background preloader

L'impression en 3D, de plus en plus accessible

L'impression en 3D, de plus en plus accessible
L’impression 3D, ou la fabrication en quelques heures d’un objet à partir d’un modèle numérique, était il y a peu encore réservée aux entreprises désireuses de créer des prototypes. De plus en plus accessible, cette technique sert aussi aujourd’hui à réaliser des produits finis, qui représentent actuellement 20% des impressions 3D et atteindront 50% d’ici 2020, d’après The Economist. Désormais, cette innovation gagne le grand public. "Tout le monde veut des produits personnalisés" Pour fabriquer l’objet dont le modèle 3D est chargé dans l’ordinateur relié à l’imprimante, celle-ci dépose une poudre de polyamide en très fines couches successives solidifiées par laser suivant la forme de l’objet désiré. Pour Clément Moreau, directeur général de Sculpteo, l’impression 3D va se développer car "les technologies d’impression 3D ont beaucoup évolué et font de beaux objets, qui ne se cassent pas, la 3D virtuelle devient plus familière, et tout le monde veut des produits personnalisés."

Des armes à feu en impression 3D Cody Wilson, un étudiant américain a imprimé des armes à feu en 3D. L’impression en 3D inspire de nombreux créateurs et inventeurs. Mais cette fois-ci, c’est un étudiant texan en droit, qui a eu l’idée d’imprimer des armes à feu en 3D. Et notre jeune homme de 25 ans approche de plus en plus de son objectif. Il y a quelques mois, il a créé l’association Defense Distributed, dont l’objectif est de développer et distribuer des designs 3D et open source de composants d’armes à feu. Outre cela, il se trouve que les Etats-Unis viennent aussi de lui accorder une licence officielle de fabricant d’armes, une licence de type 7, ce qui lui permet ainsi de fabriquer et de vendre des armes à feu et des munitions. Ainsi, Cody Wilson est dans toute la légalité. Certes, on peut retrouver des imprimantes 3D utilisant du métal, mais uniquement chez des prestataires spécialisés qui n’ont pas le droit d’imprimer des pièces d’armes à feu. Imprimer des armes – Open Source Site de Defcad

Matin Première : les imprimantes 3D vont-elles changer le monde ? - RTBF Matin premiere Les imprimantes 3D vont-elles changer le monde ? Certains parlent d’une véritable révolution industrielle. D’autres nuancent. La technologie n’est pas neuve mais elle se démocratise. Copier des objets simples en trois dimensions devient à la portée de la plupart des particuliers. Des pièces très complexes - comme des implants, des outils chirurgicaux ou des armes - sont dupliqués par de plus en plus d’entreprises. Deux invités pour en parler : Thierry Dormal, du centre de recherche Sirris, qui exploite une quinzaine d’imprimantes à Liège et Charleroi. Bouchaib Samawi, directeur de Droit et devoir, une entreprise de formation par le travail à Mons qui croit au potentiel de l’impression 3D, notamment en matière de création d’emploi en Belgique.

L’espoir par la technologie : un homme retrouve son visage grâce à l’impression 3D L’impression 3D ne sert pas qu’à créer des figurines ou des armes à feu. Cette technologie sert aussi le domaine médical, comme le montre cette histoire touchante d’une victime du cancer qui a retrouvé son visage grâce à celle-ci. La vie d’Eric Moger a changé depuis l’intervention qui lui a recréé une partie de son visage. Quand les chirurgiens ont enlevé la tumeur de la tête de Eric Moger, une grande partie de son visage a été perdue. Il a perdu un œil, une grande partie de sa joue, de sa mâchoire et de son crâne. Une situation très difficile à vivre puisque l’opération a laissé un trou de la taille d’une balle de tennis dans la tête de cet homme. Un nouvel exemple d’impression 3D qui montre tout le potentiel de cette technique pour le domaine médical. Recréer des organes ou des parties de notre anatomie pour soigner des blessés, voilà une raison de plus pour aimer l’imprimerie 3D.

L'impression 3D, ce sera formidable... s'ils ne foutent pas tout en l'air ! L’impression 3D est en train de naître sous nos yeux. Demain il sera ainsi possible de reproduire toute sorte d’objets chez nous aussi facilement, ou presque, qu’un texte numérique se couche sur le papier à l’aide de notre bonne vieille imprimante 2D. Les conséquences potentielles de la démocratisation d’un tel outil donnent le vertige et suscitent espoir et enthousiasme parmi les makers du monde entier[1] Pour rappel, l’impression 3D est une technique qui permet de produire un objet réel à partir d’un fichier CAO en le découpant en tranches puis en déposant ou solidifiant de la matière (plastique, cire, métal…) couche par couche pour, en fin de compte, obtenir la pièce terminée. Si le concept et la technologie vous semblent encore un peu obscurs, je vous invite à regarder cette courte vidéo. Pour le moment on se déplace donc chez ceux qui disposent d’une telle imprimante, imprimante encore rudimentaires dans ses possibilités. On ne s’en étonnera pas. Introduction L’impression 3D

3D-printed canal home takes shape in Amsterdam 15 April 2013Last updated at 19:06 ET By Colin Grant Click, BBC World Service The architects intend to use the house as an education centre to help promote 3D printing It sounds like the ultimate do-it-yourself project: the print-your-own-home. In place of bricks and mortar and the need for a construction crew, a customisable building plan which transforms itself from computer screen graphics into a real-world abode thanks to the latest in 3D printing technology. That dream is still beyond our reach, but several teams of architects across the globe are engaged in efforts to take a major step towards it by creating the world's first 3D-printed homes. Amsterdam-based Dus Architects is one of the firms involved - it plans to print a canal house in the Dutch capital. It's worth taking a moment to reflect on that premise; the machine will not modestly 3D-print the usual cup, curtain ring or piece of jewellery, but an actual building. The young architects were visibly excited.

Glamour geek : créez vos sex-toys depuis chez vous avec une imprimante 3D Les usages des imprimantes 3D commencent à se développer et les objets se diversifient à mesure que les imprimantes deviennent abordables. Aller dans un sex-shop ou commander un sex-toy sur Internet se faisait en cachette, désormais il vous suffira d’une imprimante 3D pour vous faire plaisir sans complexe à la maison :) C’est en partant de ce constat que les gens n’osaient pas franchir les portes des sexshops que des entreprises tels que Makerlove se sont lancées dans ce marché en proposant des modèles 3D à imprimer chez soi. Les sites pour trouver des modèles 3D sont légions, mais trop réticents pour intégrer une catégorie recensant ces sex-toys, il n’en fallait pas moins pour que d’autres sites s’ouvrent et proposent ces modèles bannis, voilà le début de l’histoire de la société Makerlove… Que tous les fétichistes se réjouissent !

Harvard kids use 3D printing to help the blind ‘see’ paintings For the visually impaired, the basic problem with art is that they can’t see it. But with a project called “Midas Touch” a group of Harvard kids say they have a fix: Use 3D printing to help the blind “see” what they cannot actually see. “We want to bridge the gap between the visually impaired and the visual world of art,” Constantine Tarabanis, one of the brains behind the project, told me. Basically, what Midas Touch does is take a flat image — say, of “Starry Night” — and use 3D printing to add layers of texture to it, creating an image that’s half painting, half relief sculpture. Essentially, Midas Touch takes the visual nature of art and translates it to a physical world that the visually impaired can understand. In theory, anyway. Above: Midas Touch says its work is like “painting in 2.5 dimensions” Image Credit: Wikimedia Commons The experience isn’t new to Tarabanis, who also had trouble describing the idea of 3D printing to his visually impaired friend, George.

Kamermaker, l’imprimante 3D géante et mobile L’impression 3D est en plein boom. Bien que cette technologie ne soit pas encore totalement intégrée à notre façon de vivre, des tas de projets l’utilisant voient le jour. Kamermaker représente ce que pourrait être l’impression mais aussi l’architecture de demain. Kamermaker, qui signifie en néerlandais « constructeur de pièces« , est un container qui peut imprimer des objets, voir des pièces, aussi grandes que lui (2x2x3,5m) et tout cela de façon mobile. Comment trouvez-vous cette technologie ? Guns want to be free: what happens when 3D printing and crypto-anarchy collide? 15inShare Jump To Close Cyberculture icon Stewart Brand’s famous notion that “information wants to be free” has been an almost ubiquitous refrain ever since utopian-minded hackers began populating computer networks in the 1980s. Today, 3D printing has given the phrase a whole new meaning, allowing raw data to become real world weapons with the click of a button. Cody R. Having recently obtained his federal manufacturing license, Wilson hopes to release files for the world’s first fully 3D-printable firearm by the end of this month. "It's more radical for us,” he told Motherboard in “Click Print Gun,” a recent mini-doc about the dark side of the 3D printing revolution. If this all sounds very similar to the good gospel spread by Brand and advanced by progressives and activists like the late Aaron Swartz, you’re hearing it right. From my cold, dead hard drive Wilson identifies as a crypto-anarchist, openly citing Tim May's 1988 manifesto of the same name. Wilson seemed to agree. Eric Raymond

Impression 3D internet NASA experimenting with 3D printing for space exploration | Cutting Edge NASA is getting into the 3D printing business. At NASA's Ames Research Center, engineers and researchers are experimenting with the technology with the hope that one day their creations will be used in space exploration. "Space Shop is our attempt to take the best practices and lessons learned from what we call the maker community," said Dave Korsmeyer, the director of engineering at NASA Ames. The program is still in its nascent stages. But NASA sees potential in the technology because it enables designers and engineers to get the manufacturing information early in the design process and can add value early on. The tools and process at NASA in many ways mirror any TechShop workshops you might see around the nation. CNET recently visited NASA Ames to get an inside look.

Related: