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Décroissance (économie)

Décroissance (économie)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le mot décroissance désigne en français deux choses : Pour les « objecteurs de croissance », également appelés « décroissants » dans la presse, une réduction contrôlée de l'activité économique est la seule alternative à un krach mondial aux conséquences imprévisibles. Selon eux, les réalités physiques rendent impossible un développement économique infini : les taux de production et de consommation ne peuvent pas être durablement accrus ni même maintenus, étant donné que la création de richesses mesurée par les indicateurs économiques comme le PIB repose sur l'exploitation et la destruction d'un capital naturel épuisable. Les « objecteurs de croissance » prônent donc sur le plan individuel la démarche dite de simplicité volontaire et, sur le plan global, une relocalisation des activités économiques afin de réduire l'empreinte écologique et les dépenses énergétiques.

Crash Course Chapitre 1: Trois Croyances Il est très important de distinguer les faits, les opinions et les croyances. J’essayerai de mon mieux d’être très clair quand je présente des faits, énonce une opinion ou communique mes croyances. Je tiens dès à présent à éclairer ce sujet. J’ai trois croyances, que je vais partager avec vous et ensuite je passerai le reste du temps à vous montrer comment je suis arrivé à ces croyances. En premier je crois que les vingt prochaines années seront complètement différentes des vingt dernières années. Ensuite je crois qu’il est possible – possible – que le rythme et/ou la portée du changement pourraient entraver la capacité d’adaptation de nos principales institutions sociales et d’assistance. Ma troisième croyance est que nous ne manquons d’aucune technologie ou de connaissance nécessaire pour construire nous-mêmes un avenir meilleur. Suivez moi au Chapitre 2: Les Trois “E”s.

decroissance.info Antipub Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Absence de pub à Toulouse. Le terme « antipub » ou « mouvement antipub », raccourci pour antipublicitaire, est devenu une appellation médiatisée en France après des actions spectaculaires à l'encontre de l'affichage publicitaire dans le métro parisien en automne 2003. Cependant, le mouvement antipublicitaire et les actions de contestation de la publicité ont émergé bien avant et dans le monde entier : dès 1977, en Californie, avec le Billboard Liberation Front[1], qui essaime jusqu'en Australie, (1983) ; en 1987, en France, avec les Humains associés et leurs campagnes d'affichage de contre-publicité humaniste, et en 1989 au Canada via le magazine Adbusters, qui promeut également des campagnes et actions antipub. De grandes associations de défense de la nature et du patrimoine, ainsi que des parcs nationaux ou des parcs naturels régionaux ont également lutté contre l'envahissement du paysage par les panneaux publicitaires. Emballage Dégradation

Institut d'Etudes Economiques et Sociales pour la Décroissance Soutenable « Nous vivons plus qu'une convergence de crises, l'effondrement est déjà là » - Capitalisme Photo : Agnès Rousseaux / Basta ! Basta ! : La succession des crises – financière, sociale, écologique... – n’entraîne toujours pas de changements radicaux au sein du système capitaliste. L’effondrement est déjà là. Nous nous acharnons à repousser toute limite. Si on fait l’hypothèse que le capital technique peut se substituer indéfiniment au capital naturel, il n’existe effectivement aucune limite. Les théories économiques oublient la nature. Ne risque-t-on pas de s’enfermer dans une gestion économique de la crise écologique, avec, par exemple, le « marché des droits à polluer » ou le principe pollueur-payeur ? Donner un prix à des pollutions traduit une prise de conscience. Quant au principe pollueur-payeur, je souhaite que BP paye pour tous les dégâts occasionnés aux États-Unis. Le temps du « monde fini » est aussi, selon vous, celui de la « perte d’un monde commun »... La gestion de la rareté se fait par l’augmentation de la concurrence, qui est de plus en plus féroce.

Journal La Décroissance António Egas Moniz António Caetano de Abreu Freire Egas Moniz (29 November 1874 – 13 December 1955), known as Egas Moniz (Portuguese: [ˈɛɣɐʒ muˈniʃ]), was a Portuguese neurologist and the developer of cerebral angiography. He is regarded as one of the founders of modern psychosurgery,[1] having developed the surgical procedure leucotomy—​known better today as lobotomy—​for which he became the first Portuguese national to receive a Nobel Prize in 1949 (shared with Walter Rudolf Hess).[2] He held academic positions, wrote many medical articles and also served in several legislative and diplomatic posts in the Portuguese government. In 1911 he became professor of neurology in Lisbon until his retirement in 1944. At the same time, he pursued a demanding political career. Education and career[edit] Moniz was born in Avanca, Estarreja, Portugal as António Caetano de Abreu Freire Egas Moniz. Legacy[edit] Important publications[edit] According to the Nobel Prize, his more important publications are:[3]

Patrick Viveret : « Les monnaies locales jouent un rôle d’alerte » Publié le 07/12/2011 • Par Aude Raux • dans : Dossiers d'actualité Entretien avec Patrick Viveret, philosophe, ancien conseiller-maître à la Cour des comptes, initiateur de Dialogues en humanité, un forum organisé chaque mois de juillet à Lyon, et auteur notamment de "Pourquoi ça ne va pas plus mal" et du rapport "Reconsidérer la richesse". Voir le sommaire Cet article fait partie du dossier Economie sociale et solidaire : quand les territoires inventent leur monnaie Les monnaies locales peuvent-elles être un moyen de résoudre la crise financière ? Face à la crise financière, les monnaies locales sont effectivement un outil de résilience MAIS à l’intérieur d’une boîte à outils. Quels autres outils devrait-on mettre dans la boîte ? La question clef face à la crise financière, c’est la mise en place d’un véritable audit des richesses. Ainsi, toutes les catastrophes environnementales mais aussi sociales, tels les accidents de la route, sont comptabilisées positivement comme des flux monétaires.

Décroissance Un article de Ékopédia, l'encyclopédie pratique. De manière générale, la décroissance se définit comme l'état de ce qui décroît : une diminution. On doit ce concept de décroissance en économie aux travaux révolutionnaires de l'économiste roumain émigré aux États-Unis, Nicholas Georgescu-Roegen (1906-1994). La décroissance est un concept politique qui affirme que la croissance économique généralisée n'est pas acceptable pour l'environnement. Les présupposés Cette démarche part d'un triple constat : les biens et services produits par les économies ne sont pas les seules richesses : la santé des écosystèmes est une forme de richesse, de même que la qualité de la justice, les bonnes relations qui sont entretenues entre les personnes au sein d'une même société, le degré d'inégalité, le caractère démocratique des institutions, etc. La décroissance soutenable n'implique évidemment pas que l'on poursuive la décroissance pour elle-même. Description Capitalisme et développement durable Principes

Décroissance L'Homme unidimensionnel Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Homme unidimensionnel est un essai de Herbert Marcuse, avec pour sous-titre Essai sur l'idéologie de la société industrielle avancée[1], publié en anglais en 1964 aux États-Unis puis, traduit de l'anglais par Monique Wittig et l'auteur en français, en 1968 en France. Idées[modifier | modifier le code] Dans L'Homme unidimensionnel, Marcuse propose une critique du monde moderne qui emporte à la fois le capitalisme et le communisme soviétique, basée sur le constat, dans les deux systèmes, de l'augmentation des formes de répression sociale (qu'elles soient d'ordre privé ou public). Il avance que ce qu'il appelle la « société industrielle avancée » crée des besoins illusoires (false needs) qui permettent d'intégrer les individus au système de production et de consommation par le truchement des mass media, de la publicité et de la morale. Réception et influence[modifier | modifier le code] Notes et références[modifier | modifier le code]

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