffrées et actualisées En effet, il a été capitalisé des données chiffrées issues d’enquêtes et études récentes afin de mettre en exergue ce qui caractérise les usages technologiques des jeunes en France avec le souci de mieux comprendre la diversité de qui ils sont, leurs envies et leur attitude vis-à-vis du numérique. En complément, on peut régulièrement consulter le blog de l’auteur qui propose une lecture et analyse critique de l‘éducation aux médias numériques. 99% des 12-17 ans se disent internautes

Les technologies, outils de socialisation des ados? Facebook, Twitter, smartphones... Les ados sont "hyperconnectés". Omniprésentes dans la vie de ces "digital natives", les techniques de l'information et de la communication (TIC) sont-elles pour autant néfastes? Si, intuitivement, la réponse est "oui", de récentes études avancent le contraire. Passage en revue. Certes, l'usage des nouvelles technologie est bien plus répandu en 2012 qu'en 2006. Bonne ou mauvaise nouvelle? En effet, les adolescents sondés ont déclaré avoir un plus large réseau d'amis depuis qu'ils utilisent ces outils. Autre bienfait des TIC, souligne une récente étude israélienne: les SMS (ou textos) permettent aux jeunes les plus réservés de s'extérioriser plus facilement que dans la vie de tous les jours.

Guerre et tweet Sur la planète Twitter, surgissent de temps à autre des conversations qui dérapent ou des affronts interpersonnels qui prennent les dimensions d'une guerre. Jamais étudiés jusqu’à présent, ces tweet clashes sont pourtant de plus en plus médiatisés. Dans un entretien avec Owni, le chercheur Antonio Casilli identifie le sens caché de ces joutes publiques. Twitter, un îlot de partage, de pacifisme et de bienfaisance… Cette conception idéale du réseau de micro-blogging semble avoir fait son temps. Car, de plus en plus, le gazouillis s’énerve. 19 mai 2012, Audrey Pulvar interroge Harlem Désir sur le plateau de l’émission de France 2 On n’est pas couché. Clairement mise en cause, Audrey Pulvar réagit. Autre exemple ce lundi 2 juillet, et dans un autre registre, avec les journalistes Denis Brogniart et Pierre Ménès. Le débat est suivi par des milliers d’internautes qui défendent tour à tour l’un ou l’autre des protagonistes. Est-ce que tout est nouveau dans le tweet clash ? Pas tout à fait.

Adolescents : Slut-shaming, le nouveau phénomène dangereux Les adolescents sont décidément de plus en plus cruels entre eux. Donnez-leur un ordinateur et des réseaux sociaux, ils trouveront le moyen de torturer leurs camarades de classe. Dernière technique en vogue chez les filles, le « slut-shaming ». Après l'engouement des blogs, Twitter, Tumblr et Cie, place au slut-shaming. Des adolescentes se retrouvent alors insultées, humiliées sur la place publique du web, victimes d’un véritable harcèlement psychologique. Le slut-shaming concoure également à dégrader l’image de la femme et en particulier de la femme sexuellement active, alors targuée de salope. Les 50 chiffres à connaître sur les médias sociaux en 2012 L’heure est aux traditionnels bilans de fin d’année ! Même si elle n’est pas encore tout à fait terminée, on peut dire que 2012 aura été une année plutôt riche en ce qui concerne les média sociaux : le milliardième membre sur Facebook, la montée en puissance de Pinterest, les levées de fonds toujours plus énormes… Les chiffres traduisent l’engouement pour les médias sociaux, dont l’usage ne faiblit pas. Mais que faut-il retenir de cette année 2012 ? Facebook Twitter Youtube 4 milliards de vidéos sont vues chaque jour935 millions : le nombre de vues de la vidéo Gangnam style aujourd’hui… Le milliard approche.Youtube a fêté ses 7 ans en mai 201272 heures de vidéos sont uploadées chaque minute sur Youtube700 vidéos Youtube sont partagées sur Twitter toutes les minutesEn moyenne, un visiteur de Youtube y passe 15 minutes par jour Google Plus Pinterest Instagram Et enfin, le dernier chiffre :

Les adolescents sont accros aux SMS Les adolescents, accros aux SMS ? C'est peu de le dire ! Les jeunes ont beau avoir à disposition les appels téléphoniques et les réseaux sociaux (Facebook et Twitter en tête) pour communiquer entre eux, ils restent particulièrement attachés aux courts messages textuels, qui ont été popularisés à la fin des années 1990 lorsque les téléphones portables se sont démocratisés. Le dernier observatoire réalisé (.pdf) par l'Arcep est à ce sujet révélateur. Dans cette masse de mini-messages, une part importante est générée par les adolescents. Si les messages envoyés par les adolescents sont la plupart du temps bon enfant, les SMS posent aussi de nouveaux défis à relever et apportent de nouveaux usages, pas toujours encourageants.

Twitter "m’a tuer" : le message de trop... Edward Lorenz aurait aimé Twitter. "Le battement d'ailes d'un papillon au Brésil peut-il provoquer une tornade au Texas ?", se demandait le météorologue américain au début des années 1970. Décédé en 2008, il n'a pas eu l'occasion d'admirer la théorie du chaos sur le réseau social. Un clic peut y provoquer une tempête. Plus un seul Français ne l'ignore depuis que Valérie Trierweiler y a affiché son soutien au concurrent de Ségolène Royal entre les deux tours des législatives. Courage à Olivier Falorni qui n'a pas démérité, qui se bat aux côtés des rochelais depuis tant d' années dans un engagement désintéressé. — Valerie Trierweiler (@valtrier) Juin 12, 2012 Clic. Le plus grand café du commerce du monde Plus on a d'abonnés (les "followers"), plus on est écouté. Si le réseau est un formidable espace d'échange d'infos, c'est aussi une cour, où l'on peut vite devenir le "marquis de Pa-ta-tras" du film "Ridicule". Psychodrames ou vrais scandales Eh, j'en ai une bonne ! Attention au petit oiseau

Adolescents : la dépression Facebook Facebook : à consommer avec modération Il n’y a qu‘à se rendre sur le flux d’actualités d’un membre-type de Facebook pour se rendre compte que l’utilisation de ce réseau social peut être nocive pour la santé. En effet, on y voit généralement de jolies photos, de belles images de couvertures, les derniers clichés des membres lors de leurs dernières escapades à travers le monde, leurs dernières sorties culturelles, ... Bref, une jolie synthèse d’une vie parfaite et rondement menée. Reste qu’un “excès de Facebook” peut notamment conduire à la dépression. Celle-ci tend à montrer que plus les membres utilisent le réseau, plus ils sont malheureux (source). Durant 2 semaines, ils devaient indiquer à intervalles réguliers dans quel état psychologique général il se trouvaient. Les adolescents en proie à cette fameuse « Déprime Facebook » Si un adulte un peu près équilibré ne sera pas forcément ébloui par tant de bonheur virtuel, un adolescent en pleine construction pourra en souffrir. Les remèdes

Les adolescents gèrent de mieux en mieux leur vie privée sur Facebook Les adolescents américains partagent de plus en plus d'informations personnelles sur les réseaux sociaux comme Facebook mais ils font en sorte de protéger leur vie privée , indique une étude publiée mardi 21 mai aux Etats-Unis. Le sondage réalisé par l'institut Pew en collaboration avec le Centre Berkman de l'Université Harvard montre que 91 % des personnes interrogées ont déjà publié une photo d'eux-mêmes sur un média social , contre 79 % en 2006. Près de 71 % d'entre eux postent également la ville où ils habitent (49 % en 2006), 53 % leur adresse mail (contre 29 %) et 20 % leur numéro de téléphone portable (contre 2 %). Mais l' enquête , menée auprès de 802 jeunes âgés de 12 à 17 ans et de leurs parents entre le 26 juillet et le 30 septembre 2012, révèle aussi que 60 % de ces adolescents choisissent de paramétrer leur profil Facebook en mode "privé" , ce qui permet de limiter le nombre de personnes capables de voir leurs données.

Pratiques informationnelles informelles des adolescents Karine Aillerie a soutenu en décembre 2011, une thèse en Sciences de l'information et de la Communication sous la direction de Roger Bautier (Labsic Paris 13) dont le titre est « Pratiques informationnelles informelles des adolescents (14 – 18 ans) sur le Web ». Bonjour, tout d'abord, pourquoi avoir choisi ce sujet de thèse ? J'ai eu le CAPES de documentation en 1997, j'ai donc débuté mon activité professionnelle, en tant qu'enseignante documentaliste, au moment où « débarquaient » les « autoroutes de l'information » dans les établissements scolaires en général et dans les CDI en particulier... Cela a posé et pose encore beaucoup de questions à la profession, d'un point de vue documentaire et professionnel, d'un point de vue éducatif au final. Comment avez vous géré le traitement d'un sujet de recherche aussi proche d'une pratique professionnelle quotidienne ? Les adolescents sont-ils « sensibles », « conscients », « intéressés » par la sérendipité ?

Twitter jusqu’au vertige, par Mona Chollet Une quinzaine d’années après son ouverture au plus grand nombre, se pourrait-il que la spécificité d’Internet, celle d’un média fabriqué par ses utilisateurs, continue d’échapper à beaucoup d’analyses ? La Toile reste souvent présentée comme la simple convergence des moyens d’information préexistants ; mais cette vision, objecte le chercheur Dominique Cardon, « transpose paresseusement vers Internet des modèles forgés dans les médias traditionnels : une pratique du contrôle éditorial, une économie de la rareté, une conception passive du public (1) ». La nature d’Internet est pourtant devenue particulièrement évidente avec l’avènement du Web 2.0 et de ses outils faciles à manier. Les plates-formes de blogs ont ainsi permis à des internautes sans compétences spéciales en programmation d’accéder à l’autopublication. L’incontestable standardisation des sites qui en a découlé, loin du foisonnement créatif des débuts, suscite d’ailleurs le désappointement de certains pionniers (2).

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