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Escargot

Escargot
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le terme escargot est un nom vernaculaire qui en français désigne par opposition aux limaces, la plupart des mollusques qui portent une coquille, dits aussi colimaçons. Majoritairement terrestres, ce sont tous des gastéropodes quelle que soit leur taille (certains mesurent à peine 2 millimètres) ou leur forme. On désigne aussi par ce terme certains escargots aquatiques, dont ceux d'eaux douces (Basommatophora tels les limnées ou les planorbes, souvent appelés « escargots nettoyeurs » par les amateurs d'aquariophilie). La différence entre escargot et limace n'est pas toujours évidente. La plupart des escargots sont phytophages, quoique quelques espèces soient omnivores, zoophages ou détritivores. Les espèces les plus discrètes restent très mal connues. Il est fréquent de trouver des espèces endémiques sur les îles ou sur des milieux très isolés depuis longtemps. Noms français et noms scientifiques correspondants[modifier | modifier le code]

Coccinellidae Les coccinelles figurent parmi les insectes utilisés par l'homme : beaucoup d'espèces se nourrissent en effet de pucerons et sont donc utilisées en lutte biologique comme insecticide naturel[5]. Le nombre de taches de la coccinelle dépend de l'espèce, dont il peut être une clé de détermination. Il ne dépend pas de son âge, contrairement à la croyance populaire. Étymologie[modifier | modifier le code] La couleur classique rouge des élytres de ces insectes explique l'étymologie de leur nom qui vient du latin coccinus : « écarlate »[6]. La famille des Coccinellidae a été établie par Pierre André Latreille, en 1807[7]. Dans le langage courant, on appelle aussi la coccinelle « bête à bon Dieu », car elle est la meilleure amie des jardiniers (les anciens prédisaient du beau temps lorsque la coccinelle s’envolait) et surtout, parce que, selon une légende remontant au Moyen Âge, elle porterait bonheur[8]. En Suisse romande, la coccinelle est communément appelée « pernette » dans le parler local.

Épiphragme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Helix pomatia utilisant un simple épiphragme transparent fait de mucus sec L’épiphragme [épi- du grec ἐπί, epi (au-dessus de) et -phragme du grec φράγμα, phrágma (clôture)] est une structure temporaire qui peut être synthétisée par différentes espèces d'escargots. Fonction[modifier | modifier le code] L'épiphragme scelle l'ouverture de la coquille ce qui permet à l'animal de se protéger contre la dessication. La fonction principale de l'épiphragme est de réduire, au niveau de l'ouverture de la coquille, les pertes d'eau qui se produisent durant les périodes d'inactivité[1]. Épiphragme muqueux[modifier | modifier le code] Épiphragme calcifié[modifier | modifier le code] Quelques espèces, comprenant Helix pomatia, synthétisent un épiphragme muqueux pour de courtes périodes de repos, mais peuvent aussi synthétiser un épiphragme plus solide, avant la période d'hibernation. Références[modifier | modifier le code]

Abeille Les abeilles peuvent être classées selon leur mode de vie : abeilles domestiques ou sauvages, solitaires ou bien sociales, etc. Elles sont nettement distinctes des guêpes par leur morphologie et leur comportement, notamment leur alimentation. Les bourdons en revanche sont un groupe particulier d'abeilles[3],[4]. Les abeilles, et les autres espèces pollinisatrices, sont actuellement gravement menacées, avec un taux d'extinction qui est "de 100 à 1000 fois plus élevé que la normale", selon l'ONU [5]. Lors de la "Journée mondiale des abeilles", le 20 mai 2019, l'ONU a détaillé les principales causes du déclin des pollinisateurs : l'utilisation de pesticides, la monoculture, les pratiques agricoles intensives, le changement climatique, le changement d'affectation des terres et la destruction des habitats[5]. Dénominations[modifier | modifier le code] Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot abeille est attesté en français pour la première fois au XIVe siècle[6]. abeille couverte de pollen

Xérophile Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les xérophiles (du grec ancien ξερος xeros : sec et φιλος philos : ami) sont des organismes extrêmophiles vivants dans des milieux très pauvres en eau. Divers organismes, parmi lesquels des bactéries, des champignons, des plantes (parfois appelées xérophytes bien qu'il ne faille pas confondre les deux termes), des insectes, des nématodes et la crevette Artemia salina peuvent tolérer une dessiccation extrême. On parle également de milieux xérophiles pour désigner des milieux pauvres en eau abritant les espèces xérophiles. Dans certains cas, on parle de xérotolérance : sont concernés des organismes normalement incapables de se développer à des activités de l'eau (exprimée en ) trop basses, mais qui peuvent se développer à des pressions osmotiques plus élevées, correspondant à des inférieures. Lien externe[modifier | modifier le code] Les plantes xérophiles [archive]

Lepidoptera Lépidoptères Les Lepidoptera Comme les abeilles et la plupart des pollinisateurs, dans une grande partie du monde, les papillons sont en forte régression, principalement en raison de l'intensification de certaines pratiques de l'agriculture[5] (monocultures, pesticides) et, localement, de la mortalité routière et de la pollution lumineuse ; ainsi, la mise à jour 2016 de la liste rouge de l'UICN montre que pour 462 espèces de papillons indigènes évaluées en zone méditerranéenne, 19 sont menacées d'extinction (dont 15 endémiques de cette écorégion)[5]. Étymologie[modifier | modifier le code] Le terme « lépidoptère » dérive du latin scientifique lepidoptera, terme construit lui-même à partir du grec ancien λεπίς / lepís (génitif pour la formation du mot : λεπίδος / lepídos), « écaille » et πτερόν / pterón, « aile »[6]. En nahuatl, papillon se dit papalotl, ce qui a donné naissance au mot papalote : cerf-volant[8],[9]. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Paon-du-jour (Aglais io).

La technique sophistiquée qu'utilisent les mouches pour voler n'est plus un secret La mouche peut décoller verticalement ou même en marche arrière. En vol, elle peut faire du stationnaire, changer instantanément de direction, accélérer ou ralentir, propulsée par un mécanisme d'une extraordinaire efficacité; elle atterrit verticalement à une vitesse relative ahurissante sur un train d'atterrissage, il est vrai, surdimensionné; elle se pose sans difficulté à l'envers, sur un plafond, ce dont aucun engin volant fabriqué par l'homme n'est encore capable; elle replie ses ailes aussi facilement qu'on referme un parapluie et les redéploie avec une aisance comparable. Même l'hélicoptère, dans sa grande complexité et avec ses performances étonnantes, n'atteint pas ce degré d'efficience. «Si l'on s'en tient aux lois de l'aérodynamique actuelle, l'insecte ne devrait pas voler, mais il vole», peut-on lire dans le livre L'évolution du vol des insectes de l'entomologiste russe Andréi Brodsky, paru en 1994.

Arbustes à baies - Arbustes à baies… - Baies de septembre… - Les grives mauvis… - Fusain d'Europe - Les oiseaux dans le… - La nature et la plume Jeudi 16 janvier 2014 4 16 /01 /Jan /2014 08:15 Vous le savez, je suis partisante de la nourriture naturelle pour les oiseaux du jardin. Beaucoup d'entre eux mangent les baies à un moment ou un autre de l'hiver. Malheureusement, le premier été, le manque d'eau a eu raison de l'un d'eux. Un ami m'a donc déniché deux petits arbustes, plantés cet automne...Pour l'instant, ils ne manquent certes pas d'eau ! J'avais aussi depuis quelque temps l'idée de planter un églantier, pour ses fleurs simples d'abord, pour les oiseaux ensuite. Cette fois, c'est Lacledfa (ah ! Voir la page sur les oiseaux et les arbustes à baies Par Capucyne - Publié dans : Arbustes à baies -Communauté : LE JARDINAGE 22 Dimanche 22 septembre 2013 7 22 /09 /Sep /2013 09:00 De petits points de couleur, rouges, noirs, commencent à éclairer le jardin de leur ponctuation discrète, mettant une petite touche de peinture pointilliste ici et là ! Les oiseaux ont tout le temps de les voir mûrir et de les repérer ! Bryone en folie !

Pluvier doré Sa migration en boucle lui fait parcourir plus de 20 000 kilomètres par an pour bénéficier successivement des étés boréal et austral. Nés dans l'Alaska ou dans l'est de la Sibérie, les champions de l'espèce regagnent à l'automne la Nouvelle-Zélande et l'Australie. Description[modifier | modifier le code] Le Pluvier doré mesure 26 à 29 cm de long, pour une envergure allant de 67 à 76 cm[2] et une masse comprise entre 135 et 239 g (en moyenne 180 g). Deux formes sont connues : elles étaient d'ailleurs considérées comme deux sous-espèces (altifrons et apricaria). Le mâle adulte du type altifrons en plumage nuptial a le front blanc, le dessus de la tête noir tacheté de jaune, l'arrière du cou jaune tacheté de gris brun et de blanc et le reste des parties supérieures de la même couleur que le dessus de la tête. Chez le type apricaria, le plastron sombre est plus ou moins réduit, plus ou moins teinté de brun et mêlé de blanc sur les côtés. Écologie et comportement[modifier | modifier le code]

Gâteau et graine maison pour oiseaux Cnidaria L'appellation vient du grec ancien κνίδη (knidē, « ortie, urticant ») faisant allusion aux cellules urticantes caractéristiques de ces animaux (les cnidocytes ou cnidoblastes), le nom vernaculaire d'« orties de mer » étant donné par Aristote qui y regroupe les Acalèphes (méduses) et les Coralliaires[1]. Les zoologistes ont ainsi donné le nom de cet embranchement en hommage à Aristote[2]. Le terme de cœlentérés (Coelentera) désignait autrefois ce groupe mais inclut aussi l'embranchement voisin des cténaires. Les cnidaires sont bien représentés dans les fossiles : on les trouve jusque dans le Cambrien et peut-être même dès la faune d'Ediacara. Morphologie[modifier | modifier le code] Aspect externe[modifier | modifier le code] Le corps des cnidaires est organisé autour d'une symétrie radiale d'ordre pair (4 ou 6, ce qui détermine notamment le nombre des tentacules) : ils ressemblent donc à des « soleils » entourés de rayons. Anatomie[modifier | modifier le code] Reproduction des cnidaires.

Flore des oiseaux Cestum veneris Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cestum veneris, la Ceinture de Vénus, est une espèce d'animaux marins appartenant à l'embranchement des cténophores ou « cténaires ». Description et caractéristiques[modifier | modifier le code] Elle doit cette appellation poétique à sa forme de ruban aplati et transparent, qui mesure parfois plus d'un mètre de longueur (au moins jusqu'à 1,50 m)[1]. Habitat et répartition[modifier | modifier le code] C'est une espèce cosmopolite, qui se rencontre dans tous les océans du globe, plutôt au large mais parfois près des côtes, et à toutes les gammes de profondeur[1]. Liens externes[modifier | modifier le code] Genre Cestum[modifier | modifier le code] Espèce Cestum veneris[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Les arbustes À la différence d'un arbre, les branches d'un arbuste jaillissent généralement dès la base du sol, alors que celles d'un arbre partent de plus haut sur le tronc. On peut le faire pousser séparément ou à l'intérieur de haies. Les arbustes jouent un rôle important dans un jardin pour oiseaux. Les espèces les plus intéressantes sont les variétés indigènes qui fleurissent comme l'aubépine et le sureau et donnent en plus une grande quantité de fruits et de baies succulentes en automne et en hiver. Composée d'arbres et d'arbustes serrés les uns contre les autres et taillés, une haie permet aux oiseaux d'échapper aux prédateurs. Les haies servent aussi de coupe-vent pour protéger des plantes fragiles. Pour obtenir une haie qui soit bien adaptée aux oiseaux, n'hésitez pas à la tailler sévèrement pendant les deux premières années. Les arbustes pour oiseaux

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