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Auguste

Auguste
Après la dissolution du second triumvirat, Octave fait mine de restaurer les institutions républicaines. Bien qu'en théorie il rétablisse les prérogatives du Sénat, des magistrats et des assemblées législatives, il conserve dans les faits un pouvoir autocratique et continue de gouverner sans en référer au Sénat. Entre 31 et 23 av. J.-C., Octave, devenu en janvier 27 av. Avec le règne d'Auguste débute pour Rome une période de stabilité, traditionnellement connue sous le nom de Pax Romana, après un siècle de déchirements politiques et de guerres civiles. Auguste réforme le système de taxation, développe les voies de communication en leur adjoignant un réseau officiel de relais de poste, et établit une armée permanente postée dans des provinces données, et ancrée sur une frontière pérenne, le limes. Auguste meurt en 14 apr. Jeunesse (63-44 av. Naissance et ascendance (63-58 av. Enfance (58-48 av. Sous l'égide de César (48-44 av. Au début de l'année 45 av. Arrivée au pouvoir (44-27 av. Related:  royaumesvHistoire

Théodose Ier Théodose Ier (Flavius Theodosius), 346-395, empereur romain et byzantin de 379 à 395, fils de Théodose l’Ancien. Il fut le dernier empereur à régner sur un empire réunifié. D’origine espagnole, d’une famille chrétienne, il fut proclamé empereur en 379 par Gratien et reçut l’Orient, la Macédoine et la Dacie. En 380, avec Gratien, ils arrêtèrent les Goths en Epire et en Dalmatie. La même année, il adhéra au symbole de Nicée, devint l’ardent défenseur des chrétiens et à Thessalonique, il publia l’édit suivant : « Tous les peuples doivent se rallier à la foi transmise aux Romains par l’apôtre Pierre, celle que reconnaissent Damase et Pierre d’Alexandrie, c’est-à-dire la Sainte Trinité du Père, du Fils et du Saint-Esprit. » Le catholicisme devenait religion d’État. Il condamna l’arianisme lors du second concile œcuménique de Constantinople en 381. En 382, il installa les Wisigoths en Mésie. De 388 à 391, Théodose demeura en Occident, presque toujours à Milan.

Hadrien Sources[modifier | modifier le code] Les principales sources sur sa vie et son règne sont les Vies des Césars du sénateur Marius Maximus et l’Histoire de Rome de Dion Cassius. Tous deux écrivent au début du IIIe siècle, soit environ un siècle après le règne d'Hadrien. Le livre 69 de Dion Cassius, qui traite du règne d'Hadrien, n'a survécu que par des fragments et un abrégé byzantin. Jeunesse[modifier | modifier le code] Enfance et formation[modifier | modifier le code] Son enfance est mal connue. En 90, Hadrien effectue un bref séjour à Italica[14], sans doute pour inspecter les domaines familiaux après avoir assumé la toge virile[15]. Débuts[modifier | modifier le code] Hadrien assume sa première magistrature en 94[19] : il rejoint les décemvirs chargés des litiges mineurs (decemviri stlitibus judicandis)[20], qui forment un collège du vigintivirat. Le 27 janvier 98, Nerva meurt. « Qui donc est celui-là, au loin, qui se distingue par ses rameaux d'olivier, et portant des objets sacrés ?

Néron Néron (latin : Imperator Nero Claudius Caesar Augustus Germanicus, grec ancien : Νέρων [Nérōn]), né Lucius Domitius Ahenobarbus le 15 décembre 37 à Antium et mort le 9 juin 68[1] à Rome, est le cinquième et dernier empereur romain de la dynastie julio-claudienne ; il régna de 54 à 68 (apr. J.-C.). On se souvient de lui comme d'un despote cruel, notamment pour avoir assassiné sa mère Agrippine en 59, et pour ses persécutions des chrétiens[2]. Sources sur Néron[modifier | modifier le code] Il faut aussi prendre en considération que les textes des historiens étaient retranscrits par des copistes. Généalogie[modifier | modifier le code] Ascendance[modifier | modifier le code] Famille[modifier | modifier le code] Parents[modifier | modifier le code] Grands-parents paternels[modifier | modifier le code] Grands-parents maternels[modifier | modifier le code] Naissance sous Caligula[modifier | modifier le code] Conspirations[modifier | modifier le code] Adoption par Claude[modifier | modifier le code]

Constantin Ier (empereur romain) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ses noms de référence sont Imperator Caesar Flauius Valerius Aurelius Constantinus Pius Felix Inuictus Augustus, Germanicus Maximus, Sarmaticus Maximus, Gothicus Maximus, Medicus Maximus, Britannicus Maximus, Arabicus Maximus, Adiabenicus Maximus, Persicus Maximus, Armeniacus Maximus, Carpicus Maximus. Dioclétien refuse de revenir au pouvoir, force Maximien à abdiquer de nouveau et reforme la tétrarchie avec en Orient Galère secondé par Maximin Daïa et en Occident Constantin et un nouveau venu, Licinius, officier illyrien sorti du rang choisi par GalèreMaximien et Maxence, déclarés usurpateurs, maintiennent leurs prétentions et, en Afrique, Domitius Alexander proclame les siennes. On a alors sept empereurs, une heptarchie, qui ressemble davantage à l'anarchie militaire du IIIe siècle. Les relations entre les vainqueurs ne tardent pas à se dégrader, tous deux faisant montre d'une énorme ambition.

Trajan Trajan est divinisé par le Sénat et ses cendres sont inhumées au pied de la colonne Trajane. Son fils adoptif et petit-neveu Hadrien lui succède, malgré quelques troubles lors de la passation de pouvoir. Hadrien ne poursuit pas la politique expansionniste de Trajan, renonce à tous les territoires nouvellement conquis sur les Parthes et réoriente la politique intérieure en mettant les provinces au premier plan. Biographie[modifier | modifier le code] Avant l'accession à l'Empire[modifier | modifier le code] Origines et famille[modifier | modifier le code] Origines[modifier | modifier le code] Lieu et date de naissance[modifier | modifier le code] Le jour de sa naissance est le quatorzième jour avant les calendes d'octobre, c'est-à-dire le 18 septembre[b 3]. Ascendance et famille[modifier | modifier le code] Grâce à son consulat, son appartenance à la classe supérieure et son rang de vir triumphalis, il offre à son fils un chemin tout tracé vers une carrière sénatoriale[e 1]. ↑ K. ↑ G. ↑ M.

List of Roman emperors Augustus (Octavian), the first Roman Emperor of the Principate Era whose ascension ended republic rule at Rome. The Roman Emperors were men who ruled the Roman Empire and wielded power over its citizens and military. The empire was developed as the Roman Republic invaded and occupied the majority of Europe. Under the republic, regions of the empire were ruled by provincial governors answerable and authorised by the "Senate and People of Rome". Legitimacy[edit] The emperors listed in this article are those generally agreed to have been 'legitimate' emperors, and who appear in published regnal lists.[7][8][9] The word 'legitimate' is used by most authors, but usually without clear definition, perhaps not surprisingly, since the emperorship was itself rather vaguely defined legally. Lists of legitimate emperors are therefore partly influenced by the subjective views of those compiling them, and also partly by historical convention. Emperors after 395[edit] The Principate[edit] See also[edit]

Diocletien Caius Valerius Jovius Diocletianus , empereur romain, né en 245 près de Salone, mort dans cette ville en 313. Fils d'un affranchi, il servit dans une légion, avança sous Probus, fut consul sous Aurélien. A la mort de Numérien, assassiné par son beau-père Arrius Aper, il perça celui-ci de son épée et fut proclamé par les soldats (284). Il envoya des troupes contre Carinus, frère de Numérien, qui régnait à Rome, mais Carinus fut tué par ses propres soldats. Ce fut la tétrarchie: 1) Dioclétien (Auguste) eut la Thrace, l'Egypte, l'Asie, et résida à Nicomédie; Galère, son César, eut l'Illyrie, les possessions du Danube, l'Achaïe, et résida à Sirmium. 2) Maximien (Auguste) eut l'Italie, la Sicile l'Afrique et résida à Milan; son César, Constance Chlore, eut la Gaule et l'Espagne et résida à Trèves. L'ordre régna à l'intérieur, les frontières furent restaurées; une paix durable fut conclue avec les Perses (297). Encyclopédie Universalis.

Pecunia non olet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pecunia non olet (« l'argent n'a pas d'odeur ») est un dicton latin. La phrase est attribuée à l'empereur romain Vespasien (gouverna de 69 à 79 après J.-C.). Histoire[modifier | modifier le code] L'empereur Vespasien a remis en vigueur la taxe sur l'urine (latin : vectigal urinae), d'abord créée par Néron puis abandonnée. La phrase Pecunia non olet est toujours utilisée de nos jours pour dire que la valeur de l'argent ne dépend pas de son origine. Le nom de Vespasien est encore lié aux urinoirs publics en France (vespasiennes), Italie (vespasiani) et Roumanie (vespasiene). Dans la littérature[modifier | modifier le code] « L'axiome de Vespasien » est mentionné en passant dans Sarrasine, une nouvelle de Balzac, en connexion avec les origines mystérieuses de la fortune d'une famille parisienne. Dans Cette hideuse puissance, par C. Anecdotes[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

Neron Lucius Domitius Claudius Nero, est né à Antium en 37 apr. J.-C., et mourut près de Rome en 68. Il était fils de Domitius Aenobarbus et d'Agrippine la jeune. Mais les mauvais instincts ne tardèrent pas à prendre le dessus. En 59, exaspéré par les intrigues d'Agrippine, il ne recula pas devant le matricide. Une conspiration formée par Pison fut découverte, et une foule de victimes périrent, parmi lesquelles Pétrone, Thraséas, Corbulon, Lucain, Sénèque. Néron contemple le cadavre de sa mère Agrippine qu'il vient de faire tuer D'après Pietro NEGRI © Musée Calvet d'Avignon Chose incroyable, peu d'empereurs furent autant que Néron, regretté du peuple et des provinces. Encyclopédie Universalis.

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