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Centre Culturel Tjibaou, Nouvelle-Calédonie

Centre Culturel Tjibaou, Nouvelle-Calédonie

Langues et culture Kanak - Ecole élémentaire L’enseignement des éléments fondamentaux de la culture kanak vise plusieurs objectifs : - Affirmer l’identité de l’école calédonienne en s’imprégnant de la découverte des valeurs dominantes de la culture kanak qui ont une portée universelle et renvoient aux notions d’humanité et de vivre ensemble : valeur de respect (écoute et bienveillance), valeur de solidarité (partage, accueil, hospitalité), valeur d’harmonie (cohésion, consensus), valeur d’appartenance, valeur de réciprocité (échanges). Dans ce contexte, l’acquisition des compétences culturelles ne doit pas être conçue comme une accumulation de connaissances indépendantes, mais comme une construction progressive de valeurs communes qui prend tout son sens aux yeux de l’élève parce qu’elle est intégrée à la vie de la classe (réf. Parcours civique / Parcours d’éducation artistique et culturelle). - Partager un patrimoine commun que l’École contribue à faire connaître, comprendre et transmettre.

Centre culturel du Mont-Dore Pour que vous soyez nombreux à profiter de la programmation du Centre culturel, la Ville a mis en place les tarifs famille, groupe et abonné, qui vous permettent de bénéficier de 50 % de réduction sur le plein tarif d’un spectacle. Un tarif réduit est également disponible. Depuis 2015, le Centre Culturel du Mont-Dore s’est mis à la vente de billets en ligne via eticket.nc Connectez-vous directement sur leur plateforme et payez en ligne avec votre carte bleue sur eticket.nc ou directement auprès de la billetterie du Centre Culturel. Tarif plein ou unique Il s’applique sans conditions particulières. Tarif réduit Il s’applique aux moins de 26 ans et aux plus de 65 ans, ainsi qu’aux détenteurs d’une carte en cours de validité : demandeur d’emploi (SEF),aide médicale gratuite (AMG)étudianthandicapé (CORH) Les titulaires d’une carte avantage émanant d’une structure conventionnée avec la Ville bénéficient également du tarif réduit. Tarif abonné Il s’applique aux détenteurs d’une carte Pass’culture.

Un séminaire pour enseigner la culture kanak | Gouvernement de la Nouvelle-Calédonie Dans le cadre de la mise en œuvre du projet éducatif, l’enseignement des langues et de la culture kanak fait l’objet d’un accompagnement à travers une mission de l’inspection générale de l’Éducation nationale et un séminaire « Cultures régionales et réussite scolaire ». Celui-ci, organisé par le vice-rectorat, se tient les 26 et 27 octobre à l’UNC. Personnels éducatifs du premier et du second degré public et privé, parents d’élèves, chercheurs, partenaires institutionnels... Hélène Iékawé, membre du gouvernement en charge de l’enseignement, en est convaincue, « ce séminaire va donner une impulsion à l’enseignement des fondamentaux de la culture kanak, moyen d’apprentissage de l’altérité et rapprocher les communautés en mettant en place des passerelles de compréhension mutuelle ». Le vice-recteur, la membre du gouvernement en charge de l’enseignement et la directrice de l’enseignement ont ouvert le séminaire. « Les enjeux sont désormais pédagogiques et didactiques. État des lieux

ETicket - Votre solution billetterie en Nouvelle-Calédonie - Accueil Technique et rituel : l'exemple du poteau central de la grande case des Kanaks (centre-nord de la Nouvelle-Calédonie) Technique et rituel : l'exemple du poteau central de la Grande Gase des Kanaks (Centre nord de la Nouvelle-Calédonie) Par Roger BOULAY* La Grande Case désigne la maison ronde, souvent de plus grandes dimensions que les autres, qui s'élève à l'extrémité supérieure d'une allée au tracé souligné d'arbres où les événements les plus importants de la vie du groupe de résidence se déroulent. Les informations présentées dans cet article ont été recueillies dans la région de langue Païci entre 1980 et 1986. chemin de traînage permanent entre la montagne et le bord de mer. Il faut partir du fait que la Grande Case est sans doute un discours dans lequel s'organisent des images évoquant la grandeur du chef, la capacité de soutien des clans qui l'entourent, le prestige de ces groupes, la puissance de leurs ancêtres qui sont inséparables et dont les interventions s'appellent et se répondent. 1) Le bois de houp Le poteau central des grandes cases * Musée national des Arts Africains et Océaniens, Paris.

Vidéos : la case kanak sous tous les angles Comment fabrique-t-on une case traditionnelle ? Que signifie une flèche faitière et comment l'architecte Renzo Piano a-t-il conçu le Centre culturel Tjibaou à Nouméa ? Fléche faitière kanak, documentaire de Frédéric Ramade (26 minutes) La flèche faitière orne le haut de la Grande Case, c'est-à-dire celle du grand chef, et domine ainsi toute la tribu. Cette sculpure taillée dans une pièce de bois d'un seul tenant est l'un des éléments les plus représentatifs de la culture kanak et a été choisie en tant que symbole du pays dans les année 1980. Documentaire issu du DVD "Découvrir les Arts premiers", collection Arts du mythe, volume 3, Arte. La Construction des cases en pays xârâcùù, documentaire de Rozenn Milin (8,34 minutes) Comment se construisent les cases traditionnelles kanak ? Renzo Piano, le chemin Kanak, un documentaire de Gilles Dagneau (extrait) En savoir plus sur la culture kanak ?

Nouvelle-Calédonie – Tourisme province Nord - La case traditionnelle Habitat originel de la terre calédonienne, la case kanak oscille entre réalités pratiques et concepts mystiques. Traditionnellement, la grande case de la chefferie, est une œuvre commune conçue par le groupe entier, pour le chef. Car la maison est un être vivant qui doit être respecté et protégé. Elle est habitée par des présences invisibles, des ancêtres garants de la pérennité du groupe, et a un lien fort avec le cosmos. C'est pourquoi n'y pénètre pas qui veut. Historiquement, elle est ainsi interdite aux femmes et aux enfants. À l’intérieur, le haut et le bas affirment une distinction de statut. Et à son faîte, une flèche posée par l'oncle utérin sur l'aiguille de laquelle (l'extrémité) est plantée une conque (toutoute) qui contient des herbes magiques et qui est destinée à diffuser la parole de la chefferie.

Case Kanak ‹ Coutume kanak Dans la symbolique kanak, l’organisation tripartite partagée verticalement est récurrente. La division des éléments en trois espaces se retrouve dans l’Homme, dans l’igname et dans la monnaie kanak, dans la case, la flèche faitière, le drapeau kanak, la perche du pilou, la monnaie, ou encore le monde par la séparation du ciel, de la terre et de la mer… Tête / EspritCette partie évoque la relation au monde de l’invisible, à l’univers et au cosmos. Corps / VivantLe corps de l’homme ou du groupe est le siège du savoir et de la pensée. Pied / TerreLe pied correspond à l’attachement à la terre et est relié au tertre et à l’esprit.

La construction des flèches faîtières en Kanaky - Congrès national des Ceméa 2015 Mon savoir sur la sculpture vient du peu qu’il reste sur le terrain, de ce que j’ai appris à l’école de Doo Huny au centre culturel provincial GOA ma BWARHAT à Hienghène et des lectures que j’ai faites sur le sujet. De ma génération, peu de sculpteurs ont appris des anciens qui avaient eux-mêmes appris d’autres anciens. Beaucoup sont passés par DO NEVA (Waa wi luu – Houaïlou) et les cours de Lacheret DIOPOSOI et Guey NOMAI, quelques uns par ceux du regretté Wejieme TROLUE à Bourail. Dans la pratique, beaucoup sont autodidactes et commencent avec un ciseau plat de menuisier. Cela leur confère, lorsqu’ils commencent à en acheter, une habileté technique indiscutable avec les burins (en V) et les gouges (en U)… Beaucoup d’outils sont maintenant accessibles et n’importe qui peut s’en procurer. Cela ouvre le champ d’expression chez ceux qui sont doués. En téléchargement : flèche faitière La flèche représente donc un homme debout dans son espace, face à la porte où se présente le visiteur. et

Les langues kanak en Nouvelle-Calédonie - Vice-rectorat de la Nouvelle-Calédonie La Nouvelle-Calédonie contemporaine comprend une trentaine de langues kanak, elles-mêmes subdivisées parfois en plusieurs dialectes. La désignation « langues kanak » recouvre les langues parlées sur la Grande Terre et aux îles Loyauté par les populations autochtones issues de peuplements précédant le contact avec l’Occident. Historique de l’enseignement des langues kanak La colonisation a bouleversé les rôles et le statut des langues en présence en instaurant une hiérarchie entre elles. Mais c’est après la Seconde Guerre mondiale, avec la fin du régime de l’indigénat, que le processus d’assimilation sera le plus efficace dans l’arasement des particularismes locaux. Depuis les accords de Matignon (1988), les textes de loi successifs ont ouvert progressivement les portes de l’école publique aux langues kanak. En 1992, la loi Deixonne (loi 51-46 du 11 janvier 1992) relative à l’enseignement des langues et dialectes locaux est étendue au territoire.

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