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Www.cterrier.com/cours/communication/3_concept_de_soi.pdf

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Exercices pour gagner de l’estime de soi | Stop Timidité Au détours de mes vagabondages sur le net, je suis tombé sur un article très intéressant de SebOise (fameux “doctinaute de diamant”), dont vous trouverez l’original nommé “Astuces pour gagner de l’estime de soi” ici. SebOise, que je remercie chaleureusement pour me permettre de diffuser son article sur Stop Timidite, décrit des choses tellement justes que j’en avais oublié de vous en parler précédemment… Une grosse erreur mais la voici réparée… “Voila j’ai eu l’idée de créer ce topic car j’ai vu quelque chose de très intéressant il n’y pas longtemps et je voulais faire part de ses astuces simples, des petits défis au quotidien à réaliser. Alors déjà : Dès le réveil chez soi : Faire un exercice simple 5 mn de jogging, quelques tours de vélo, 5 pompes ou 5 abdos encore ou bien même plus simplement des mouvements des bras et des flexions des jambes chez soi en respirant bien. Si possible les faire dehors, le mieux quand il fait soleil c’est bon pour le moral et pour son estime de soi.

La théorie de la dissonance cognitive une théorie âgée d’un demi-siècle Selon la théorie de la dissonance cognitive, lorsque les circonstances amènent une personne à agir en désaccord avec ses croyances, cette personne éprouvera un état de tension inconfortable appelé dissonance, qui, par la suite, tendra à être réduit, par exemple par une modifi cation de ses croyances dans le sens de l’acte. Notre article se propose de présenter cette théorie dans ses grandes lignes. Dans les expériences sur la dissonance, on amène par exemple le sujet à donner des arguments en faveur de la peine de mort alors qu’il est contre (il réalise donc un acte dit « problématique »). La réalisation de cet acte l’amène à ressentir un état d’inconfort. Aussi étonnant que cela puisse paraître, lorsque nous sommes amenés à agir contrairement à nos convictions, nous avons ainsi tendance à justifier nos actions et à adapter nos opinions à nos comportements. Genèse de la théorie Léon Festinger. Un séisme en Inde. 1. Au coeur de la théorie L’engagement.

3 exercices pour développer une confiance en soi durable et bénéfique Chacun de nous peut manquer parfois de confiance. On n’ose pas dire non, encore moins se lancer dans un nouveau projet ou prendre de nouvelles responsabilités… Bref, cela nous empoisonne la vie. Voici 3 exercices simples qui vous permettront d’entretenir (ou de réveiller) votre confiance en vous ! L’exercice de vos réussites Ouvrez une liste (feuille de papier ou Word, carnet dédié ou note sur votre téléphone portable…) sur laquelle vous noterez toutes les réussites de votre vie : - réussite à un examen : rappelez-vous le moment où vous avez découvert votre nom sur la liste,- gain d’un marché important : souvenez-vous comment vous l’avez fêté,- victoire dans une compétition sportive : remémorez-vous le moment où le match a basculé en votre faveur,- obtention d’une promotion professionnelle : qu’éprouvez-vous à ce souvenir ? Faites revivre ces réussites en vous rappelant comment celles-ci sont arrivées et ce que vous avez ressenti. L’exercice de vos joies intérieures

Les genres d'émotions C. Les émotions simples On peut diviser les émotions en deux grandes classes, les positives et les négatives. Les positives rendent compte de la satisfaction, les négatives, de l'insatisfaction. 1- L'émotion: indicateur de satisfaction ou d'insatisfaction L'organisme vivant est toujours dans un équilibre instable. Se maintenir en vie, pour l'humain et pour les animaux, cela veut dire répondre à leurs besoins de maintien et de croissance au plan physique, mais aussi, au plan psychique. Au plan psychique, les besoins sont évidents. Nos sentiments nous informent de manière très précise de notre équilibre au plan psychique et cela, de façon continue. Les émotions ont comme fonction de rendre compte de notre degré de satisfaction. Pour marquer l'insatisfaction il y a aussi une longue série d'émotions qui vont du simple mécontentement jusqu'à la rage et la douleur. 2- Les émotions par rapport au besoin lui-même Il y a des émotions qui témoignent directement du besoin.

Coaching, entretiens, prise de parole en public, tais-toi quand tu parles ! Souvenez vous : Le repas de famille, l’hôte de maison sert son plat soigneusement préparé, les convives commencent à goûter, et là, le silence s’installe. Jusqu’au moment où l’un des invités fait remarquer : « Ah… Un ange passe ». La remarque brise le silence, les discussions repartent. Eh oui, le silence est gênant. Pourtant, en situations professionnelles, il peut être d’une redoutable utilité. Selon vous, au bout de combien de temps le silence est dérangeant ? Réfléchissez bien… Encore un peu… Un peu plus encore… Désagréable cet espace vide n’est-ce pas ? La réponse : 3 secondes. Vous ne me croyez pas ! Vous verrez qu’il vous faudra plusieurs essais pour obtenir les 3 secondes de silence, et qu’entre 3 et 5 secondes, un participant reprendra la main, fera un commentaire, un rire, tomber une règle… Alors comment mettre à profit cette règle des 3 secondes, comment l’interpréter ? En dessous de 3 secondes : Il en va de même dans les situations d’accompagnement individuel. L’intérêt pour vous

Marshall Rosenberget CNV Sommaire La CNV Marshall Rosenberg a été publié tard en France, près de 40 ans après avoir développé aux Etats-Unis le processus de communication non-violente. Dans Les mots sont des fenêtres ou bien ils sont des murs (Syros), ce docteur en psychologie clinique, ancien élève de Carl Rogers et fondateur du Center for Nonviolent Communication, exposait les principes de la « résolution pacifique des conflits » qu’il a enseignés dans une trentaine de pays avant de s'éteindre le 7 février 2015. Sa théorie : « Les jugements que nous portons sur les autres sont l’expression tragique de nos besoins non satisfaits. » C’est en prenant le temps de les écouter et de les formuler que notre interlocuteur pourra identifier le message et y répondre à son tour. L'entretien Psychologies : Qu’est-ce que la communication non violente ? Marshall Rosenberg : Ce processus permet à chacun d’entrer en contact avec ses besoins profonds pour mieux communiquer, en laissant libre cours à sa bienveillance naturelle.

Le Dauphin, Intelligence Emotionnelle - Les émotions L'émotion est au coeur de la vie, elle est la vie. Elle est, elle existe indépendemment du fait qu'on en ait conscience ou non, qu'on la ressente ou qu'on la détourne. En effet nos problèmes de coexistence avec nos émotions ne viennent pas de nos émotions mais de la manière dont nous les vivons. En effet, depuis toujours, nous avons surtout appris à ne pas les ressentir, à tout juste les tolérer dans certains cas et à se faire rattraper par elles lors d'une bonne explosion. L'émotion est à la fois une REPONSE PHYSIOLOGIQUE de notre organisme face à une situation qui demande de s'adaper et un système d'information qui nous parle D'UN OU DE PLUSIEURS BESOINS QUI NE SONT PAS REMPLIS. L'émotion est à la fois une énergie à disposition pour faire face et un messager ultra sophistiqué qui nous parle de nous, de nos manques, de comment nous vivons une situation. A ce point , nous nous retrouvons démunis puisque nous avons pendant des années appris le contraire.

Identité et altérité : du soi-niant au soignant. "L'Autre, cet étranger" : cours d'éthique médicale que je donne dans le cadre de l'Institut de Formation en Soins Infirmiers de Versailles QUI SUIS-JE ? Si par identité on entend le caractère de ce qui est identique (idem : la même chose), seuls les gens similaires ont une identité. L’un... d’eux ! Se trouver : s’assimiler Se donner un genre, c’est se donner une existence. L’indivi-dualisme Penser à son intérêt particulier, est-ce le privilégier en dépit de l’intérêt général ? La société ne passe pas après l’individu : chronologiquement, elle passe même avant. C’est ainsi qu’en pleine fusion avec l’entourage, beaucoup d’individus s’identifient à l’identité d’un groupe : y appartenir, c’est exister par lui. Après tout qu’est-ce qu’une personne, sinon un ensemble de facettes différentes qui toutes réunies constituent la personnalité ? La conscience de soi Quand sait on qu’on est “quelqu’un” ? Liberté : qui tient le poignard de l’assassin ?

Connaissance de soi: les messages contraignants Sylvaine Pascual – Publié dans: Connaissance de soi Message contraignant: “sois belle et tais-toi”! Les messages contraignants Hérités de notre éducation, ils sont issus des expressions et injonctions que nous avons entendus fréquemment dans notre enfance, et qui étaient la condition sine qua non de l’obtention de la reconnaissance de nos parents, ou du moins des personnes qui nous ont élevés, et/ou qui ont participé à notre éducation, comme nos professeurs, par exemple. Un double effet pervers Ils régissent nos comportements bien malgré nous et parfois aux dépends de ce qui est bon pour nous. Nous voilà donc en route vers tout un tas de conséquences réjouissantes: frustrations, malentendus et incompréhensions, insatisfactions, dégoût, jugement, dévalorisation, pression subie ou exercée etc.Les messages contraignants sont donc à la fois cause et conséquence du stress. Cependant, rappelons-nous que nous avons les qualités de nos défauts: à chaque driver correspond des aptitudes spécifiques.

La théorie des représentations sociales La représentation sociale [2] est un mode spécifique de connaissance. Dans un groupe social donné, la représentation d’un objet correspond à un ensemble d’informations, d’opinions, et de croyances relatives à cet objet. La représentation va fournir des notions prêtes à l’emploi, et un système de relations entre ces notions permettant aussi, l’interprétation, l’explication, et la prédiction. Travailler sur une représentation, c’est : « observer comment cet ensemble de valeurs, de normes sociales, et de modèles culturels, est pensé et vécu par des individus de notre société ; étudier comment s’élabore, se structure logiquement, et psychologiquement, l’image de ces objets sociaux ». Qu’est que la représentation sociale ? C’est à un sociologue Français que l’on doit l’invention du concept de représentation : Durkeim (1898). C’est à Moscovici (1961), que l’on doit reprise et renouveau des acquis Durkeimiens. Les constituants de la représentation sociale La théorie du noyau central

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