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Simone Weil

Alexis de Tocqueville Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Alexis de Tocqueville Sociologue occidental Époque contemporaine Alexis de Tocqueville par Théodore Chassériau (1850). Alexis-Henri-Charles Clérel, vicomte de Tocqueville, généralement appelé par convenance Alexis de Tocqueville, né à Paris le 29 juillet 1805 et mort à Cannes le 16 avril 1859[1], est un philosophe politique, homme politique, historien, précurseur de la sociologie et écrivain français. Raymond Aron et Raymond Boudon entre autres, ont mis en évidence son apport à la sociologie[2],[3]. Biographie[modifier | modifier le code] Né à Paris le 29 juillet 1805 dans une famille légitimiste de la noblesse normande, Alexis de Tocqueville compte plusieurs aïeux illustres de la noblesse normande. Après un exil en Angleterre, ils rentrent en France durant l'Empire, et Hervé de Tocqueville devient pair de France et préfet sous la Restauration. La pensée de Tocqueville[modifier | modifier le code]

Alexandre Soljenitsyne Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Alexandre Soljenitsyne Alexandre Soljenitsyne en 1998. Œuvres principales Alexandre Issaïevitch Soljenitsyne (en russe : Александр Исаевич Солженицын, ISO 9 : Aleksandr Isajevič Solženicyn), né le 11 décembre (28 novembre) 1918 à Kislovodsk et mort le 3 août 2008 à Moscou, est un écrivain russe et dissident soviétique, auteur notamment d'Une journée d'Ivan Denissovitch, de L'Archipel du Goulag et de La Roue rouge. Biographie[modifier | modifier le code] Les années de formation[modifier | modifier le code] Alexandre Issaïevitch[1] Soljenitsyne[2] naît le 11 décembre (28 novembre) 1918[3] à Kislovodsk, dans le nord du Caucase[4]. Jusqu'à l'âge de six ans, le jeune Alexandre est confié à la famille de sa mère tandis que celle-ci travaille comme sténodactylo à Rostov-sur-le-Don. Le 27 avril 1940, il épouse Natalia Alexeïevna Rechetovskaïa, une étudiante en chimie et pianiste dont il fait la connaissance en septembre 1936[14].

Jacques Ellul Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Jacques Ellul dans sa maison à Pessac, en 1990. Jacques Ellul (né le à Bordeaux et mort le à Pessac) est un professeur d'histoire du droit, sociologue, théologien protestant et libertaire[1] français. Surtout connu comme penseur de la technique et de l'aliénation au XXe siècle, il est l’auteur d’une soixantaine de livres (la plupart traduits à l’étranger, notamment aux États-Unis et en Corée du Sud) et de plusieurs centaines d’articles. Ayant adopté comme devise « exister, c’est résister »[4], il disait lui-même de son œuvre qu'elle est entièrement centrée sur la notion de liberté[5] : « plus le pouvoir de l'État et de la bureaucratie augmente, plus l'affirmation de l'anarchie est nécessaire, seule et dernière défense de l'individu, c'est-à-dire de l'homme »[6]. Biographie[modifier | modifier le code] Origines familiales et jeunesse[modifier | modifier le code] Il réussit le concours d’agrégation de droit romain et d’histoire du droit en 1943.

Jacques Ellul Jacques Ellul (French: [ɛlyl]; January 6, 1912 – May 19, 1994) was a French philosopher, law professor, sociologist, lay theologian, and Christian anarchist. Ellul was a longtime Professor of History and the Sociology of Institutions on the Faculty of Law and Economic Sciences at the University of Bordeaux. A prolific writer, he authored 58 books and more than a thousand articles over his lifetime, many of which discussed propaganda, the impact of technology on society, and the interaction between religion and politics. The dominant theme of his work proved to be the threat to human freedom and religion created by modern technology. Among his most influential books are The Technological Society and Propaganda: The Formation of Men's Attitudes. Considered by many a philosopher, Ellul was by training a sociologist who approached the question of technology and human action from a dialectical viewpoint. Life and influences[edit] Ellul was educated at the universities of Bordeaux and Paris.

James Burnham en France : l'import-export de la « révolution managériale » après 1945 Notes J. Burnham, L’ère des organisateurs, Paris, Calmann-Lévy, 1947. Se reporter à J. P. Cf. Lire à ce sujet, le travail très documenté de A. Cf. J. A. Nous pensons ici à Raymond Aron, introducteur de la pensée de Burnham, qui enseigne à l’Institut d’études politiques de Paris de nombreuses années avant d’occuper la chaire de sociologie à la Sorbonne en 1955 ; l’auteur du présent article, étudiant dans une grande école de commerce au début des années 1970, a eu dans son programme d’enseignement la théorie de la « révolution managériale ». Respectivement en date du 10 mai 1947 et du 10 janvier 1948. Cf. Lire L. Cf. Cf. Une analyse fouillée des débats conduits au sein du CES, en 1948, autour du livre de Burnham, est avancée par D. Cf. Il faudrait sans doute être plus attentif au fait que des sociologues plus jeunes et/ou moins en vue dans l’univers académique, comme Naville, ou d’autres encore, comme Lefort et Castoriadis, discutent aussi les thèses de Burnham. Cf. G. Cf. Cf. J. Cf. Lire R.

Rise of the Global Corporatocracy: An Interview with John Perkins Ravi Bhandari is co-editor of Real World Globalization and professor of economics at Saint Mary’s College of California. This interview was conducted on September 17, 2012. Economic hit men (EHMs) are highly paid professionals who cheat countries around the globe out of trillions of dollars. They funnel money from the World Bank, the U.S. —John Perkins, Confessions of an Economic Hit Man (2004) Across several books, John Perkins exposes the lifestyles of the economic hit men. The system of contemporary capitalist globalization operates for the exclusive benefit of a global plutocracy that has no national boundaries or loyalties. The operation of this global system and its current financial architecture is as far as it could possibly be from the fairytale version of “free market” liberal democracy glorified in standard economic textbooks and the mainstream media. John Perkins (JP): The public interest aroused by Confessions was not by any means a forgone conclusion.

Cornelius Castoriadis Cornelius Castoriadis en 1990. Cornelius Castoriadis (en grec moderne : Κορνήλιος Καστοριάδης), né le 11 mars 1922 à Istanbul et mort le 26 décembre 1997 à Paris, est un philosophe, économiste et psychanalyste grec, fondateur avec Claude Lefort du groupe Socialisme ou barbarie. Il consacra une grande partie de sa réflexion à la notion d'autonomie, dont il proposa une conceptualisation particulière et qu'il défendit en élaborant un « projet d'autonomie », projet de société visant l'autonomie individuelle et collective, soit une démocratie « radicale », qu'il opposait à l'hétéronomie, constitutive selon lui des sociétés religieuses et traditionnelles, des régimes capitalistes mais aussi du régime de l'URSS. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] Ayant achevé sa formation à l’université d’Athènes, il vient la compléter à Paris en 1946, grâce à une bourse de l'Institut français d'Athènes alors dirigé par Octave Merlier.

Noam Chomsky Comme il peut être un peu fastidieux de lire l’intégralité des articles du blog, voici un petit best of des citations et des pensées chomskyennes… “Cette société durera, avec ses souffrances et ses injustices, tant et aussi longtemps qu’on prétendra que les engins de mort créés par les hommes sont limités, que la Terre est inépuisable et que le monde est une poubelle sans fond. À ce stade de l’histoire, il n’y a plus qu’une alternative. “L’endoctrinement n’est nullement incompatible avec la démocratie. “La propagande est aux démocraties ce que la violence est aux dictatures.” “Il me semble que, au moins dans les sociétés occidentales riches, la démocratie et le marché libre déclinent à mesure que le pouvoir se concentre, chaque jour davantage, dans les mains d’une élite privilégiée.” “Il existe deux ensembles de principes. “Tout gouvernement a besoin d’effrayer sa population et une façon de le faire est d’envelopper son fonctionnement de mystère.

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