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Liberté pour l'Histoire

Liberté pour l'Histoire

Criminaliser le négationnisme au-delà de l’Holocauste Quelques remarques sur la décision-cadre 2008/913/JAI de l’UE relative au racisme et à la xénophobie Par Paolo Lobba La décision-cadre de l’Union européenne 2008/913/JAI (ci-après nommée la « Décision »)1 est entrée en vigueur après des longues négociations entre les États membres, longueur qui reflétai la nature controversée des questions abordées dans ce texte. La Décision puise ses origines dans les politiques antiracistes conduites par l’UE depuis le milieu des années 1980, et elle couvre une vaste palette de mesures conçues pour contrer le racisme et la xénophobie, notamment la criminalisation de l’incitation publique à la haine et à la violence raciales, la responsabilité des personnes morales et les peines qu’elles encourent, et les réglementations assurant une large application de cette compétence juridictionnelle. Le 28 novembre 2010, la date fixée pour la mise en application de la Décision par les États membres de l’UE est arrivée à échéance. 2.1. 2.2. 3.1. 3.2. 3.3.

Liberté pour l'histoire Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Liberté pour l'histoire est une association française opposée aux lois mémorielles. Elle est présidée par Pierre Nora. Description[modifier | modifier le code] Liberté pour l'histoire tire son titre de la pétition lancée en décembre 2005 par 19 historiens[1], dont Pierre Vidal-Naquet, signée par plus de 600 personnes. Critiques[modifier | modifier le code] En réaction au collectif « Liberté pour l'histoire », 31 personnalités dont Serge Klarsfeld, Claude Lanzmann, Yves Ternon ont signé une lettre ouverte « Ne mélangeons pas tout » dans laquelle ils manifestent leur désaccord sur plusieurs points. Conséquences des demandes[modifier | modifier le code] La suppression demandée par ce collectif de la loi du 13 juillet 1990 dite loi Gayssot laisserait s'exprimer les négationnistes de la Shoah, qui ne pourraient plus être sanctionnés pénalement. Notes et références[modifier | modifier le code] Annexes[modifier | modifier le code]

Two years on, is it still spring in Tunisia? | Débat sur la Liberté d'Expression A première vue, la transition de la Tunisie vers la démocratie paraît fragile. Plus de deux cent manifestants furent blessés, certains grièvement, par la répression brutale de la police lors de manifestations récentes dans la ville de Siliana. Le gouvernement élu, une combinaison rare entre islamistes et laïques, a perdu sa popularité: des députés ont quitté les partis au pouvoir et le président a du orchestrer un changement de gouvernement d’urgence. Une nouvelle constitution devait être finalisée il y deux mois mais demeure inachevée. Deux ans après Mohamed Bouazizi , le vendeur de rue de Sidi Bouzid s’est immolé et déclencha une vague de révoltes à travers la région, la transition démocratique de la Tunisie est-elle en train de perdre son souffle? La pression économique joua un rôle très important dans le déclenchement des révoltes du monde arabe et les challenges qu’elles posèrent demeurent en place. Il y a eu des incidents qui déclenchèrent une vraie inquiétude.

Art officiel Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un art officiel désigne des créations artistiques reconnues, soutenues, mises en avant par un régime politique ou religieux, ou qui répondent au goût des institutions culturelles d'un État. L'art officiel peut être décrété et imposé sous des régimes totalitaires, ou autoritaire, par exemple sous le régime napoléonien et sous le régime stalinien. Il peut participer aussi à la propagande et promouvoir une idéologie. La promotion par un régime peut aussi se faire au détriment d'un art qui ne correspond pas aux critères de l'art officiel et qui est marginalisé ou interdit, par exemple, en France sous le Second Empire, l'art académique est soutenu par le pouvoir au détriment de l'impressionnisme, en Allemagne le nazisme interdit l'art moderne qu'il juge «dégénéré». Historique[modifier | modifier le code] La Haute Antiquité[modifier | modifier le code] Dès les époques les plus reculées, l'art a eu pour objet de glorifier le sacré.

Ces étudiants africains déçus de l'Eldorado français Chaque année, bon nombre d’étudiants africains sont attirés par la France, considérée comme un Eldorado. Arrivés dans l’Hexagone, le quotidien de ces derniers ne ressemble pas au paradis rêvé. Les non boursiers se serrent la ceinture pour pouvoir payer études, logement et nourriture. Paris est la ville préférée des étudiants étrangers, selon un sondage publié en 2012. Pourtant, l’herbe n’est pas forcément plus verte en France. « On ne reçoit plus la bourse -275 euros par mois- du gouvernement sénégalais depuis septembre 2012. Le président de France formation professionnelle, le programme qui permet à tous les étudiants sénégalais de faire des études dans l’enseignement technique en France, a même été à la rencontre du président sénégalais -de passage à Paris- pour lui témoigner l’enfer que vivent ses compatriotes au quotidien : « C’est compliqué la vie ici. La galère, c’est aussi le lot quotidien de Sofiane Della. Retourner au pays : une solution ?

Étienne Chouard Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Chouard. Étienne Chouard Compléments connu pour son soutien au tirage au sort de certaines assemblées Étienne Chouard, né le [1] à Paris, est un enseignant français, professeur d'économie et de droit dans un lycée à Marseille. Depuis lors Étienne Chouard, qui déclare « chercher la cause principale des injustices sociales »[2], étudie différents régimes démocratiques et constitutions. Parcours[modifier | modifier le code] Titulaire d'une maîtrise en droit à Nanterre (1980), Étienne Chouard est enseignant en économie-gestion et droit fiscal[Où ?] Le , il publie sur son site personnel une analyse critique envers le traité constitutionnel européen, se présentant comme un citoyen sans parti, sans étiquette et sans ambitions politiques personnelles[note 1]. Rapidement des centaines de réactions lui parviennent par courriel et la fréquentation de son site se confirme[14]. Chronologie[modifier | modifier le code]

l'économie ruinée par la corruption L’affaire Sonatrach a levé le voile sur la corruption qui ronge l’économie algérienne. Pourtant, le pays déploie, depuis des années, d’importants efforts pour lutter contre la corruption, mais les Algériens restent sceptiques aux résultats obtenus sur le terrain. (De notre correspondant) Des masques seront ils tombés ? Des interrogations multiples entourent cet engagement dans le sens de mettre le holà sur ce crime qui porte atteinte aux deniers publics et à l’économie nationale. C’est ce que pensent les observateurs, très au fait de l’actualité judiciaire, en mettant en avant l’ « impuissance des magistrats pour faire tomber les vrais barrons inamovibles qui font la pluie et le beau temps sur la scène économique du pays ». Les lois ne manquent, pourtant, pas. Le scandale Sonatrach, scandale de trop ? Mais le dernier scandale ayant éclaboussé la société nationale des hydrocarbures Sonatrach a fait réagir même le chef de l’état. La diaspora algérienne se mobilise

Franck Lepage Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Franck Lepage est l'un des fondateurs de la coopérative d'éducation populaire Le Pavé[1]. Militant de l'éducation populaire, il a été jusqu'en 2000 directeur des programmes à la Fédération française des Maisons des jeunes et de la culture et chargé de recherche associé à l’Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire[2]. En évoquant la mémoire de Christiane Faure, il aborde de façon critique le rôle de la culture dans la société avec un spectacle intitulé Inculture(s) 1 - L'éducation populaire, monsieur, ils n'en ont pas voulu…[3], qu'il a joué plus de quatre cents fois lors de « conférences gesticulées » entre 2006 et 2014. Avec les quatre coopératives d'éducation populaire qui composent "la Grenaille", il accompagne la réalisation d'autres conférences gesticulées dans le cadre de formations organisées par ces coopératives. Une centaine de conférences sont réalisées fin 2014. Biographie[modifier | modifier le code] SCOP Le Pavé

Sinking into deep despair of a drug epidemic How drugs ravage the Punjab In one of India's wealthiest states, it's estimated that seven out of ten young men are addicted to drugs. Ben Doherty and Alex Ellinghausen investigate. P At a cremation ground at the junction of half a dozen rice paddies, Nikka and Captain crouch in the shade of a banyan tree. But Nikka and Captain are oblivious to the bucolic surroundings. Dr Rana estimates about 60 per cent of the young men in Punjab are regular drug users, 95 per cent of them on heroin. Nikka grins as he taps the bottle of buprenorphine, waiting for the drug to run into the syringe below. Struggle: Addicts are treated at Tarn Tarn. Practised at using one hand, Nikka ties an orange scarf around his arm and roughly jabs the needle into a vein, pushing impatiently on the plunger. Advertisement He carelessly throws the used syringe, stained red with his blood, onto the ground. Damage done: the arms of a user. Nikka grows agitated.

Prague - the international service of Czech Radio Afrikibouge 12 Most Absurd Laws Used to Stifle the Occupy Wall St. Movement Around the Country October 14, 2011 | Like this article? Join our email list: Stay up to date with the latest headlines via email. As Occupy Wall Street protests spring up in cities across the country, authorities are thinking up creative ways to contain this peaceful and inspiring uprising. Still, there is no shortage of justifications and rationales behind the constantly evolving schemes being implemented to destroy the spirit of Occupy Wall Street. 1) No Snoozing In Public Most cities have an anti-camping ordinance on the books that prohibits camping or sleeping in public spaces, particularly public parks, to minimize the risk of nighttime criminal activity. But now, all over the country, anti-camping ordinances are being used to arrest and deter protesters from occupying public spaces. Local news stations covering Occupy Dallas report that police plan to begin enforcing the city's ordinance against sleeping in public, first with warnings, then tickets, and eventually arrest. 2) No Umbrellas 3) Curfews

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