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Économie sociale et solidaire : de quoi parle-t-on ?

Économie sociale et solidaire : de quoi parle-t-on ?
L’économie sociale et solidaire (ESS) rassemble les entreprises qui cherchent à concilier activité économique et utilité sociale. Donnant la primauté aux personnes sur la recherche de profits, elles sont organisées autour d’une solidarité collective, d’un partage du pouvoir dans l’entreprise, et réinvestissent leur résultat dans les projets et au service des personnes. Coopératives, mutuelles, associations et fondations constituent un acteur économique de poids pour remettre l’humain au cœur de l’économie de demain. Un acteur économique de poids Les entreprises de l’ESS sont en France un acteur économique de premier plan. Elles emploient plus de 2,35 millions de salariés et distribuent chaque année plus de 50,5 milliards d’euros de masse salariale, soit environ 10 % de l'emploi salarié et de la masse salariale versée chaque année par les entreprises privées. Un moteur pour l’emploi Sur les dix dernières années, l’ESS a créé 440 000 emplois nouveaux, en croissance de 23%. < Retour

L'ESS en région Centre : un boom du secteur sanitaire et social Entre le quatrième trimestre de 2006 et celui de 2012, les emplois du secteur de l’ESS (Economie sociale et solidaire) en région Centre ont augmenté de près de 7 % (soit plus de 4.800 postes), alors que sur la même période, le reste du secteur privé hors ESS a perdu 5 % de ses emplois (30.000 postes). Le périmètre statistique de l’ESS se compose des quatre grandes familles du secteur : associations (83 % des emplois de l’ESS), coopératives (6,9 %), mutuelles (6,7 %) et fondations de l’ESS (2,3 %). Quel est l’apport des acteurs de l’ESS à l’emploi de la région Centre ? L’Economie Sociale et Solidaire se compose d’entreprises et d’organisations qui ouvrent des voies nouvelles en cherchant à produire, consommer et décider autrement. Entre 2006 et 2012 ce secteur a généré un gain de plus de 4.800 postes salariés en région Centre (source Acoss-Urssaf), alors que sur la même période le reste du secteur privé hors ESS voyait ses effectifs diminuer de 30.000 postes.

Former et apprendre avec le Web 2 dans le contexte de la formation professionnelle Dans un article précédant, j'avais identifié les lectures alternatives du schéma représentant les usages intégrés de la tablette et du Web 2 au bénéfice de la formation professionnelle. Je me suis enfin donné le temps de le traduire et l'adapter ;-) Ce qui est en jeu dans le schéma, ce ne sont pas les technologies, mais bien les productions et les interactions rendues possibles par ces technologies. Le schéma illustre non-seulement la numérisation des contenus mais aussi la numérisation des interactions. Traduit et adapté pour les besoins des formations que j'anime pour les usages pédagogiques de la tablette, ce schéma trouve aussi sa place dans mes animations pour la classe inversée. Il prolonge et détaille d'une certaine manière ce schéma de l'organisation d'un espace d'apprentissage personnel (EAP) en amont d'un e-Portfolio.

A propos de dispositifs hybrides 1. Contexte historique : la route vers le dispositif hybride Avant d’arriver à la notion de dispositif hybride, nous tracerons ci-dessous un bref panorama historique de la formation à distance (FOAD) [1] . Jusqu’aux années 2000, une barrière séparait les formations ouvertes et à distance (FOAD) et les formations plus traditionnelles effectuées dans une salle de cours. Pour illustrer ce qu’est une FOAD, prenons l’exemple des universités à distance, dont le premier modèle a été l’Open University [2] britannique créée dans les années 70. Appelée aussi « l’université de la deuxième chance », cet établissement virtuel ouvre continuellement ses portes, sans sélection préalable, afin d’offrir à tous des chances de formation. A l’époque, les cours à distance se déroulaient principalement par correspondance. Graduellement, ces deux extrêmes ont tendance à se repositionner en prenant des formes hybrides. 2. 2.1 Le dispositif JACQUINOT-CELAUNAY, G. et MONNOYER, L. 3. 4. 5. 6.

Formation innovante : BYOD, hybride, netware, cloud, deep learning Quelles sont les tendances innovantes en formation aujourd’hui ? J’ai repris cinq éléments innovants que je pratique dans mes propres formations : le BYOD, la formation hybride, l’usage du netware et du cloud. Et enfin, mais peut-être surtout : une stratégie de deep learning (apprentissage profond) ! J’ai lu récemment plusieurs articles sur le fait que la formation n’innovait pratiquement pas, malgré l’apparition de l’e-learning ou des MOOCs. Personnellement, je crois que c’est faux. Tout comme l’Internet des objets favorise une interpénétration toujours plus profonde du monde physique et du Net, les outils numériques et les pratiques en présentiels se fondront davantage dans une pédagogie unique. Formation innovante La formation hybride : les avantages des deux modes La formation hybride rassemble les avantages de deux modes : le présentiel et la formation en ligne ou e-learning. Deux modes de distribution complémentaires : le présentiel et l’e-learning Le mode présentiel Classe inversée

HTML5 Par Djib's, le 4 janvier 2012 à 15:43 dans Actualité & avis iPhone / iPod Avec l’avènement du HTML5 et du CSS3, il est maintenant possible de créer des sites et des applications web qu’il n’était pas possible de proposer il y a quelques années. Le développeur web TjRus, nous montre encore aujourd’hui la force de cette technologie. Sur son site, il propose un iPhone 4 entièrement réalisé en css3. Aucune image n’a été utilisée, même pour les icônes. TjRus a « juste... Lire la suite

FODITIC Comment produire de la valeur à plusieurs centaines de personnes ?<br/>Intelligence collective, réseaux, coopération Mardi 14 Janvier 2014 Comment produire de la valeur à plusieurs centaines de personnes ?Intelligence collective, réseaux, coopération Dans la thématique : 7) Collectifs de travail, communautés professionnelles, réseaux Avec Jean-Michel Cornu [1], Directeur Scientifique de la Fing (Fondation Internet Nouvelle Génération), cofondateur de la plate-forme collaborative Imagination for People. Nous en avons tous l’expérience : pour travailler de manière collective et efficace, 12 personnes parait un maximum ! S’il y a des exemples - à regarder de près - qu’est-ce qui les a rendus possibles ? Vif, concret, ouvert sur ce qui émerge : l’Université ouverte des compétences est heureuse de débuter ses amphis débat de l’année 2014 en recevant Jean-Michel Cornu. Jean Besançon [1] Jean-Michel Cornu intervient depuis plus de vingt ans comme consultant international dans le domaine de l'innovation, des plateformes collaboratives et de la société de l'information.

Khan Academy en Français | Bibliothèques Sans Frontières Le geek, cet outil marketing Si l’on connaît le fonctionnement multimédiatique de la culture geek, le croisement de références qu’il implique et son culte de l’approfondissement du rapport aux objets, certaines « manières de faire » des grandes entreprises paraissent plus claires. Elles servent à asseoir une crédibilité auprès de cette communauté et jouent avec humour sur les références et les stéréotypes qui lui sont liés. Cela ne se limite donc pas aux producteurs de contenu audiovisuel mais s’étend à tout un marketing de marque qui implique les geeks, leur culture ou leur image dans diverses formes de communication et de publicité. Il s’agit souvent de marques liées aux nouvelles technologies, mais pas uniquement. Les grandes entreprises cherchent à asseoir une crédibilité auprès de la communauté geek et jouent avec humour sur les références et les stéréotypes qui lui sont liés. On peut par exemple penser aux gâteaux apéritifs Curly et à leur slogan « si t’as pas d’amis prend un curly ».

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