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Constit_normesbiblio

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Normes bibliographiques Les normes bibliographiques en soins infirmiers La référence bibliographique permet d’identifier sans aucune ambiguïté un document décrit. Elle doit fournir suffisamment d'éléments d'identification au lecteur pour qu'il puisse retrouver le document. Chacun effectue un choix quant aux normes relatives à l’élaboration de bibliographie. Il y a également la norme éditoriale AFNOR, traduite de la norme internationale ISO. Nous proposons de décrire brièvement ces trois normes afin d’orienter les étudiants, en lien avec le niveau licence, et tenter d’unifier une pratique bibliographique destinée aux sciences infirmières. Définitions Définition de la norme : une norme, du latin norma (équerre, règle) : Règle, principe auquel on doit se référer pour juger ou agir (TFLI)Définition de la bibliographie : une bibliographie est une liste structurée d'ouvrages ou d'autres documents, notamment d'articles, ayant des caractéristiques communes. Vancouver Par exemple : Articles : Viemeister, N. Par exemple :

My Top 10 Web Curation Tools as A Teacher 1- Scoopt.it This is my favorite web curation tool. It allows you to create categories to which you scoop links and materials you find online. It also has a bookmarklet that you can install on 2- Livebinder This another cool tool I use to organize and bookmark my resources. 3- Evernote This is probably one of the most popular web tools but for me I use the mobile app more than I do with the web based one. 4- Pinterest This is a visual bookmarking tool that lets you pin web resources to the different pinboards you create. 5- Educlipper Educlipper is a relatively new web service that is gaining more and more in popularity each day. 6- Bundlr I like how Bundlr works. 7- Bag The Web Curate web content to make your own topic bags. 8- Springpad Springpad is another great tool to use to save your digital content. 9- Paperl.li This is a web tool that allows you to create an online newspaper from the photos, videos, and articles you come across online. 10- Netvibes

La possibilité d'en sortir. Du web à l'oeuvre et retour. Une nouvelle affaire agite le landerneau blogosphérique (voir le hashtag #relire sur Twitter) et vu l'écho qu'elle commence à susciter, nul doute qu'elle en dépassera bientôt les limites. Il s'agit de l'ouverture, par la Bibliothèque nationale de france (BnF) du site ReLire (Registre des Livres Indisponibles en Réédition Electronique - sic) permettant aux auteurs et ayants-droits d'accepter ou de refuser l'entrée de leurs oeuvres (indisponibles donc) sous le régime d'une gestion collective. Rappel pour les non-initiés, les "oeuvres indisponibles" sont des oeuvres toujours protégées par la durée du droit d'auteur mais qui n'ont plus de diffusion commerciale et dont on ignore souvent qui sont les ayants-droits (on parle alors plutôt d'oeuvres "orphelines"). Kézaco ReLIRE ?? Les billets et prises de position incontournables à lire : Premiers à dégainer, les "contre". François Bon : "Auteurs, contre l'Etat voleur, réclamez vos droits" Dont voici le coeur des reproches adressés : Karl. Non.

Pour un droit au partage des livres numériques Philippe Aigrain a réagi sur blog à l’annonce de la plainte déposée par les éditeurs français contre le site de la Team AlexandriZ, ainsi qu’aux discussions qui s’en sont suivies sur les réseaux. Il y défend l’idée qu’un droit au partage doit être reconnu pour les livres numériques, thèse qu’il avait déjà mise en avant dans un billet publié au début de l’année : La prévisibilité de cette guerre au partage m’a poussé depuis longtemps à estimer que c’est aussi et même particulièrement dans le domaine du livre numérique qu’il faut d’urgence reconnaître un droit au partage non-marchand entre individus associé à de nouvelles rémunérations et financements, faute de quoi le déploiement massif des DRM et la guerre au partage feront régresser tragiquement les droits des lecteurs - et parmi eux des auteurs - même par rapport aux possibilités du livre papier. Flying Books. Copier n’est pas voler. Je reproduis ci-dessous le billet de Philippe Aigrain, placé sous licence CC-BY-SA. Like this:

« Information wants to be free , vous vous souvenez ? | «:: S.I.Lex :: C’est sans doute l’une des phrases les plus célèbres prononcées à propos d’Internet : en 1984, l’auteur américain Stewart Brand lance au cours de la première Hacher’s Conference organisée en Californie : Information wants to be free. Ces mots deviendront l’un des slogans les plus forts du mouvement de la Culture libre et ils rencontrent encore aujourd’hui des échos importants, avec l’affaire Wikileaks par exemple, les révolutions arabes ou le mouvement de l’Open Data. Bits. Mais les choses sont en réalité un peu plus complexes et Stewart Brand dès l’origine avait parfaitement conscience que la libre circulation de l’information était un phénomène qui engendrerait des conflits : On the one hand information wants to be expensive, because it’s so valuable. Ce conflit latent traverse toute l’histoire d’Internet et il atteint aujourd’hui une forme de paroxysme qui éclate dans une affaire comme celle de la Lex Google. Encapsuler l’information Capsules. [...] Parasite. Like this: J'aime chargement…

How to solve impossible problems: Daniel Russell’s awesome Google search techniques Daniel Russell stood in front of a crowd of investigative journalists in Boston last week and showed us this picture of a random skyscraper in an unknown city: Russell posed a riddle: What’s the phone number of the office where this picture was snapped? Let that sink in. Nothing in that office was even in the photo. “Once you know these tricks, you can solve problems that look impossible,” Russell said. There are plenty of Google search cheat sheets floating around. Here are some of my favorite tips shared by Russell at the 2012 Investigative Reporters and Editors conference. Most of what you know about Boolean is wrong.Don’t bother typing AND in your search queries – Google treats it like any other word.But OR in all caps actually works. Part of the skill here is being fascinated about language. Think about how somebody else would write about the topic.Search is all about someone else’s language. This is a very good thing because you can now follow a topical area.” Related

The extended mind – how Google affects our memories Information has never been easier to find or record. Within seconds, the Internet lets us find answers to questions that would have remained elusive just a few decades ago. We don’t even have to remember the answers – we can just look them up again. Now, three psychologists have shown how our memories might react to this omnipresent store of information. The study lends some solid experimental weight to a game of speculative ping-pong that has bounced along for years. Critics pointed out that Carr had little evidence for his arguments. Ratliff wrote, “Perhaps the Web, then, is like a spouse who is around all the time, with a particular knack for factual memory of all varieties… There have to be doctoral students out there right now, working on clever studies about what having Google in your pocket does to your retentive abilities.” First, Sparrow showed that when US students are faced with hard questions, they naturally think about computers. And perhaps even this is changing.

[Infographie] 10 ans de Creative Commons Cette semaine, Creative Commons fête ses dix ans dans le monde entier. Une décennie d'alternative à une vision maximaliste de la propriété intellectuelle qui a su conquérir le grand public. Owni, un des rares médias en CC en France, vous retrace cette histoire en une infographie interactive. Des early adopters aux géants du web, Owni vous retrace en une infographie 10 ans d’histoire de Creative Commons : ou comment un pari que d’aucuns jugeait pascalien a été remporté haut la main : proposer une alternative légale assouplissant la propriété intellectuelle pour favoriser le partage à l’heure du numérique. Depuis la publication du premier set de licences en décembre 2002, cette généreuse et utile idée a fait son chemin sur les cinq continents, dépassant son cœur initial de cible, la culture, pour s’appliquer à d’autres domaines comme la science ou l’éducation. Cliquez sur les items pour avoir plus d’informations.

Guide de l'open source Depuis 2004, environ, Smile publie régulièrement des livres blancs pour présenter l’extraordinaire richesse de cette offre : la gestion de contenus en 2004, les portails en 2005, la business intelligence en 2006, la virtualisation en 2007, la gestion électronique de documents et les PGIs/ERPs en 2008, les VPN open source et les Firewall en 2009, l’ecommerce et les Réseaux Sociaux d'Entreprise en 2010, NoSQL en 2011, Mobile et Recensement/audit open source en 2012, etc. 30 ouvrages en tout, accessibles en libre téléchargement, qui présentent une sélection des meilleures solutions open source dans le domaine considéré, leurs qualités respectives, ainsi que des retours d’expérience opérationnels. Il manquait à cela un référentiel central, présentant le meilleur de l’offre open source afin notamment d’orienter, d’aiguiller les donneurs d’ordres vers les solutions de référence. D’ailleurs toutes les études le confirment, l’open source est omniprésent dans l’entreprise.

slic 31-2 Brooks Kirkland According to Herther (2012), the term “content curation” is a recent label, coined by marketing professor Rohit Bhargava in predicting an increased need for sense-making in the explosion of online information. Herther describes a content curator as “someone who continually finds, groups, organizes, and shares the best and most relevant content on a specific issue online.” The founder of the online curation tool Curata, Pawan Deshpande, describes the shortcomings of search engines and the consequent need for content curation. Search engines, he says, “reveal the most popular content rather than the best and most relevant content” and are also “designed for one-time queries rather than a persistent search over a long period of time.” Clay Shirky, noted Internet guru and professor at New York University, flips the notion of information overload into the reality of “filter failure”. Libraries as a Context for Curation So why is this seemingly new concept so familiar? The Human Touch

Le numérique et l'enfant sauvage Si le docteur Jean Itard avait eu à disposition un ordinateur personnel ou une tablette numérique, il s’en serait sans doute servi pour essayer d’éduquer l’intelligence de Victor. La méthode n’aurait sans doute pas permis davantage de succès, avec ces outils. De même pour d’autres individus souffrant de déficiences mentales, l’outil numérique ne peut aisément améliorer la méthode, d’autant que, s’il s’agit aussi de parvenir à la maîtrise de l’outil pour l’enfant, comme Victor devait en arriver à maîtriser des objets servant à son apprentissage, le travail pourrait paraître aussi complexe, voire plus. Ainsi, essayons de cerner en quoi s’affirme parfois le principe selon lequel la maîtrise de l’outil numérique permettrait le développement global des compétences de l’enfant. Il s’agit de comprendre quelles sont les bases de cette idée, de quelle manière elle se diffuse, avec des expérimentations internationales, mais également des perspectives françaises. Reprenons donc le fil.

Exemples de bulletins d'information au CDI La communication entre le CDI et les différents acteurs de l’établissement est un besoin inhérent à la bonne organisation du CDI et de ses activités : séances pédagogiques, activités éducatives et culturelles. L’un des outils de cette communication est le bulletin d’information . Sur la liste de diffusion e-doc plusieurs collègues ont donné des exemples de bulletins d’information du CDI, consultables en ligne en y associant leurs témoignages et leurs expériences sur les moyens de diffusion du dit bulletin : publication sur le site de l’établissement, ou bien imprimé à distribuer dans l’établissement (via le secrétariat par exemple). Voici les bulletins signalés : Le mot du CDI Bulletins de la Cité Scolaire Paul Arène à Sisteron Gazette du CDI Bulletin du lycée Gustave Ferrié, académie de Paris Gazette Bulletin du collège de Cantelauze de Fonsorbes, académie de Toulouse. Collège Le Parc Saint Ouen l’Aumône D’autres exemples CDI infos Bulletins de la cité scolaire Marie Curie

Retour sur la Conférence "Cultures numériques, Éducation aux médias et à l'information" Les 21 et 22 mai 2013, s’est déroulée à l’ENS de Lyon la Conférence nationale « Cultures numériques, Éducation aux médias et à l’information ». Le site officiel, toujours ouvert, permet de retrouver l’ensemble des communications des intervenants, au format PDF, ou en vidéo (format qui n’est pas encore disponible à l’heure de l’écriture de ces lignes), mais également l’ensemble des 50 « posters », présentations variées de projets et de séquences pédagogiques développées en collège et en lycée par les professeurs disciplinaires et professeurs documentalistes [1]. Notons que l’amphithéâtre était moins rempli que ce qu’on aurait pu croire, en particulier après les premières interventions, d’introduction. Il s’agit ici de proposer, sous la forme d’un compte rendu, une lecture des contenus et des échanges, en particulier lors des temps de tables rondes. Table ronde 1Cultures numériques : quelles responsabilités de l’école ? Table ronde 4Lire et écrire dans un monde numérique.

Droit et fonction documentaire – 1 : Les titres des oeuvres Nous commençons ce jour une série de mini-fiches synthétiques sur l’application du droit d’auteur dans le cadre de la fonction documentaire. Nous prendrons ainsi l’une après l’autre toutes les questions qui se posent dans la pratique documentaire et d’information. Cela constituera en quelque sorte une somme des retours d’expérience de nos activités de conseil et de formateur dans le domaine du droit de l’information. Ces fiches renverront, en tant que de besoin, aux synthèses et articles de vulgarisation déjà présents sur ce site. Les titres protégés par le droit d’auteur La première question qui se pose quant à l’activité documentaire et d’information est celle de pouvoir reproduire le titre d’une œuvre, dans le but d’en signaler l’existence à ses usagers. On pourrait penser que la réponse est de bon sens : cette reproduction est libre . Comment citer une œuvre ? Un soupçon de bon sens ne nuirait point… La solution à retenir En savoir plus Lire sur ce site :

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