background preloader

YouTube - Social Media Revolution

YouTube - Social Media Revolution

http://www.youtube.com/watch?v=sIFYPQjYhv8

Comment les internautes partagent-ils du contenu s En voilà une bonne question ! La réponse est simple : on n’en sait rien. C’est un graphique qui tourne sur le web, depuis que Mashable, puis le Silicon Alley Insider, qui cherche désespérément un graphique à mettre en ligne chaque jour, sans quasiment jamais le mettre en contexte, l’a posté. Joli camembert, où l’on est tenté de croire qu’il s’agit de la répartition des usages de partage de contenus en ligne. Plein de blogs reprennent la chose, heureux de pouvoir enfin mettre une donnée derrière une question : que fait-on ? Les médias sociaux sous-entendent de l’agilité de la part de l’entreprise Introduction : cet article se place dans la continuité de Les 3 étapes de l’évolution digitale de votre entreprise. “Sur les médias sociaux, il faut être agile au risque de devenir fragile.” : je donne souvent cette phrase à certains directeurs d’entreprise pour leur faire comprendre que les médias sociaux ne changent pas seulement la donne du point de vue de la communication ou de la relation client (cette partie externe et visible des médias sociaux), mais aussi au niveau de la structure. Sans aborder ici les questions autour de l’organisation des métiers du Social Media (Les rôles du Social Media Manager), les impacts internes des médias sociaux sur une structure et ses processus sont à prendre en compte au même titre que les enjeux externes. Nous présentions cela en détail il y a quelques semaines dans le schéma du Social Business. Comment votre société évalue-t-elle le changement et les tendances actuelles et futures ?

Réseaux sociaux : l'échange d'informations répond à une logique Choisir quelles données personnelles partager et avec qui ne doit rien au hasard, affirme l'université de Cornell. C'est au contraire le fruit d'une réflexion sur les avantages et les risques liés à leur propagation. L'échange d'informations apparemment mondaines sur les réseaux sociaux suit en fait une logique "économique" de risque/profit, affirment des chercheurs de l'université de Cornell.

TED : Rôle des médias sociaux sur notre société echnology, ntertainment, esign .. TED ! Ce nom ne vous dit peut-être rien mais il s’agit de conférenciers échangeant autour des grandes problématiques de notre monde afin de tenter de l’influencer. Avec les nouvelles pages et formats publicitaires, Facebook privilégie les marques fortes La semaine dernière s’est tenu à New-York la première édition de la Facebook Marketing Conference. Le moins que l’on puisse dire est qu’ils ont fait les choses en grand et que la distance se creuse entre Facebook et les autres médias sociaux. Beaucoup de choses ont été annoncées lors de cet évènement, autant dire tout de suite que l’impact sur les marques présentes va être énorme. Je pense ne pas me tromper en disant que d’un point de vue marketing, la plateforme évolue dans le bon sens, mais que tous ne pourront pas en profiter.

La génération Y préfère les communautés en ligne aux groupes off line Les universités de Tokyo et de Turku constatent que les jeunes internautes éprouvent un sentiment d'appartenance plus fort pour le réseau social Habbo que pour d'autres communautés bien réelles. Les jeunes générations s'impliquent autant sinon davantage dans leurs relations sociales en ligne que dans celles qu'elles entretiennent dans la "vie réelle" avec leur famille ou leurs proches, constatent deux chercheurs des universités de Tokyo et de Turku. Les scientifiques ont mené une étude* comparative sur un panel représentatif de la génération Y, dans trois pays où l'accès à l'Internet s'est généralisé : le Royaume-Uni, l'Espagne et le Japon. Et ce en accordant une attention particulière au réseau social Habbo Hotel, très prisé des jeunes internautes. Ces derniers affirment trouver autant leur place dans ces communautés en ligne qu'au sein de leur famille.

Critiques du Web² (1/4) : Quelles données libère-t-on ? Oui, les données valent de l’or. C’est aussi comme cela qu’on peut lire le Web à la puissance deux (Web²) de Tim O’Reilly et John Battelle. Mais si c’est effectivement le cas, si nous sommes tous assis sur un capital dont on mesure mal l’exploitation qui peut en être faite, pourquoi faudrait-il les libérer ? Il y a Pinterest… mais aussi les autres (Polyvore, TheFancy, Shopstyle…) Impossible de passer à côté du Buzz de février (avec un “B” majuscule) tellement tout le monde en a parlé. Je parle bien évidemment de Pinterest, terme que toutes les agences digitales et Social Media Managers ont eu à la bouche ces dernières semaines. Nous n’en sommes pas fiers mais nous avons participé nous aussi à ce brouhaha digital en publiant nos avis respectifs et qui se rejoignent (l’article de Fred Cavazza : Connaissez-vous Pinterest, le dernier épiphénomène d’une longue série ? et ma tribune pour le site d’informations Petit Web : Pinterest, le nouveau Chatroulette ?). Pinterest est un service, qui finalement n’invente pas grand chose. Ce n’est pas du tout une critique de dire cela car bien souvent les services qui fonctionnent le mieux ne sont pas les plus innovants, mais ceux qui savent trouver la bonne approche, le bon positionnement, et qui comblent des attentes fortes des internautes… et non qui essaient d’en créer des nouvelles.

Elekspot lance le réseau social mobile mais sur place L'application se connecte au réseau Wi-Fi d'un endroit public. Les commentaires laissés par les mobinautes restent associés au lieu comme une empreinte numérique, consultables par ceux qui accéderont au dit réseau à l'avenir. L'université de KAIST propose aux mobinautes de partager des informations sur un lieu accessibles à leurs pairs uniquement quand ces derniers se rendent sur place. Ce, via un réseau Wi-Fi fermé. L'application, baptisée Elekspot, permet à un utilisateur de smartphone de laisser une empreinte numérique contenant des commentaires sur l'endroit où il se trouve.

Critiques du Web² (2/4) : Mesurer les résultats de la libérat La question de la libération des données publiques se superpose à celle de leur utilisation. Cette libération – bien qu’encore timide – produit-elle aujourd’hui ce qu’on en attend ? A-t-elle des effets pervers ? Twitter rachète Posterous et poursuit sa croissance, malgré des pertes importantes La nouvelle est passée presque inaperçue en début de semaine : Twitter a racheté Posterous, une plateforme de publication rapide (Twitter Acquires Posterous). Une nouvelle assez surprenante dans la mesure où Twitter n’est pas connu pour son appétit (ils se contentent généralement de racheter des “petites” proies comme Tweetdeck. Visiblement ce rachat ressemble plus à un transfert technologique qu’autre chose, car la direction de Twitter masque à peine son intention de fermer prochainement les Spaces de Posterous.

Pour informer, le web doit encore prouver sa légitimité Le First Amendment Center annonce qu'une majorité des Américains considère que les médias traditionnels restent une source d'information plus fiable et indépendante que le web. Malgré la forte progression des médias sur Internet, les Américains leur préfèrent encore souvent les médias traditionnels. Voilà la conclusion d'une étude menée par le First Amendment Center. Selon lui, près des trois quarts des personnes interrogées considèrent la télévision et les journaux comme leur première source d’information, loin devant Internet. Qui ne concentre que 15 % d’adeptes. La raison ?

Critique du Web² (3/4) : Toutes les données sont devenues person La technologie nous forcera-t-elle à choisir entre la vie privée et la liberté, comme l’affirmait David Brin dans son livre Transparent Society (Wikipédia) ? Il n’y a pas ou plus, d’un côté des données personnelles et de l’autre des données qui ne disent rien des individus : un très grand nombre de données apparemment anonymes peuvent acquérir un “caractère personnel”, c’est-à-dire aider indirectement à savoir quelque chose sur un individu précis. Les champs de données permettent de plus en plus d’identifier leurs émetteurs, tant et si bien qu’on peut se demander à l’avenir si le concept de données anonymes a encore une pertinence. Si la directive européenne Inspire (Wikipédia, voir aussi le volet français) et la loi française sur la réutilisation des données publiques excluent explicitement du partage les données nominatives, force est de reconnaître que nous savons de moins en moins ce que sont des données nominatives. Peut-on réellement anonymiser des données ?

Facebook sera-t-il le nouveau Yahoo ? Le Facebook que nous connaissons aujourd’hui (en 2012) est très différent de celui que nous avons connu en 2010, et encore plus de ce qu’il était en 2007 (cf. L’impact des changements de Facebook pour les utilisateurs, les annonceurs et les fournisseurs de contenu et Pourquoi les Timeline Applications vont vous forcer à repenser votre présence sur Facebook). Bref, c’est une plateforme sociale en permanente évolution qui, non content d’avoir une position dominante, cherche à accroitre encore cette domination. Puisqu’ils vont très prochainement récolter plusieurs milliards de $ en bourse pour financer cette évolution, la grande question est maintenant de savoir dans quelle direction va se faire cette évolution. Je pense que le plus simple pour trouver une réponse à cette question est de s’intéresser au modèle dont ils souhaitent s’éloigner et de comparer les options à ce qui a été fait par le passé. Du réseau d’étudiant à la plateforme sociale

Related:  Video Inspiration