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Cerveau droit, cerveau gauche : le mythe

Cerveau droit, cerveau gauche : le mythe
C'est plus qu'un mythe qui s'est développé autour de l'asymétrie du cerveau. C'est une véritable croyance. L'hémisphère gauche du cerveau est supposé être le siège de la logique froide, du verbal, côté dominant, tandis que l'hémisphère droit est sensé être le côté de l'imagination, des émotions, de la conscience de l'espace mais côté refoul. Pour la plupart des neuroscientifiques, ces notions sont considérées comme au mieux simplistes, au pire stupides. Les personnes à l'origine du test au scanner, les neurologues cliniques Gereon Fink de l'Université de Düsseldorf en Allemagne, et John Marshall de l'Hôpital Radcliffe d'Oxford, persistaient dans l'idée selon laquelle la différence entre les deux hémisphères du cerveau se trouvait dans leur mode de fonctionnement. Les résultats semblaient admirablement clairs. Des expériences sur les temps de réaction semblaient aussi appuyer la notion que les deux hémisphères différaient totalement dans leurs modes de traitement. Naissance d'un mythe

Asymétrie cérébrale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Définition[modifier | modifier le code] En neurosciences cognitives, l'asymétrie cérébrale désigne l'inégale implication des deux hémisphères du cerveau dans les différentes fonctions mentales. Dans leur anatomie générale, les deux hémisphères sont très semblables mais il existe un certain nombre de caractéristiques plus fines qui les distinguent l'un de l'autre. Le lien entre ces différences structurelles et les différences fonctionnelles reste mal compris. L'asymétrie du fonctionnement cérébral a été mise en évidence à la fois par l'étude des conséquences de lésions cérébrales accidentelles sur les facultés cognitives mais aussi, plus récemment, grâce aux techniques d'imagerie cérébrale qui montrent des activations asymétriques suivant les opérations mentales qu'effectue la personne dont on enregistre des indices de l'activité cérébrales. Historique[modifier | modifier le code] Chaque hémisphère est relié à la partie opposée du corps.

18. La réalité et les images du monde Tout au long de l’histoire notre vision du monde a changé, car elle ne suffisait plus, à un moment donné, à expliquer ce que nous étions soudain capable de percevoir. Cette façon de comprendre l’histoire suggère à l’évidence que notre façon de percevoir et de traduire la réalité n’est pas la réalité. Chaque culture a sa propre façon de raconter le monde, différente de celle des autres, même si, aujourd’hui, avec le développement de la communication, on y trouve de nombreux points communs. A partir des données figuratives que lui fournit l’hémisphère droit, l’hémisphère gauche invente une histoire cohérente du monde dans laquelle le sujet va pouvoir vivre. L’auto réflexivité Notre image du monde crée une sorte de bulle autour de nous qui nous conduit à toujours voir les choses de la même façon quel que soit le point de vue que l’on adopte ; c’est ce que la psychologie appelle l’auto réflexivité. Changer l’image du monde.

IBRO Brain Campaign This is the French language translation of the public education booklet. This translation was made for IBRO by: The British Neuroscience Association (BNA) commissioned the booklet for the purposes of teaching young people in the UK about the brain and neuroscience, the science of the brain. In 2005, the International Brain Research Organisation (IBRO) purchased the copyright of the booklet. Access the material by chapter: Front cover and contents 19. La vision du labyrinthe Accueil > Les langages de l’hémisphère droit > L’image du monde > La vision du labyrinthe Jacques Attali évoque, dans son "Chemins de sagesse : traité du labyrinthe", différents types de vision. Celui qui pénètre dans un labyrinthe, avance, tombe sur une impasse, rebrousse chemin, change de direction, continue, se trompe à nouveau etc. jusqu’à, peut-être un jour, trouver le centre ou la sortie. Celui, au contraire, qui se place au dessus du labyrinthe bénéficie d’un seul coup d’oeil du plan d’ensemble, du dessin général et sait instantanément quel est le chemin qui mène à la sortie, ou au centre, suivant ce qu’il cherche à atteindre.

Neurosciences Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les neurosciences désignent l'étude scientifique du système nerveux, tant du point de vue de sa structure que de son fonctionnement, depuis l'échelle moléculaire jusqu'au niveau des organes, comme le cerveau, voire de l'organisme tout entier. Apparues à l'origine comme une branche de la biologie, les neurosciences ont rapidement évolué vers un statut plus interdisciplinaire qui les situent aujourd'hui à la croisée des sciences biologiques, médicales, psychologiques, chimiques, informatiques et mathématiques. Cet élargissement de l'arsenal conceptuel et méthodologique des neurosciences va de pair avec une diversité d'approches dans l'étude des aspects moléculaires, cellulaires, développementaux, anatomiques, physiologiques, cognitifs, génétiques, évolutionnaires, computationnels ou médicaux du système nerveux. Histoire[modifier | modifier le code] Organisation du champ des neurosciences[modifier | modifier le code] Ingénierie et technologie :

14. Le plis Accueil > L’asymétrie cérébrale > Le plis Une stratégie unique dans l’histoire de l’évolution. lundi 15 avril 2002 Dans sa recherche de toujours plus de complexité l’évolution s’est trouvée avec l’homme devant un sérieux problème il y a environ 100 000 ans. A ce moment là, sous l’effet conjugué du développement de la dextérité des mains pour la fabrication des outils et des armes, et de l’apparition du langage, le cerveau a grossi. Au cours de l’évolution des hominidés le grossissement du cerveau s’est accompagné, dans un premier temps, d’une augmentation générale de la taille du squelette.

Sciences cognitives Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les six disciplines scientifiques constituant les sciences cognitives et leurs liens interdisciplinaires, par l'un des pères fondateurs du domaine, G. A. Miller[1]. Les traits pleins symbolisent les disciplines entre lesquelles existaient déjà des liens scientifiques à la naissance des sciences cognitives ; en pointillés, les disciplines entre lesquelles des interfaces se sont développées depuis lors. En France, où la tradition disciplinaire est forte, la question de leur statut entre en résonance avec des problématiques liées à la structuration de la recherche. à une science fondamentale, dite science de la cognition, dont les spécialistes, parfois appelés cogniticiens[3], sont réunis en sociétés savantes et publient dans des revues scientifiques internationales transdisciplinaires.à un secteur applicatif industriel du domaine de l'ingénierie de la connaissance : la cognitique. Histoire des sciences cognitives[modifier | modifier le code]

16. L'hémisphère silencieux Il a une perception globale des choses L’hémisphère droit est spécialisé dans la perception holistique des relations, des modèles, des configurations et des structures complexes. Il considère toujours les choses d’un point de vu général, global, il a peu le souci du détail, mais son appréhension de la totalité est instantanée, même à partir d’un fragment. Il reconnaît le tout à partir d’un fragment La reconnaissance des visages est une faculté propre à l’hémisphère droit. Il est musicien La perception et la compréhension de la musique est, en effet, une des faculté spécifique de l’hémisphère droit. Il gère la complexité Cette faculté de percevoir la totalité à partir d’un fragment que ne possède pratiquement pas l’hémisphère gauche, donne à l’hémisphère droit la capacité de mettre de l’ordre dans la complexité chaotique du monde. Il perçoit la réalité Sa capacité à gérer la complexité lui permet de percevoir la réalité dans son ensemble de façon directe, sans interprétation.

12. Le test de Sperry Accueil > Les révolutions scientifiques > Le test de Sperry Sperry et son équipe placèrent un sujet dont le corps calleux avait été sectionné devant un écran. Ils lui demandèrent de fixer un point qui apparaissait en permanence au centre de l’écran. Pour comprendre parfaitement ce qui va suivre il est important de rappeler que les informations visuelles qui parviennent à l’oeil droit sont reçues par l’hémisphère gauche et que l’oeil gauche envoi des informations à l’aire visuelle de l’hémisphère droit. Lors de son test, Sperry projette à droite l’image d’un couteau et à gauche l’image d’une fourchette. (Michael Gazzaniga, Le cerveau social, Ed. 09. L'image du corps Il s'agit en fait de la perte de l'image de son propre corps. Cette fonction permet de ressentir son corps comme une unité, et d'en avoir une conscience permanente, sans même avoir besoin d'y penser. Les conséquences de cette maladie sont désastreuses puisque les patients atteints de ce déficit ont la sensation de ne plus habiter leur corps, de ne plus savoir où sont leurs mains ou leurs pieds, par exemple, et de ne plus pouvoir s'en servir. Ils se décrivent eux-mêmes comme "désincarnés". Chez ces patients toutes les fonctions motrices sont pourtant saines mais cela ne suffit pas car pour faire fonctionner leur corps comme un tout une fonction mentale non-consciente leur fait défaut. Enfin si l'on veut citer tous les centres de la motricité du cerveau il est important de ne pas oublier l'aire oculo-céphalogyre.

Cerveau droit

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