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Le slow blog de Serge

Le slow blog de Serge
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Le Web se réinvente un avenir à Lyon Article publié en partenariat avec Inria.fr "Les deux défis du futur : faire face au nombre croissant de données et à la complexité du Web en tant qu'objet" : Fabien Gandon, coprésident de la conférence WWW2012, responsable de l'équipe WIMMICS à Inria, représentant d'Inria au W3C. L'augmentation des interactions possibles est un sujet central, lié à "la diversité croissante des utilisateurs et des environnements, qu'ils soient mobiles ou statiques", souligne Fabien Gandon. Ce nombre croissant de données et d'interactions rend nécessaire l'amélioration de la sécurité des protocoles de communication et des langages de programmation. "Nous allons vers un Web plus riche et omniprésent, car tout ce qui sera fait en ligne sera notifié automatiquement aux personnes que l'internaute aura sélectionnées... Frédéric Cavazza ne semble pas redouter exagérément l'exploitation des données liées aux individus : "La vie privée est une illusion... Le Web comme objet de recherche

binaire | L'informatique : la science au coeur du numérique Nos ordinateurs ont-ils la mémoire courte Le volume de données numériques générées par nos sociétés ne cesse d'augmenter. Comment les stocker sur les supports traditionnels que sont les CD, DVD, disques durs qui se révèlent fragiles et de courte durée de vie ? Quelles sont les pistes de recherche actuelles qui pourraient conduire à l'élaboration de supports durables ? Quelle mémoire allons-nous transmettre aux générations futures ? Comment sauvegarder le patrimoine digital ? Les présentateurs de Xenius rencontrent Dirk von Gehlen, journaliste munichois qui a conçu un musée 100 % numérique. XeniusComment résoudre les problèmes juridiques et techniques pour sauvegarder le patrimoine digital?

Home Serge Abiteboul : Sciences des données, de la logique du premier ordre à la Toile Comment les moteurs de recherche sont-ils devenus des bibliothèques numériques à l’échelle de la planète ? Comment l’interaction, hommes, machines, informatique et bases de données construit une « intelligence collective » ? « Juxtaposition de milliards d’individus », le web permet « à chacun d’apporter sa contribution personnelle au patrimoine ». « Après les réseaux de machines, les réseaux de contenus, nous atteignons les réseaux d’utilisateurs. » Comment donner du sens aux documents en ligne, comment construire un web sémantique ? Aujourd’hui, nous explorons les métamorphoses du World Wide Web, que l’on peut voir, en ce nouveau siècle, « comme une gigantesque base de données distribuées », selon la formule de l’informaticien Serge Abiteboul, quand il inaugure la Chaire annuelle d'Informatique et sciences numériques en 2011. Dès lors, grâce à la synergie entre le monde universitaire et le monde de l’entreprise, ce projet d’index du web peut se développer. Web perso: serge.abiteboul.com

La SIF La Société informatique de France – la SIF – est un espace de réflexion, de concertation sur les enjeux de l’informatique, et un espace d’action, d’amplification des actions basées sur le travail de la communauté. La SIF vise à rassembler toutes celles et ceux pour qui faire progresser l’informatique est un métier ou une passion : enseignants, chercheurs, ingénieurs, industriels, consultants, le terme « informatique » s’entendant ici au sens large des sciences et technologies au coeur du numérique. La SIF a vocation à porter au sein de la société la voix de cette science et de ses acteurs et pour cela, à l’instar des sociétés savantes des autres grands domaines, elle vise tout particulièrement à : La SIF est une Association loi 1901, dont la demande de reconnaissance d’utilité publique est en cours. Promouvoir l’informatique, servir et animer sa communauté scientifique La SIF entend amplifier la voix de celles et ceux qui agissent pour la promotion de l’informatique. Les partenariats

Infobésité : arrêtez avec ce non-sens J’ai déjà abordé le sujet de l’infobésité (appelée également information overload) à plusieurs reprises sur ce blog, et récemment à travers l’article Death by information overload. J’expliquais en effet que cette situation de surabondance d’information était déjà présente avant même l’ère de Gutenberg. Aujourd’hui je reviens à la charge en affirmant encore une fois que l’infobésité relève plutôt du non-sens puisque c’est une caractéristique intrinsèque de l’évolution de l’Homme et de son rapport à la connaissance. Récemment, le New York Times a publié un article invitant ses lecteurs à faire des pauses régulières dans l’utilisation des terminaux électroniques : iPad, Smartphone, Laptop… Selon le journal, le cerveau a besoin d’un temps de repos, (ah bon! je le savais pas!) et ce de manière régulière, pour éviter le burnout, et lui préserver toutes ses capacités de « calcul ». What a glut of books! Droits Photo : 1/ Yvan KAFKA 2/Wikipedia Articles similaires:

Santé : ce que préparent les géants du numérique Le big data engendre une révolution qui va aussi bouleverser notre système de santé, transformer les méthodes de soins et aura à terme une influence sur notre politique de santé publique. La multiplication des dispositifs médicaux connectés, conjugués aux quelques 150 000 applis de santé, ou de bien-être, que l’on télécharge sur notre smartphone, permet d’accumuler des volumes considérables de données qui retracent nos comportements. L’exploitation de ce « big data » de la santé conjuguée à des algorithmes, ouvre des perspectives extraordinaires que Cédric Cartau, le responsable de la sécurité informatique du CHU de Nantes, explique. "On saura faire du prédictif, on saura que telle pathologie survenue à l’âge de 25 ans et qui était soignée par tel protocole, a plus ou moins de chance de provoquer, soit une rechute, soit une autre pathologie 20 ans plus tard. Un risque : le piratage de données En France, les données de santé sont très protégées. Découvrez ici l’enquête intégrale

Qui sera responsable des « maladies de la connexion » Que devons-nous apprendre des anxiétés, des obsessions, des phobies, du stress lié à notre connexion ? C’est la question que pose le designer Fabien Girardin sur le blog du Near Future Laboratory, ce studio de conseil et de design-fiction. A l’heure où nous sommes de plus en plus cernés et saturés par les notifications sociales en temps réel, la connexion permanente livre sa face noire. Vivre dans le village global conduit les plus connectés à éprouver de nouvelles anxiétés, de nouvelles obsessions, de nouvelles phobies et de nouvelles formes de stress, qui sont le symptôme des effets négatifs liés à la manière dont on conçoit les technologies. Image : Affiche promotionnelle : « les médias sociaux vous font vous sentir comme un gros tas de linge sale en désordre ? Comment améliorer la conception des médias sociaux ? Quels sont les effets de ces surcharges sociales qui s’imposent à nous ? Depuis 2014, la moitié des propriétaires de smartphones visitent un réseau social quotidiennement.

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