Le tour du monde en avion solaire Aujourd'hui, Bertrand Piccard, président de Solar Impulse, initiateur du projet. « Mon rêve a commencé dans le désert égyptien, en 1999, à la fin du premier tour du monde en ballon que je venais de réaliser avec Brian Jones. À l’atterrissage, il restait 40 kg de propane liquide sur les 3,7 tonnes embarquées au départ. Plus encore que par la météorologie, notre succès avait été conditionné par la quantité de gaz nécessaire pour chauffer le ballon et le maintenir en altitude. J’ai commencé à rêver d’un aéronef capable de voler sans carburant, sans limitation de temps ni d’énergie. Cette idée utopique a donné envie au directeur de la recherche de l’École polytechnique fédérale de Lausanne de commander une étude de faisabilité sur le sujet. Dès lors, il y eut deux possibilités. Depuis le début, Solar Impulse est porteur d’un message.
Voiture électrique autonome, solaire, à recharger sur lampadaires - Espace VIP Diffuselec, dans sa philosophie de développement durable et environnementale développe un nouveau concept de voiture électrique complètement autonome, qui fonctionne grâce au soleil. Vous l'aurez compris, la recharge se fait via des capteurs solaires embarqués, ou pas... spaceplay / pause escstop ffullscreen shift + ←→slower / faster (latest Chrome and Safari) ←→seek . seek to previous 12…6 seek to 10%, 20%, …60% La nouveauté : le P2P du stockage énergétique Si dans l'internet, le P2P* à fait pâlir les éditeurs, c'est sur ce concept que Diffuselec fonde sa stratégie de voiture électrique solaire. Rappelons que le cœur de métier de Serge Miltcheff, P-dg de Diffuselec est l'éclairage à LED et les systèmes d'éclairages auto alimentés via une production hybride d'énergie éolienne et solaire. La Diffuselec n'est pas un concept-car C'est à l'export (85% du marché) et particulièrement sur le continent africain que la Diffuselec trouve naturellement sa place.
Comment recycler l’huile alimentaire ? Après avoir certainement préparé de bons petits plats, ne jetez pas votre huile de cuisine dans l’évier, cela a des conséquences dramatiques pour l’environnement. Donnez-lui plutôt une seconde chance, gardez-la pour fabriquer naturellement des bougies, des savons, du détergent. Agir pour la Planète vous donne cette semaine quelques astuces bricolage ! En France, nous utilisons fréquemment de l’huile d’olive, de colza, pour faire cuire nos viandes, nos légumes, nos poissons… Toutes ces préparations laissent derrière elles une quantité importante d’huile usagée dont nous ne savons que faire ! Il ne faut surtout pas la verser dans l’évier, ni dans la cuvette des toilettes car les stations d’épuration ne peuvent pas la traiter ! Certains préfèrent la réutiliser en cuisine pour éviter tout gaspillage important, pourtant, non traitée, l’huile alimentaire usagée augmente le risque d’hypertension. Créer des savons en pastille - 4 litres d’eau - 2 litres d’huile de cuisine usagée - 13 litres d’eau
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