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La guerre entre les journaux et le web

La guerre entre les journaux et le web
L'industrie des journaux et ses alliés ont de nombreux griefs contre le Web. Ils disent que le Web est un parasite, qu'il copie les contenus papier et qu'il vole ses annonceurs. Ils soutiennent que les créateurs du Web ne publieront jamais ces articles de fond si nécessaires à la démocratie, des articles qu'on trouvait dans les journaux avant que le Web n'arrive et ruine le paysage médiatique. Avec une restructuration des lois sur le copyright, ils veulent tenir le Web en laisse. Et ils s'insurgent aussi contre la diminution de la qualité du journalisme poussée par un Web ayant habitué ses lecteurs à une gratuité de l'information. Qu'importe la pertinence de ces récriminations, ce n'est pas la première fois que des médias installés tiennent des nouveaux pour responsables de la fin du monde. Comme le Web aujourd'hui, c'est commercialement que la radio a affaibli les journaux, en perturbant cette identité institutionnelle qu'ils s'étaient échafaudée, écrit Jackaway. publicité

e-G8: les grands journaux assurent ne pas redouter internet Depuis qu'internet a explosé, on ne compte plus les journaux qui ferment. Vivement concurrencée par la gratuité, même si elle n'est pas systématique, et, surtout, par l'immédiateté de l'information disponible en ligne, la presse écrite s'interroge sur son avenir: jusqu'à quand les rotatives vont-elles tourner' Interrogé à ce sujet au deuxième jour de l'e-G8 dans le jardin des Tuileries, plusieurs patrons de presse ou de rédactions ont assuré qu'ils ne redoutaient finalement pas tant que ça cette éventuelle échéance, préférant insister sur les opportunités offertes par le web où ils ont déjà investi massivement. Il est vrai cependant que la plupart représentaient des rédactions on ne peut plus prestigieuses et solidement ancrées depuis des décennies dans le paysage médiatique: le New York Times, le Financial Times en Angleterre ou La Repubblica en Italie. "La presse papier ne va pas disparaître, on voit des baisses des ventes au numéro, mais on a des abonnés fidèles. Par

Everyone gets paid on commission The Washington Post recently laid off a columnist because his blog posts didn't get enough web traffic. Of course, in the old days, the newspaper had no real way to tell which columns got read and which ones didn't. So journalists were lulled into the sense that it didn't really matter. The Times quotes Jay Rosen, a journalism professor at NYU, “It’s an unusual public rationale for serious newspaper people, that’s for sure.” Wrong tense. In fact, in a digital world where everything can be measured, we all work on commission. You don't have to like the coming era of hyper-measurement, but that doesn't mean it's not here. Internet, bouc émissaire des lâchetés On croit rêver : un des principaux ministres de la République fait une plaisanterie raciste sous les regards d’une caméra de télévision, et le problème, ce serait... Internet ! Dans la déferlante des commentaires qui entoure l’« affaire Hortefeux » depuis deux jours, il n’y a rien de plus stupéfiant, de plus consternant à mon sens, que ces brillantes analyses qui ne voient qu’un seul coupable : le Web. Notre confrère Jean-Michel Blier, dans le journal Soir3 vendredi, en a donné l’exemple le plus caricatural, en opposant les « rumeurs » et le « caniveau » véhiculés par Internet, et « les informations vérifiées comme celles du journal télévisé ». Pourquoi réagir à ce commentaire en particulier ? Transformer la réalité pour appuyer sa démonstration, ça s’appelle de la manipulation, pas de l’information. Internet ou la planète Mars ? Mais surtout, l’essentiel n’est pas là. « D’un côté un espace pas vérifié, par légitimé, qui est Internet, de l’autre un espace légitime, qui est les médias. »

Le journal papier est mort, vive le-journal ! - janaica sur LePost.fr (10:53) Publié parjanaica post non vérifié par la rédaction 19/10/2011 à 10h48 - mis à jour le 19/10/2011 à 10h53 | vues | réactions Chacun a vu les images de Lino Ventura dans 125, rue Montmartre le film de Gilles Grangier. Depuis quelques jours le sort de ce titre qui dépassa les 2 millions d’exemplaires pour la mort du général de Gaulle semble scellé. Cette actualité est l’occasion de réfléchir sur le thème de la fin des journaux. Mais cela ressemble irrésistiblement à “encore une minute Monsieur le bourreau“. Certes il y a ici ou là des quotidiens nationaux ou locaux qui résistent un peu mieux dans la tourmente mais si l’on raisonne en tendance lourde et longue la fin du journal papier semble inéluctable. S’informer correspond à un désir de comprendre, connaître, savoir qui n’est pas prêt de se tarir. Le consommateur par son refus ou son acquiescement désigne lui-même les modes d’acquisition de l’information ici en déclin, là en expansion. Alors que faire ? Serge Schweitzer - News Of Marseille

What’s Black And White And Red All Over? Top Newspaper Circulati The Audit Bureau of Circulations has released the numbers for the top 25 daily newspapers in the U.S. based on their weekday circulation numbers. Not surprisingly, the numbers are bad — okay, awful. Exactly one of the top newspapers has shown growth when compared to where they were 6 months ago. That paper is The Wall Street Journal, which is now the number one paper in the country thanks to USA Today’s staggering loss of nearly 20% of its readership the past 6 months. And it’s not like WSJ is growing like gangbusters, it grew 0.61% in the last six months. Also a good list is the top 10 gainers in circulation, only because it looks like they could barely find 10 papers in the entire country with positive gains. Below, find a chart of top 10 circulated paper’s “growth” over the past 6 months.

Désintermédiation et perte de pouvoir des journalistes : Crise d Avec Internet, on s'habitue à accéder à l'information de façon directe, sans l'aide d'intermédiaires. Le rôle de médiation des journalistes est remis en cause. Ce rôle ne disparait pas: il se modifie. Avant de se rendre à Davos, le locataire de l'Elysée a participé à l'émission « Paroles de Français ». Cette émission, on peut la voir de deux façon: 1) c'est juste un trompe l'œil, une émission de télé réalité politique, un pseudo échange entre un homme politique et des citoyens triés sur le volet; l'essentiel se passe ailleurs, par exemple au sommet Davos, qui réunit les super riches. 2) cette émission atteste de la montée en puissance de la « parole » des citoyens, de l'opinion qui s'exprime de façon directe, avec un rôle restreint des journalistes Désintermédiation L'émission de TF1 n'est pas la première du genre. Cette désintermédiation est de plus en plus souvent à l'œuvre. Les citoyens s'expriment directement. Médias sociaux et parole citoyenne Le Facebook des partis politiques

What If: The New New York Times Like everyone else I’ve watched the print media world fall apart over the last few years. The poster child for that industry is the New York Times, of course, and their many missteps in recent memory have been well chronicled. In early 2008 Marc Andreessen started a New York Times Deathwatch, and the company’s financial performance has degraded since then. I keep wondering what would happen if the top 10% of the writers at the NYTimes just…walked out. I know it’s crazy, but let’s just explore this a bit for the heck of it. Today the company is worth just a little over $1 billion. I certainly don’t think the NYTimes is going to be shutting down any time soon. Journalism Isn’t Dead. A couple of weeks ago I met the Politico guys just before they taped their Charlie Rose segment. And earlier today I got a glimpse at what AOL is up to – they are hiring all the journalists being fired and laid off by the newspapers and magazines. Journalists still matter. What if… The New New York Times

Edwy Plenel : “La presse ancienne a fait une erreur historique” Edwy Plenel, ancien journaliste du Monde a créé, il y a un an, le site d’information payant "Médiapart". Il estime "qu’on ne peut pas faire un journalisme de qualité en comptant sur la seule recette publicitaire" et que "la presse ancienne a fait une erreur historique en mettant ses contenus gratuitement en ligne."Edwy Plenel explique pour nous son modèle économique.Par Charlotte Lazimi et Nina Drewes Dans cet entretien, Edwy Plenel présente son modèle économique comme le seul possible et viable "pour une information de qualité". "Le parti pris de Médiapart depuis le début, c’est que la gratuité comme modèle économique viable pour une information de qualité, de référence sur internet, c’est une pure illusion" explique-t-il. "Le seul modèle viable pour la presse de qualité sur internet, c’est un modèle mixte. Seule l’information doit être payante. " Mais l’information, ça a une valeur. "C’est une logique d’audience, ce n’est pas une logique d’achat et de fidélisation" ajoute-t-il.

Euthanazing the paper? Not yet. I love this year-old Warren Buffet quote: “If Mr. Gutenberg had come up with the Internet instead of movable type back in the late 15th century, and for 400 years we had used the Internet for news and all types of entertainment and all kinds of everything else, and I came along one day and said ”I have got this wonderful idea: we are going to chop down some trees up in Canada and ship them to a paper mill which will cost us a fortune to run through and deliver newsprint and then we’ll ship that down to some newspaper and we’ll have a whole bunch of people staying up all night writing up things and then we’ll send a bunch of kids out the next day all over town delivering this thing and we are going to really wipe out the Internet with this”… It ain’t going to happen”. As a member of the Washington Post’s board of directors, Buffet knows quite a bit about converting trees into reading material. Andreessen gets credits for persistence. However, two things must be considered:

You Can't Get There From Here - Why Andreessen Is Wrong Posted by Tom Foremski - March 11, 2010 Marc Andreessen, the co-founder of Netscape, likes to give business advice to media companies. For a couple of years, he has been advising newspapers to completely abandon print. He said it again in a recent article. Alan Mutter, a former reporter, and successful media entrepreneur, writing on "Reflections of a Newsosaur" says the idea is "plain nutty." Marc Andreessen had a really good idea when he invented the first popular browser for the web, but his latest notion – that newspapers should walk away from a business grossing more than $30 billion a year – is just plain nutty. I agree. GOOG's Chief Economist Hal Varian Has No Solution For Newspapers The newspaper industry is stuck. I remember a conversation with a publisher of a very good IT print magazine. He said that he offered online advertising packages to his print advertisers. This also works the other way. You can't get there from here. It's a Yankee phrase that never made sense to me.

NSFW: ‘Tis Pity We Called Her A Whore – And Other Ineffectual Di Having now written two books about my failures in work, life and love, I think I’m qualified to say that the only difference between a memoirist and a prostitute is timing. A prostitute sells sex for money – that money being payable either immediately before or immediately after the act. A memoirist also receives money for having sex – but our payment comes via a publisher, months or years later, once we’ve recounted the amusing or titillating details in print. In the final analysis, really, we’re all whores. And yet, in terms of public perception, the distinction of payment and timing is vital. Actual prostitutes are – generally speaking – looked down on by society: labels like ‘whore’ and ‘hooker’ being, almost without exception, used pejoratively. And yet, thanks to an astonishing but – I hope – innocent piece of lazy subediting, when the IoS published her column they did so under the unambiguously libellous headline “I was a hooker who became an agony aunt“. Hoo boy. Not so much.

CHART OF THE DAY: There's A Reason They Call It 'Old Media'

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