background preloader

Schéma Heuristique, Carte Mentale, Topogramme et Mind Map

Schéma Heuristique, Carte Mentale, Topogramme et Mind Map
Format: Article court Auteure: Nicole Cournoyer Date: Juillet 2005 Le schéma heuristique, vision globale et synthétique Synonymes français: Schéma heuristique ou Schéma euristique, Constellation d'idées, Carte Heuristique ou Carte Euristique, Carte mentale Autres concepts à explorer: Carte Cognitive, Carte Conceptuelle, Carte Sémantique, Topogramme [1], Pensée irradiante, Pensée Rayonnante, Pensée arborescente. Synonymes anglais: Mind Map, Mindscape, MindCluster, MindChart, FlowChart, Learning Map, Mind Mapping, Mindmapping. Logiciels MindManager, FreeMind, NovaMind, Inspiration. Au début des années 70, l'anglais Tony Buzan, à la suite de ses recherches sur l'apprentissage et le cerveau humain, a donné naissance à une méthode d'organisation des idées, sous forme de dessin ou d'arborescence, d'où découle son concept de MindMap. Mind Mapping: Une application à la conception du site Web Créativité.net Carte mentale réalisée aux crayons feutres pour explorer la thématique CRÉATIVITÉ Livres Vidéo 1. Related:  khrisstie

Sociologie des organisations Sans nier la nécessité d'une unité, force est de reconnaître que les choses ne se passent pas d'une manière aussi harmonieuse, La vie quotidienne de toute organisation est constituée de conflits de pouvoir. Ceux-ci ne sont pas liés seulement à des ambitions personnelles, et, par principe, l'analyse stratégique s'interdit de porter des jugements moraux. On constate que des individus et des groupes, différents de par leur formation et leur fonction, ont des objectifs qui ne coïncident jamais exactement. Chacun a sa vision des moyens nécessaires pour assurer le fonctionnement de l'ensemble. Cette vision différente entraîne des stratégies pas toujours concordantes. On illustre facilement ce fait par le constat suivant. 1-. Ces exemples vont nous permettre de donner du pouvoir une première définition très générale : le pouvoir est la capacité pour certains individus ou groupes d'agir sur d'autres individus ou groupes. 2-. 3-. La troisième source de pouvoir est proche de cette dernière.

Ennéagramme + sociocratie Réponse 1 Réponse 2Votre profil dominant : Aidant Profil Pour vous, tout va bien lorsque les autres vont bien. Points forts et limites L’ennéagramme considère les limites de la personnalité comme des sources d’enseignement – et non comme des défauts ! Qualité principale : l’amour.Motivation principale : être reconnu pour votre capacité à vous occuper des autres.Tendance positive : l’humilité. Interrogez-vous => Quelle difficulté se présente le plus souvent dans ma vie quotidienne ? Vous et les autres En fonction de ses points forts, de ses limites, de son éducation, chaque profil installe, au cours de sa vie, un certain type de relation aux autres. Vos principes relationnels : vous vous sentez apprécié lorsque vous vous occupez des autres, vous faites d’ailleurs beaucoup pour être au centre des relations. Réponse 3Votre profil dominant : Battant Le travail et l’action sont les moteurs de votre vie. Vos principes relationnels : vous investissez beaucoup pour être accepté par les autres.

Apprendre- l’importance de l’estime de soi (Partie 2) (Voir la première partie du dossier) ;;;;;• Quelques comportements à adopter > Dites-lui ce que vous appréciez chez lui. Proposez à votre enfant (lors d'une situation particulière : anniversaire, ou lors d'une passe difficile qu'il traverse) que vous, votre conjoint ou d'autres personnes de la famille, disent ou écrivent ce qu'ils apprécient chez lui. Il constatera ainsi que ses parents (et d'autres personnes autour de lui) remarquent, apprécient et respectent chez lui des tas de choses dont lui-même ne s'était pas rendu compte. > Demandez-lui de vous apprendre des choses dans les domaines qui l'intéressent. > Donnez-lui des « signes de reconnaissance » clairs et constructifs. > Aidez-le à faire des listes de choses positives. ;;;;;• Les 3 listes 1. 2. 3.

Des techniques pour apprendre à apprendre: Des méthodes pour développer ses capacités d'apprentissage S'investir dans un processus d’acquisition de savoirs n'est pas toujours aisé. Parfois, selon son histoire personnelle, il peut persister des blocages à l'apprentissage (échecs scolaires par exemple). Optimiser ses études nécessite une forte motivation à apprendre, de développer des capacités d’appropriation de connaissances, de méthode et d’organisation. De toute manière, s'engager dans un cursus d’enseignement nécessite de se « remettre dans le bain ». Les compétences à développer Tout d’abord, qu’est-ce qu’apprendre ? L’acquisition de connaissances est fortement favorisée si l’apprenant assimile des méthodes et des pratiques, comme par exemple, être capable de : Traiter efficacement l’information, Prendre des notes, Synthétiser, partager et reformuler les acquis, Résoudre des problèmes, S’auto évaluer et estimer sa capacité à réaliser une tâche, Planifier et gérer sa formation, S’auto motiver, Résilience (capacité à surmonter les épreuves). Quelques pistes méthodologiques Notes :

-La pédagogie inversée: de meilleurs résultats ! Mercredi 19 septembre 2012 3 19 /09 /Sep /2012 20:11 Au Calhoun Community College, en Alabama, les étudiants sont responsables de connaître la matière avant d’arriver en classe. Sur place, ils travaillent ensemble sur des projets leur permettant de progresser dans leurs apprentissages, tout en menant des discussions significatives avec l’enseignant. Bienvenue à l’ère de la pédagogie inversée ! Le concept de pédagogie inversée est très populaire ces temps-ci. L’idée a notamment fait du chemin avec la popularité grandissante de la Khan Academy, un espace Web qui fait la promotion de l’apprentissage libre et gratuit pour tous. Dans les dernières années, le Calhoun Community College a vu sa clientèle augmenter de 25 % en raison de l’explosion démographique. La pédagogie inversée s’y est imposée naturellement. « C’est une philosophie et non une méthodologie, note Bobbi Jo Carter, coordonnatrice de l’apprentissage numérique au collège. Elles servent néanmoins une mise en garde.

PEDAGOGIE : L'ART DE DONNER L'ENVIE D'APPRENDRE Socle de Pédagogie, donner l'envie d'apprendre est vraisemblablement un des objectifs les plus difficiles à atteindre en formation. Envie d'apprendre et étymologie du mot "Savoir"... Un peu d'étymologie ne fait jamais mal ... et mon ancienne professeure de latin-grec serait ravie de cette référence de ma part, elle qui m'en a tant voulu d'avoir abandonné les langues mortes en terminale ! Connaissez-vous l'étymologie du mot "Savoir" ? Le mot "savoir" vient du latin SAPERE - "avoir du goût"- "exhaler une odeur" - "sentir par le sens du goût" et, au figuré - avoir du discernement, du jugement, être sage. La Pédagogie, l'Art de donner du goût ? Pour donner l'envie d'apprendre, le pédagogue pourrait être, en quelque sorte, un cuisinier chargé de relever les saveurs et de délivrer les goûts. Thierry Tournebise est un des auteurs qui a illustré cette métaphore : "La pédagogie est l'art de donner le goût, l'art de relever les saveurs. Pourquoi donner l'envie d'apprendre est-il important ?

Savoir réfléchir / Stratégie métacognitives "La métacognition réfère à la connaissance ainsi qu'au contrôle que le sujet a sur lui-même et sur ses stratégies cognitives." Jacques Tardif Tout est dit ! En pratique, il s'agira de faire, puis de se regarder faire, d'avoir un regard, un questionnement rétroactif sur son action, de l'évaluer, de l'expliciter, dans le but de l'améliorer. Les stratégies métacognitives réfèrent : - d'une part aux connaissances sur les stratégies cognitives, et les conditions dans lesquelles elles peuvent être employées et être efficaces (connaissances métacognitives). - d'autre part à la surveillance, le contrôle et l'autorégulation de l'utilisation effective de ces stratégies (habiletés métacognitives). La connaissance de soi est, selon Flavell, une composante aussi importante de la métacognition que la connaissance sur les tâches et stratégies cognitives. La technique de résolution de problème fait appel et favorise la métacognition (voir liens ci-dessous).

Les trois conceptions actuelles de l’autorité Depuis maintenant cinq années [1], le propos sur le concept d’autorité envahit tous les secteurs de la vie sociale. Il produit d’une part des discours politiques et médiatiques présentés comme des relais de l’opinion publique ; d’autre part des discours et des débats contradictoires entre les différentes disciplines des sciences humaines. Ainsi, certains philosophes, sociologues, psychologues, psychanalystes ou encore chercheurs en sciences de l’Education ébauchent une pensée alternative encore peu diffusée. À l’examen de ces différents discours, trois conceptions de l’autorité se dégagent que nous nommons « autorité autoritariste », « autorité évacuée » et « autorité éducative ». Bien que l’on puisse dater approximativement chacune d’elle, ces trois manières de penser l’autorité coexistent actuellement, s’imbriquent même très souvent dans les propos de tel responsable ou acteur social. I - L’autorité autoritariste II - L’autorité évacuée III - L’autorité éducative Bibliographie Imbert (A.

Vers un meilleur apprentissage des adultes dans les formations à la paix I. Conditions requises pour un apprentissage efficace La plupart des participants débutent la formation à la paix avec certaines craintes et avec leurs limites personnelles. II. « Lorsque je dirige une formation, j’essaie de construire un groupe très solide et un espace sûr dans lequel les personnes peuvent partager leur expérience. III. Beaucoup de formateurs considèrent le partage, par les participants, de leurs expériences comme un élément déterminant de la formation à la paix. Tout d’abord, l’expérience personnelle des participants – par exemple, l’expérience des relations, des conflits, de la communication et de la prise de décisions ;Ensuite, l’expérience professionnelle des participants ;Enfin, leur « expérience de formation », ou celle acquise au cours de la formation elle-même. En général, si la formation est fondée sur des expériences personnelles, les résultats de l’apprentissage sont meilleurs et la motivation des participants plus grande. IV. V. VI. VII.

Jeux sérieux gratuits Aidez le Père Noël à recueillir ses cadeaux: Proposé par le Laboratoire de Soutien à l'Enseignement Télématique (LabSET) de l'Université de Liège, il s'agit d'un bon moyen, très ludique, d'apprendre aux jeunes enfants le déplacement du curseur de la souris (motricité). suiteHistoire de poissons: Histoire de poissons nous met dans la peau d'un poisson qui doit manger de plus petits pour grandir et éviter de se faire manger par les plus gros. Ici, on stimule la motricité des enfants de façon amusante. suiteLa maison de Loupy: Au coeur d'une maison virtuelle, un chien nommé Loupy fait des siennes. L'enfant sera confronté à des choix de comportements qu'il devra adapter face aux agissements de l'animal. Un bon moyen de leur faire comprendre les attitudes à adopter avec un chien. suiteEkoloko. (en anglais) Plus de 500 activités pour se familiariser avec la protection de la nature et le développement durable !

Le mérite, une valeur pervertie ?, par Angélique Del Rey Dans 1984, George Orwell analysait le « double langage » de cette société du futur dont notre présent est devenu si proche. Nombreuses sont aujourd’hui les valeurs dominantes qui devraient être étudiées à la lumière de cette novlangue qui ne nomme que pour semer la confusion. Le concept de « mérite », récemment revivifié, illustre ce brouillage. Deux ouvrages philosophiques permettent d’en déchiffrer les enjeux. Fondement de l’égalité républicaine en ce qu’il a permis le passage d’une distinction sociale liée au sang à une autre liée à la mesure des capacités, le mérite est aujourd’hui utilisé, selon Yves Michaud et Dominique Girardot, comme une machine à justifier toutes les inégalités, y compris les moins justifiables : seraient mérités le cancer pour qui n’a pas participé au dépistage et le chômage pour qui n’a pas « tout » fait afin de rester dans la course. Taille de l’article complet : 725 mots. Vous êtes abonné(e) ? Connectez-vous pour accéder en ligne aux articles du journal.

Pourquoi veulent-ils casser l’école ?, par Christian Laval En septembre 2007, à peine élu président de la République, M. Nicolas Sarkozy avait exprimé dans une « Lettre aux éducateurs » son souhait d’une école avec « moins de professeurs ». Et, pour une fois, la promesse a été tenue, avec la suppression de seize mille postes d’enseignant en 2011 et 2012, ce qui devrait conduire à la destruction de quatre-vingt mille postes en cinq ans dans l’enseignement primaire et secondaire. Cette véritable saignée suscite colère et inquiétude chez les enseignants, mais aussi chez les parents d’élèves et, désormais, chez les maires, y compris ceux de l’Union pour un mouvement populaire (UMP). Même l’enseignement privé, pourtant moins touché en proportion par ces coupes dans les effectifs, se met à donner de la voix. Taille de l’article complet : 1 863 mots. Vous êtes abonné(e) ? Connectez-vous pour accéder en ligne aux articles du journal. Vous n'êtes pas abonné(e) ? Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout le site.

Related: