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Philippe ramette, installateur contemplatif

Philippe ramette, installateur contemplatif
par Henri Peyre Philippe Ramette est un installateur. On demande donc aux amoureux de la vérité photographique d'aller planter ailleurs le drapeau de leur (petite) vertu. Les photographies de Ramette sont trafiquées, mais finalement pas tant que cela : les situations prises ont existé "en réel" et la photographie a finalement un aspect très documentaire, se contentant de témoigner sobrement de ce qui a existé. Evidemment Ramette a un peu préparé le terrain. Le sens de la mesure Notre homme en costume présente la pose un peu raide du comptable à la période du (dépôt de) bilan. Mais retenons dans un premier temps bien ceci : une échelle d'évaluation nous est donnée. La recherche de la meilleure logique Bien entendu je suis sûr que vous avez déjà basculé la photographie, pour mieux comprendre ce qui se passe. "Mon Dieu oui, on a du attacher les pieds de ce bonhomme, il ne pourrait pas tenir autrement sur le mur". Puis il se produit quelque chose d'autre. Et à ce moment le vertige revient. 1.

Cie.W.Dorner - Studio 70 a moving trail for a group of dancers concept: Willi Dornerphotos: Lisa RastlPremiere: Festival Paris Quartier d’été, July 4, 2007 >>“bodies in urban spaces” is a temporarily intervention in diversified urban architectonical environment. The intention of “bodies in urban spaces” is to point out the urban functional structure and to uncover the restricted movement possibilities and behaviour as well as rules and limitations. By placing the bodies in selected spots the interventions provoke a thinking process and produce irritation. Passers by, residents and audience are motivated and prompted to reflect their urban surrounding and there own movement behaviour and habits. “bodies in urban spaces” is a moving trail, choreographed for a group of dancers. “bodies in urban spaces” is documented by the photographer Lisa Rastl. With the support of the cultural office of the City of Vienna. Performances: 2007

Gilbert & George - Art ménager Gilbert & George habitent Fournier Street, petite rue de Londres coincée entre une paire d’édifices de culte. A l’angle de Commercial Street, face au marché de Spitalfield, s’est assoupie Christchurch, chef-d’oeuvre baroque de Nicholas Hawksmoor construit débutXVIIème à la demande de la reine Anne, soucieuse de combattre la décadence morale du royaume. A l’autre bout de la rue, au coin de Brick Lane, s’agite un deuxième lieu de prière. C’est dans l’une d’elles que s’est installé, en 1964, George. George ­ Nous avons toujours voulu être artistes. Gilbert ­ George vient de l’ouest de l’Angleterre, du Devon. George ­ J’ai quitté l’école pour prendre un emploi très ordinaire. Gilbert ­ George a travaillé dans un magasin pendant trois ans et suivait des cours du soir à Dartington Hall, une école d’art assez connue. George ­ Une chose à laquelle je n’avais jamais songé, compte tenu de ma situation. Gilbert ­ Moi, j’ai grandi dans les Dolomites, en Italie. Gilbert ­ Très difficile. courant.

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