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Dette publique de la France

Dette publique de la France
Dette publique de la France, en milliards d'euros courants et en % du PIB, fin 1978 à fin septembre 2017. Dette publique et affichage des couleurs politiques des gouvernements (source : INSEE). La dette publique, « au sens de Maastricht » estimée par l'Insee, s'élevait à 2 299,8 milliards d'euros à la fin du deuxième trimestre 2018[1], soit 99 % du PIB, contre 55,8 % à la fin de 1995 et 66,8 % à la veille de la crise de 2008. Ce montant, à rembourser par les administrations publiques, peut être comparé à leurs recettes annuelles, à leurs actifs financiers et à leur patrimoine net. L’endettement public a connu au cours de l’histoire de fortes variations, ne prenant de l'ampleur qu'au XVIIIe siècle et atteignant lors des guerres puis de la Révolution des niveaux considérables, ensuite épongés par des périodes de forte inflation, de forte croissance, ou de hausse des recettes publiques. De 2007 à 2017, la France ne respectait aucun de ces critères. Définitions[modifier | modifier le code]

Carte des Cra | La machine à expulser Centre de rétention de Plaisir 2006 date d'ouverture30 places, 14 chambres613 retenus en 2009 dont 154 femmes, 65 Algériens, 47 Marocains, 39 Maliens, 30 Roumains, 12 BulgaresFrance terre d'asile association présentePolice aux frontières (PAF) gestion du CRA Centre de rétention de Paris-Dépôt 1986 date d'ouverture40 places, 16 chambres824 retenus en 2009 dont 152 femmes, 183 Chinois, 111 Algériens, 63 RoumainsASSFAM association présentePolice aux frontières (PAF) gestion du CRA Centre de rétention de Palaiseau 2005 date d'ouverture40 places, 20 chambres785 retenus en 2009 dont 77 Algériens, 69 Marocains, 63 Tunisiens, 62 Roumains10,17 jours durée moyenne de rétentionFrance terre d'asile association présentePolice aux frontières (PAF) gestion du CRA Centre de rétention de Bobigny Centre de rétention de Paris-Vincennes Centre de rétention de Mesnil-Amelot 1 Centre de rétention de Coquelles Centre de rétention de Lille-Lesquin sites 1 et 2 Centre de rétention de Metz Centre de rétention de Bordeaux

La dette grecque bientôt restructurée? Officiellement, rien n’a changé : la Grèce remboursera son énorme dette publique, comme elle s’y est engagée et comme s’y sont engagés ses partenaires de la zone euro afin de rassurer les investisseurs. Mais, dans les coulisses, on commence à admettre que la tâche est impossible : il y a des limites à ce que les peuples peuvent endurer. «Nous n’en pouvons plus», clamait ainsi mercredi à Athènes une banderole lors de la manifestation qui a accompagné la première grève générale de l’année 2011. «Nous sommes en train de mourir», avertissait une autre. Cette journée, marquée par un regain de mobilisation contre la cure de rigueur sans précédent que les Grecs subissent depuis un an, a fait ressurgir les craintes d’une déstabilisation politique. «Tout le monde réfléchit à une restructuration, mais les autorités publiques ont peur de déclencher au sein de la zone euro un nouveau Lehman Brothers», affirme André Sapir, professeur d’économie à l’université libre de Bruxelles. Photos: Reuters

Les Indignés en procès pour une vitre décollée Ce matin, dans la 29e chambre du tribunal correctionnel de Paris, une audience pour le moins singulière. Onze Indignés comparaissaient pour avoir, lors d'un rassemblement place de la Bourse, "dégradé des biens publics" - en fait "décollé" la vitre du fourgon de police dans lequel ils étaient détenus. Les prévenus, alignés, se succèdent à la barre, devant le micro. "Je n'ai rien vu, je n'ai rien fait, puisque je n'étais pas dans ce fourgon !", affirme Jérémy, 29 ans. "Un policier en civil m'a parlé avec violence, véhémence, poursuit le jeune homme. Me Breham, l'avocat des onze Indignés, lâche : "Je rappelle que la vitre ne s'est pas cassée, elle s'est juste décollée, parce qu'elle tenait mal." «Oui, je suis vraiment indignée !» Parmi les prévenus, il y a aussi Hilmar, 36 ans. Séverine, absente au procès, est celle qui, selon la présidente du tribunal, a "le casier le plus chargé": une arrestation pour conduite en état d'ivresse. «On essaie de criminaliser la lutte sociale»

"Et si on fermait la Bourse ?" Et LA MONNAIE Quelques réflexions de base.(pour aller plus loin ?) — >>La monnaie moyen de domination *d’humains sur d’autres humains *sur la nature. — >>Depuis...bien avant le néolibéralisme, la société et son environnement sont instrumentalisés par la monnaie, sont au service de la monnaie créée en abondance, débordant très largement la production et la consommation qu’elle permet d’anticiper -crédit- pour le développement de sociétés non durables non soutenables par la biosphère. (Dans les années 50, les banques -de « dépôt », nationalisées- pouvaient prêter 11 fois les dépôts des clients...) — >> La monnaie moyen de domination et d’enrichissement... — >>La monnaie comme « étalon » de toute chose -même de la nature, comme c’est proposé par certains-est une blague : le kg, le mètre, la seconde sont constantes. — >>>La MONNAIE OUTIL SOCIAL au service de touTEs *Il n’y a pas de « génération spontanée » de la monnaie. — ->>>A approfondir, critiquer et à suivre...

Carte des Cra | La machine à expulser Centre de rétention de Plaisir 2006 date d'ouverture30 places, 14 chambres613 retenus en 2009 dont 154 femmes, 65 Algériens, 47 Marocains, 39 Maliens, 30 Roumains, 12 BulgaresFrance terre d'asile association présentePolice aux frontières (PAF) gestion du CRA Centre de rétention de Paris-Dépôt 1986 date d'ouverture40 places, 16 chambres824 retenus en 2009 dont 152 femmes, 183 Chinois, 111 Algériens, 63 RoumainsASSFAM association présentePolice aux frontières (PAF) gestion du CRA Centre de rétention de Palaiseau 2005 date d'ouverture40 places, 20 chambres785 retenus en 2009 dont 77 Algériens, 69 Marocains, 63 Tunisiens, 62 Roumains10,17 jours durée moyenne de rétentionFrance terre d'asile association présentePolice aux frontières (PAF) gestion du CRA Centre de rétention de Bobigny Centre de rétention de Paris-Vincennes Centre de rétention de Mesnil-Amelot 1 Centre de rétention de Coquelles Centre de rétention de Lille-Lesquin sites 1 et 2 Centre de rétention de Metz Centre de rétention de Bordeaux

Crise : un complot américain derrière la crise économique de l'Europe ? Atlantico : Laurence Parisot a déclaré au Figaro que la crise économique que traverse actuellement l’Europe avait été "orchestrée" par les États-Unis. Qu’en pensez-vous ? Est-ce plausible ou s’agit-il de paranoïa ? Paul Jorion : C’est plausible, mais c’est de la paranoïa aussi ! En fait, nous nous trouvons dans une situation dégradée aussi bien aux États-Unis qu’en Europe. Tout le monde envisage de nouvelles catastrophes et donc chacun essaie de rejeter le blame sur l’autre. J’ai lu beaucoup d’analyses extrêmement pointues venues des États-Unis sur la situation que connait l'Europe en général et la France en particulier. Il existe des rumeurs venues de France, tout comme des rumeurs venues des États-Unis, mais il n'y a pas de "campagne orchestrée". Peut on envisager une nouvelle sorte de "terrorisme financier" où tel pays s'en prendrait à tel autre pour dégrader sa note attribuée par les agences de notation ? Non, ce n’est pas possible. Je ne sais pas. On sait d’où est née la crise.

La France mérite-t-elle son triple A? L'agence de notation Moody's a annoncé aujourd'hui qu'elle pourrait réévaluer la perspective stable du triple A français. Les économistes Jean-Hervé Lorenzi (président du Cercle des économistes) et Philippe Simonnot (docteur en économie, auteur de Le jour où la France sortira de l'Euro chez Michalon) discutent la portée de cette annonce. Faut-il prendre au sérieux l'annonce de Moody's? Jean-Hervé Lorenzi: Cette histoire me stupéfie dans la mesure où les agences ont, il y a encore une semaine, assuré qu'on ne toucherait pas à la note française. Mais que s'est-il passé depuis? Je ne vois rien qui motive un tel changement. Philippe Simonnot: Tout dépend de quel point de vue on se place: celui de Moody's, ou celui de la réalité de la situation. Pourquoi, selon vous? Philippe Simonnot: La dégradation américaine a levé un tabou. Jean-Hervé Lorenzi: Dire que la dégradation serait méritée, voilà qui relève de l'habituel lamento français. M. Après tout, une dégradation, serait-ce la fin du monde?

Franchir un pas On peut regarder la crise de deux façons. Avec anxiété devant les menaces qui se profilent à l'horizon - spectre d'une nouvelle récession, risques d'éclatement de l'euro… Ou avec étonnement devant les avancées hier encore improbables qu'elle a permis aux Européens d'accomplir. Qu'on en juge… La Banque centrale européenne devait se contenter de surveiller l'inflation : elle vole aujourd'hui au secours des Etats en difficulté en rachetant leurs titres de dette par dizaines de milliards d'euros. Les traités interdisaient que les Etats membres soient mis à contribution pour prendre en charge les engagements financiers de l'un des leurs : ils ont fini par mettre au point pour cela un fonds de stabilité financière doté d'une capacité de 440 milliards d'euros. Chaque euro emprunté devait être remboursé rubis sur l'ongle : les chefs d'Etat de la zone euro envisagent désormais de solliciter la participation des créanciers de la Grèce. Mais toutes les formes de solidarité ont un prix.

Les immigrés «doivent adopter nos coutumes» insiste Guéant Claude Guéant, le ministre de l’Intérieur, a affirmé que «les immigrés que nous accueillons chez nous» devaient «adopter nos coutumes, respecter nos lois» et «être intégrés», jeudi sur LCI, avant un déplacement à Montfermeil (Seine-Saint-Denis) sur le thème de l’intégration. Ce déplacement fait suite à une étude, conduite par le politologue Gilles Kepel, à Clichy-sous-Bois et Montfermeil (Seine-Saint-Denis), qui a mis l’accent sur une «intensification de l’identité musulmane» chez des habitants qui se sentent relégués socialement. «C’est précisément pour cela que je vais à Montfermeil», a expliqué le ministre, qui a ajouté: «Cette étude (…) montre que se constituent à Montfermeil, à Clichy-sous-Bois (…) des communautés qui sont d’origine immigrée, qui vivent selon des règles qui sont les leurs, qui s’éloignent du respect de la règle commune, et qui d’ailleurs ont peu connaissance des lois de la République, des modes de vie de la France.» (Source AFP)

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