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27% de la consommation média réalisée sur mobile - Consommation média mobile

27% de la consommation média réalisée sur mobile - Consommation média mobile
Les français utilisateurs d'Internet mobile consomment plus de 7 heures de médias par jour. Après avoir détrôné la TV, le PC ne représente finalement que le second poste de consommation média avec 113 minutes par jour : c'est en effet le mobile qui arrive en tête puisqu'il représente 27% de la consommation média quotidienne des français, avec 116 minutes. A noter que 51% des français pratiquent le multi-tasking devant leur poste de télévision. La France se situe ainsi dans la moyenne de consommation quotidienne de médias sur mobile avec ses 116 minutes, contre 117 dans le monde. Reste que la consommation de médias sur PC est bien plus importante dans le monde (140 minutes) qu'en France (113 minutes).

L'actualité marche très fort sur les tablettes... si elle est gratuite Les Américains adorent consulter les informations sur leur tablette numérique... à condition de ne pas avoir à payer de leur poche, révèle une étude publiée ce mardi. Une enquête dont les résultats risquent de doucher les espoirs de la presse, qui comptait en partie sur ce nouveau support pour compenser les pertes enregistrées sur les formats traditionnels. Selon l'étude, réalisée par l'institut Pew et le centre de réflexion The Economist Group, 11% des adultes américains possèdent une tablette numérique. "Un scénario au mieux incertain pour la presse" "Quand elles ont été lancées, de nombreux observateurs ont pensé que les tablettes aideraient à changer les habitudes des consommateurs d'infos", explique l'étude. "Si les médias réussissent à tirer des revenus des tablettes de manière plus efficace que ce qu'ils ont fait sur internet de manière générale", les perspectives sont "prometteuses".

Acteurs traditionnels vs pure players, qui domine l'eCommerce US ? par Michel de Guilhermier - Chronique e-Business L'arithmétique est impitoyable : la réalité est dure pour les marchands pure players aux Etats-Unis. Regarder les chiffres permet souvent de donner un éclairage lumineux… Sur les 100 1ers acteurs de l'eCommerce aux US (par le CA généré), qui représentent 77% du total (sur peut-être 500,000 eCommerçants), on ne compte que 17 pure players. Les acteurs traditionnels, retailers et VADistes dominent en fait très largement en nombre, au delà d'une proportion 80/20. Si l’on regarde le CA généré, la vue pourrait paraître différente car la part des pure players dans le Top 100 est de 34%, soit 2 fois plus que les 17% en nombre. La réalité est donc simple et duale, l’eCommerce US est archi dominé par les acteurs traditionnels et Amazon, point ! Ce constat reflète le fait qu'il est finalement extrêmement compliqué de percer en eCommerce quand on part de zéro, la percée d'Amazon et des Acteurs Traditionnels s’expliquant assez aisément :

Les modèles d’affaires du web 2.0 Les sites web 2.0 offrent toujours un accès gratuit à leurs services. Leur économie repose donc sur la capacité à valoriser les activités et les échanges qui se développent sur le site de manière à générer des revenus autour de ce service gratuit. Jean-Samuel Beuscart, Christophe Dacheux et Kevin Mellet, chercheurs au laboratoire Sense d’Orange Labs ont cherché à identifier les différentes modalités de monétisation de la présence et de l’activité des utilisateurs. On peut identifier quatre modalités distinctes de monétisation de la présence et de l’activité des utilisateurs. 1. Le principe du Freemium (contraction des mots Free et Premium) est fréquent : l’utilisation des services de base est gratuite, l’accès aux services premium étant, lui, payant. Le troisième modèle est celui de la place de marché : il repose sur le prélèvement d’une commission sur les transactions organisées par le site. Ces quatre formes de monétisation assurent aux sites web 2.0 des revenus directs. 2.

Informez-vous les uns les autres ! XEnvoyer cet article par e-mail Informez-vous les uns les autres ! Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Fermer Feuilleton L’imprimerie agonise mais l’écrit règne. Les pauvres comptent leurs amis sur Facebook et l’élite mesure son rang sur Google. Il regarderait comment on s’informe aujourd’hui et il constaterait qu’on s’informe avec les doigts. L’information n’est d’ailleurs plus qu’un élément d’un tout. Ajoutons-y l’effet Diderot (“On avale à pleine gorgée le mensonge qui nous flatte et l’on boit goutte à goutte une vérité qui nous est amère”), qui consiste, études à l’appui, à prouver que le public, lorsqu’il s’informe, tend hyper-majoritairement à rechercher l’information qui confortera ses idées préalables plutôt que de savoir la vérité. Un jour, on parlera d’auto-intoxication informative. En France par exemple. Revenons à McLuhan. En 1993, vous étiez 1 % à avoir entendu parler d’Internet. L’effet de souffle provoqué par cette météorite n’a pas encore été vraiment mesuré.

Le papier contre le numérique Pour certains, la cause est entendue : en changeant de support, nous avons perdu de notre capacité à nous plonger dans de longs textes. Un point de vue trop simpliste, comme en témoignent les analyses présentées dans ce texte. Nouveau support, nouvelle culture Lit-on de la même manière sur le support papier que sur le support électronique ? Il n’est pas sûr que ce texte parvienne à réconcilier les tenants de chaque position. « Google nous rend-il stupide ? « À chaque fois qu’apparaît un nouveau média, une nouvelle façon de distribuer le savoir et l’information, il se trouve quelqu’un pour crier à l’abêtissement des masses », attaque Luc Debraine dans Le Temps. Ces dernières années, j’ai eu la désagréable impression que quelqu’un, ou quelque chose, bricolait mon cerveau, en reconnectait les circuits neuronaux, reprogrammait ma mémoire. Nos références culturelles changent À en croire l’inventeur Daniel Hillis, ce n’est pas Google qui nous rend stupide. Le choc des cultures

Presse en ligne, vers le retour du payant - Kiosque, Eric Gaillard / Reuters - Le krach que connaît la presse partout dans le monde a peut-être une vertu : clarifier le modèle économique de l'information en ligne. Il y a urgence. Quelques chiffres pour illustrer le problème auquel est confrontée la presse dans sa douloureuse migration vers le numérique. publicité Cette absence de transparence nuit évidemment au maintien des prix. Rien d'étonnant donc, à ce que nombre de grands quotidiens envisagent de revenir au payant. Cette culture de la gratuité a en fait deux solides racines liées à l'histoire récente de l'internet. Parallèlement, l'internet n'a jamais réussi à accoucher d'un système viable de micropaiement applicable à l'information. Comment revenir à une forme payante sur le net qui ne soit pas un repoussoir pour les lecteurs ? Pour ce qui est du micropaiement, les techniques ont quand même évolué. La troisième piste ne concernera qu'une minorité d'éditeurs. Frédéric Filloux Devenez fan sur , suivez-nous sur

Audience de la Presse: étude ONE - ETUDE 51% des Français lisent au moins un quotidien. Dans l’univers presse quotidienne nationale, Le Parisien/Aujourd’hui en France est le titre rassemblant le plus de lecteurs (2 443 000), suivi de l’Equipe 2 199 000 lecteurs, Le Monde 1 961 000, Le Figaro 1 191 000, Libération 961 000, Les Echos 468 000, La Croix 397 000, et L’Humanité 281 000 lecteurs. Le Journal du Dimanche réunit 1 135 000 lecteurs. La stratégie d’ouverture de 20 nouvelles villes en 2011 propulse 20 Minutes en tête de l’univers de La presse quotidienne urbaine gratuite (PQUG) avec 4 280 000 de lecteurs. Dans l’univers de la PQR (presse quotidienne régionale) Ouest-France occupe la tête du classement avec 2 441 000 lecteurs, suivi de La Voix du Nord (1 141 000 lecteurs), et Sud-Ouest (1 083 000). 97% des Français lisent chaque mois au moins un journal ou un magazine, ce qui fait de la France un des pays les plus friands de presse au monde selon Audipresse. Selon Audipresse, 55% des femmes lisent au moins un féminin.

Médias & Publicité : Les lecteurs de presse en ligne attachés au papier Plus de quatre lecteurs de presse écrite sur dix se sont convertis aux supports numériques, selon une étude de l'institut GfK. Le numérique rentre dans les mœurs mais le papier reste un pilier pour les lecteurs de presse. Au cours des trois derniers mois, 42% d'entre eux ont téléchargé ou lu de la presse numérique sur des sites Internet, contre 58% qui n'ont pas sauté le pas, selon le troisième baromètre REC réalisé par l'institut GfK en France. Chez les lecteurs numériques, 53% de leur temps est consacré aux supports numériques, contre 47% au papier. «Ces chiffres évoluent lentement, indique Philippe Person, directeur entertainment chez GfK. Mais tous les lecteurs de presse se convertissent progressivement aux nouveaux supports, bien plus vite que les lecteurs de livres, qui ne sont que 10% à télécharger des e-books.» Le basculement est donc bien réel, mais il est loin d'être total. Les quotidiens favorisés

La presse en ligne Dans le bouillonnement de l'Internet émerge une nouvelle forme de médias d'information : la presse en ligne. Titres de presse écrite, radios, télévisions ou éditeurs intervenant sur les différents supports numériques, des formes éditoriales dessinent leurs contours. Des rédactions, des organisations, des pratiques du journalisme s'expérimentent. Toutes vont à la rencontre de publics dont les usages tranchent avec ceux des moyens d'information traditionnels, en mêlant rôles du récepteur et du producteur de contenu. Page 1 à 2 Pages de début Page 9 à 24 I. Page 25 à 34 II. Page 35 à 46 III. Page 47 à 62 IV. Page 63 à 80 V. Page 81 à 102 VI. Page 103 à 116 VII. Page 117 à 120 Conclusion Page 121 à 128 Pages de fin Fiche technique Le Floch Patrick et Charon Jean-Marie, La presse en ligne, Paris, La Découverte « Repères », 2011, 128 pages.

Tablettes et presse : un couple fait pour s’entendre? Depuis l’arrivée des tablettes et particulièrement de l’iPad dans les chaumières en 2010, les éditeurs de presse ont vu leur monde s’ouvrir à de nouveaux horizons, encore inexistants jusqu’alors. Un nouveau business modèle s’offrait à eux, ne demandant qu’à inverser la tendance dramatique de la pente descendante, due à la mise à disposition gratuite de l’information sur internet. Mais au fond, où en est-on aujourd’hui ? Les magazines et les tablettes forment-ils réellement le couple de rêve, capable d’apporter un nouveau moyen de fidélisation du lecteur, du chiffre d’affaire et de « sauver la presse », sur lequel tous les éditeurs fantasmaient début 2010 ? Une éclaircie dans le brouillard À leur arrivée sur le marché, les tablettes se retrouvent face à un monde de la presse vieillissant, qui a du mal à s’adapter aux nouveaux modes de diffusion numériques. « En 2009, la publicité a reculé de 10 à 30 % en valeur selon les titres, alors que les ventes ont baissé en moyenne de 7 % !

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