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JES9_orientation_BD.pdf (Objet application/pdf)

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Une mauvaise orientation favorise le décrochage scolaire, selon l'AFEV PARIS (Sipa) — Il faut mettre fin au décrochage scolaire, une "hémorragie scolaire" qui touche chaque année près de 150.000 jeunes, selon l'Association de la fondation étudiante pour la ville (AFEV). A l'occasion de sa cinquième journée de refus de l'échec scolaire, l'association dévoile mercredi une étude sur les jeunes qui quittent prématurément l'école et pointe notamment les problèmes d'orientation. L'étude AFEV/Trajectoires-Reflex a été menée grâce aux réponses apportées par 186 "jeunes décrocheurs" engagés dans un processus de "raccrochage", entre les mois d'avril et de juin 2012. D'après l'étude, la période la plus propice aux situations de décrochage se situe entre 15 et 17 ans, en classe de troisième ou de seconde. Des débats et des rencontres sont prévus dans plusieurs villes de France pour cette journée de refus de l'échec scolaire. Sur Internet: www.refusechecscolaire.org

Le service public de l’orientation réformé a minima Les structures chargées de l’orientation professionnelle seront regroupées par territoires au sein de pôles labellisés “Orientation pour tous”, a annoncé Nadine Morano le 19 avril. Mais elles ne seront pas forcément localisées en un lieu unique. La mise en place d’un nouveau service public de l’orientation, prévue dans la loi du 24 novembre 2009, va connaître un pas décisif. “Cela tient à l’interprétation de l’expression « lieu unique » qu’il y a dans la loi, explique Jean-Robert Pitte, délégué à l’information et à l’orientation auprès du Premier ministre, en charge de la mise en place de la réforme. Mise en place cet été Ainsi, la galaxie des 8 500 points d’accueil sur l’orientation et la formation qui existent dans l’Hexagone est incitée à collaborer. Tous devront passer une convention entre eux et la soumettre au préfet. Absence de budget C’est l’idéal, selon Jean-Robert Pitte, “pour rendre visible le thème de l’orientation”. Site Internet Maxime Gayraud

Notation et orientation se tiennent la main L’appel de l’AFEV à la suppression des notes à l’école primaire a déclenché de nombreuses réactions que l’on peut trouver sur le net et dans la presse. Pour exemple : Philippe Mérieux , Michel Lussault , Nathalie Mons . Pour la plupart, ces réactions se sont centrées me semble-t-il essentiellement sur la dimension pédagogique ( de même que l’appel). Je proposerais donc une autre contextualisation de la notion : comment et pourquoi l’évaluation à la française (la notation) et l’orientation de l’élève dépendent l’une de l’autre en France ? J’ouvre ici une série de posts pour tenter d’éclairer ces relations dangereuses, qui si elles ne sont pas travaillées, remettront en question toute tentative de réforme de notre système scolaire. Traduisons tout d’abord ces deux mots Petite histoire de cette liaison La liaison notation-décision de passage est très ancienne. On voit que la décision finale est déjà collégiale pour les élèves dont le cas pose problème.

Pas de chômage pour les diplômés des grandes écoles Malgré un contexte morose, l’insertion des diplômés de grandes écoles est bonne en 2012 et même meilleure qu’en 2011. Le taux d’emploi et les salaires sont en hausse, idem pour les CDI. La Conférence des grandes écoles a, ce matin, déroulé ses chiffres pour la promotion 2011. Elle a aussi donné les clés de ce paradoxe. C’est connu : la crise frappe en premier les jeunes. Il n’y a qu’à regarder en Espagne, ou même tout simplement en France. Plus de CDI et salaires en hausse Encore mieux, le luxe du luxe, ces diplômés ne sont pas seulement plus nombreux à accéder à un premier emploi, ils s’insèrent aussi mieux. Un diplôme et une formation longue Mais comment font-ils ? Des étudiants qui s’adaptent et un réseau Ensuite, il y a aussi le réseau qu’offre l’école, une aide précieuse. Les femmes moins bien loties Pour la CGE, cela est moins un signe de la misogynie des entreprises qu’une question de choix individuels. Lucile Chevalier

Le décrochage, une ''hémorragie scolaire'' Il faut mettre fin au décrochage scolaire, une "hémorragie scolaire" qui touche chaque année près de 150.000 jeunes, selon l'Association de la fondation étudiante pour la ville (AFEV). A l'occasion de sa cinquième journée de refus de l'échec scolaire, l'association dévoile aujourd'hui une étude sur les jeunes qui quittent prématurément l'école et pointe notamment les problèmes d'orientation. L'étude AFEV/Trajectoires-Reflex a été menée grâce aux réponses apportées par 186 "jeunes décrocheurs" engagés dans un processus de "raccrochage", entre les mois d'avril et de juin 2012. D'après l'étude, la période la plus propice aux situations de décrochage se situe entre 15 et 17 ans, en classe de troisième ou de seconde. Jeudi dernier, Vincent Peillon, le ministre de l'Education nationale, a dénoncé une "orientation subie et non choisie" et réaffirmé son ambition de diviser par deux le nombre de "décrocheurs" du système scolaire, un objectif déjà fixé par le président François Hollande.

La déferlante de la labellisation dans le domaine de la formation et de l'orientation tout au long de la vie Accueil déferlante labellisation dans domaine formation l'orientation tout long ... L'actualité de l'ARFTLV Publiée le Pour Jean-Marie Luttringer, la labellisation dans le domaine de la formation et l’orientation professionnelle ne doit pas faire perdre de vue le respect des principes de concurrence, de transparence et de non-discrimination entre labellisateurs, financeurs et prestataires.Dans une chronique réalisée avec Jean-Pierre Willems, à l’occasion d’un colloque sur le thème « Labellisation et démarches qualité des prestataires de formation et d’orientation : enjeux et questions juridiques », il remarque que, depuis un certain temps, « on assiste à une vraie déferlante de la labellisation dans le domaine de l’emploi ainsi que dans l’orientation et la formation tout au long de la vie ».

De l’eao au pdmf, obstacles et difficultés (II) Deuxième partie de l’examen de certains obstacles et ambiguïtés du pdmf que j’ai commencé d’explorer dans le post précédent qui poursuit l’explicitation de mon intervention à Angers. Les obstacles idéologiques Après avoir présentés les obstacles dus aux rôles professionnels, j’en aborde deux autres. La coopération J’ai déjà abordé d’une certaine manière cet obstacle dans le post précédent. Ici, je vais le prendre du côté de l’organisation du travail. Monica Gather Thurler dans son livre « Innover au cœur de l’établissement scolaire », 2000 ESF éditeur a proposé une métaphore pour décrire le fonctionnement de l’établissement scolaire : La boîte d’oeufs Le pdmf étant une activité à mener par tous, elle nécessite une collaboration entre les acteurs. La classe, le cours, la discipline, isolent et protègent. Robet Ballion dans son livre, « Le Lycée, une cité à construire », Paris, Hachette-Éducation, 1994, utilisait la notion de pyramide plate. Le partenariat L’ambiguïté fondamentale Bernard Desclaux

Taux d'insertion professionnelle des diplômés 2009 de l'université Les résultats présentés sont issus de la quatrième enquête nationale sur l’insertion professionnelle des diplômés de l’université réalisée entre décembre 2012 et avril 2013. Celle-ci a porté sur les diplômés 2010 de D.U.T., de licence professionnelle et de master. Elle a pour objet d’évaluer la situation professionnelle, 30 mois après l’obtention du diplôme, des diplômés français issus de la formation initiale, entrés immédiatement et durablement sur le marché de l’emploi après l’obtention de leur diplôme, représentant respectivement 12%, 57% et 39% de l’ensemble des diplômés de chacun de ces diplômes. Cette évaluation est faite au travers de six indicateurs : le taux d’insertion, la part d’emplois de niveau cadre ou profession intermédiaire, la part d’emplois stables, la part d’emplois à temps plein, le salaire net mensuel médian des emplois à temps plein et un salaire brut annuel estimé à partir du salaire net médian.

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