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Zoroastre

Zoroastre
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Zoroastre était un penseur connu de l'Antiquité. Zoroastre, Zarathushtra ou Zarathoustra (en Persan زرتشت, Zaraϑuštra en avestique, Ζωροάστρης en grec), est un « prophète », fondateur du zoroastrisme. Il est difficile, étant donné l'époque et l'importance du personnage, sources de nombreuses affabulations, de donner des dates et des lieux précis à son sujet. On connaît quelques bribes de sa vie, à travers les hymnes gathiques de l'Avesta (en Persan اوستا), rédigés dans une langue indo-iranienne archaïque, vieille d'environ 3000 ans, l'avestique. Le nom de Zoroastre[modifier | modifier le code] Le nom zaraϑ-uštra est un composé bahuvrihi en avestique de zarəta- « ancien, faible » et de uštra « chameau », qui se traduit par « celui qui a de vieux chameaux » mais aussi par « celui qui est proche de l'exaltation ». Une autre traduction propose « le conducteur de chameaux ». Les débuts du zoroastrisme[modifier | modifier le code]

Mage Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un mage (du persan magis) désigne à l'origine un disciple de Zarathoustra. Par extension, le terme est également utilisé comme synonyme de « magicien ». Jacques Duchesne-Guillemin, spécialiste des religions d'Iran, distingue les sens suivants du mot « mages »[1] : Les Mages et Hérodote[modifier | modifier le code] Livre I (Histoire-Hérodote) Chapitre 140. « Ces usages m’étant connus, je puis en parler d’une manière affirmative ; mais ceux qui se pratiquent relativement aux morts étant cachés, on n’en peut rien dire de certain. Notes et références[modifier | modifier le code] ↑ Jacques Duchesne-Guillemin, dans Dictionnaire des religions, Paris, PUF, 1984, p. 988-989, 1069. Voir aussi[modifier | modifier le code] Bibliographie[modifier | modifier le code] Émile Benveniste, Les Mages dans l'ancien Iran, Paris, 1938.J.

Le souffle du Sinaï - par Jean-Yves Leloup Le désert d'Abraham Avant Moïse et le Sinaï, il y eut Abraham, le premier à faire un pas hors de lui-même vers l'Inconnu, vers l'Autre qui l'appelait du plus loin de son silence. Alors, la terre prit des allures de chemin, et Abraham comprit que la vie est une longue marche dans le désert. "Yhwh dit à Abrâm : va vers toi-même, quitte ton pays, ta parenté, la maison de ton père, va vers le lieu que je te montrerai." (Genèse 12/1) Aller dans le désert, c'est d'abord "partir vers soi-même". Mais cette marche à travers le silence, vers l'infini et le sans limite de soi-même n'est pas démarche d'anéantissement; elle renoue avec ce que l'homme a d'Éternel, cet Éternel qu'il est lui-même et que lui voilent les occupations et les préoccupations du temps. Le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, Présence ardente et Silencieuse, Présence de l'Être, Présence de l'Autre, qui nous efface et qui nous fonde. Le premier désert de Moïse

Passage des exotes - par Zéno Bianu Mais l'intention du voyageur fut-elle jamais géographique ? Pour­quoi décidai-je d'aller ailleurs qu'ici ? Sans doute je voulais quitter quelque chose. Se révélaient ici l'espace romanesque de la trajectoire, un trésor de visions et par-dessus tout l'apprentissage de cette esthétique du divers chère à Segalen ("les remous pleins d'ivresse du grand fleuve Diversité"). L'exote Mais l'exote, il faut bien l'avouer, apprécie avant tout la joyeuse explosion du principe d'identité qui accompagne tout voyage digne de ce nom - l'émoi quantique qui le saisit, par exemple, dès qu'il a bouclé sa ceinture de sécurité dans la nef d'Air India. Comme si tout ce qui nous constituait dans l'espace du social, il n'y a encore qu'un instant, était devenu des plus improbables.

Psychopomp In Jungian psychology, the psychopomp is a mediator between the unconscious and conscious realms. It is symbolically personified in dreams as a wise man or woman, or sometimes as a helpful animal. In many cultures, the shaman also fulfills the role of the psychopomp. This may include not only accompanying the soul of the dead, but also vice versa: to help at birth, to introduce the newborn child's soul to the world (p. 36 of).[2] This also accounts for the contemporary title of "midwife to the dying", or "End of Life Doula" which is another form of psychopomp work. By region[edit] Africa[edit] Dead ancestors Egypt[edit] Nigeria[edit] Americas[edit] Aztec[edit] Xolotl Cahuilla[edit] Muut Inuit[edit] Mayan[edit] Ixtab United States[edit] Asia[edit] China[edit] Japan[edit] Shinigami Mesopotamia[edit] Namtar Persia[edit] Mithra Philippines[edit] Europe[edit] Anglo-Saxon[edit] Wōden Celtic[edit] Etruscan[edit] Greek[edit] Norse[edit] Roman[edit] Slavic[edit] Spanish[edit] Santa Compaña Welsh[edit] Gwyn ap Nudd Polynesia[edit]

Infinity Imagined A stereo image of Jupiter’s atmosphere, derived from data collected by the Juno spacecraft during perijove 3. These images, taken at different point in the orbit, can be combined to reveal the 3D structure and relief of clouds in the southern atmosphere. To see the image in 3D, relax the eyes until the white circles overlap, then look at the image. Alternatively the image can be viewed with Google Cardboard or another VR device. Image source: NASA Processing: James Tyrwhitt-Drake (Source: missionjuno.swri.edu)

Baphomet "Bahomet" redirects here. It is not to be confused with Bahamut. The 19th century image of a Sabbatic Goat, created by Eliphas Levi. The arms bear the Latin words SOLVE (separate) and COAGULA (join together), i.e., the power of "binding and loosing" usurped from God and, according to Catholic tradition, from the ecclesiastical hierarchy acting as God's representative on Earth. The original goat pentagram first appeared in the book "La Clef de la Magie Noire" by French occultist Stanislas de Guaita, in 1897. Baphomet (/ˈbæfɵmɛt/; from Medieval Latin Baphometh, Baffometi, Occitan Bafometz) is a term originally used to describe an idol or other deity that the Knights Templar were accused of worshiping, and that subsequently was incorporated into disparate occult and mystical traditions. §History[edit] The name Baphomet appeared in July 1098 in a letter by the crusader Anselm of Ribemont: Two Templars burned at the stake, from a French 15th-century manuscript §Alternative etymologies[edit]

Francisco Varela · Regards sur l'éveil un lien m'est apparu entre le thème du fond et de la forme qui nous occupe ici, et les théories de Francisco Varela sur l’épistémologie et l’éthique dont j’avais parlé ailleurs. Je vais essayer de résumer sa théorie. Pour lui, la connaissance n’est pas quelque chose d’abstrait qui serait extrait de l’expérience. La connaissance est présente dans l’expérience, et s’affine avec chaque nouvelle expérience, non pas de manière abstraite, mais parce que l’être connaissant se construit à travers la connaissance qu’il acquiert du système dans lequel il agit et sur lequel il agit. Varela a également développé le concept d’énaction. Varela a établi un lien entre sa théorie de la connaissance et le bouddhisme. Varela assigne à ce comportement éthique spontané une valeur supérieure au jugement moral, qui s’appuie sur un “je” central qui se veut la cause d’une action réfléchie et délibérée.

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