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Le casse-tête du yield management, version SNCF

Le casse-tête du yield management, version SNCF
Comment optimiser ses tarifs en fonction de la période, de l’horaire et de la demande sans basculer dans un système trop complexe pour le client ? La compagnie ferroviaire n’a pas totalement résolu l’équation. La prochaine fois que vous prendrez le TGV entre Paris et Marseille, tentez l’expérience. Si vous examinez du coin de l’œil les billets de vos voisins, vous observerez qu’ils portent tous un nom différent : Loisir, Pro Seconde, Prem’s, Prem’s Week-end ou iDTGV. Vous vous rendrez surtout compte qu’aucun passager, ou presque, n’a déboursé la même somme : l’un a payé 25 euros, l’autre 102,50 euros. Et si vous parcourez toute la rame, vous trouverez près d’une cinquantaine de tarifs. Un sujet qui fâcheLa SNCF, en revanche, s’y retrouve bigrement.

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Promettre des prix bas ne garantit pas la fidélité des consommateurs Promettre les prix les plus bas ne suffit plus à attirer de nouveaux clients, et encore moins à les fidéliser. Les dispositifs marketing cross canal et SoLoMo constituent des leviers à actionner rapidement mais ils ne sauraient être efficaces sans une exploitation adroite des téraoctets de données clients aujourd'hui disponibles. Pendant plus de 40 ans, les entreprises ont joué sur les prix pour attirer et fidéliser les consommateurs. (DGCCRF) Quelle est la nouvelle réglementation des soldes ? Définition des soldes L'article L310-3 du code de commerce définit les soldes, les périodes autorisées et les marchandises concernées. Il qualifie les soldes de ventes accompagnées ou précédées de publicité et annoncées comme tendant, par une réduction de prix, à l'écoulement accéléré de marchandises en stock.

Trop de prix bas tue le prix bas ! Les distributeurs se trouvent mis au défi de toutes parts : par des consommateurs plus pragmatiques, dont le budget est plus serré, et par les enseignes qui intensifient leur discours "prix" et multiplient les publicités comparatives. Les grandes enseignes tentent donc plus que jamais de se distinguer, d'émerger en prouvant aux consommateurs un engagement toujours plus fort sur les prix bas. Les premiers mois de 2013 sont marqués par de nouveaux " affrontements " des enseignes à coups de nouvelles publicités comparatives et de nouveaux arguments marketing différenciant (Kantar Media analyse avec Retail AdSight les stratégies publicitaires des distributeurs généralistes aussi bien sur les médias traditionnels (TV, presse, radio, affichage) que digitaux (display, social, vidéos virales, évènementiel) afin d'apporter une vision globale des nouvelles stratégies publicitaires du secteur). Les exemples en campagnes Auchan élargit sa gamme de " produits à 1€ " aux rayons frais.

Un restaurant ose l’abonnement illimité Thomas Mankowski t.mankowski@sudouest.fr L'abonnement illimité ou le Pantagruel de la consommation : le musée, le cinéma, le mobile, l'Internet, les remontées mécaniques, le parc d'attractions, la salle de gym… Il se généralise avec un appétit de boulimique et c'est à croire qu'il n'est pas rassasié puisqu'il gagne maintenant la restauration. Les porte-cartes déjà boursouflés ne sont pas près de se mettre à la diète. Retail Explorer décrypte les stratégies prix des enseignes Retail Explorer publie la nouvelle édition de l'étude PanoTrade 2013, sur l'activité commerciale, publicitaire et promotionnelle de la grande distribution en France. Dans cette nouvelle édition, l'étude dresse un tableau complet des stratégies prix des enseigne de la GSA et de leur traduction dans leur communication. Avec l'essor du drive qui affiche 650 millions de prix depuis 18 mois et l'arrivée d'outils comme les comparateurs de prix en zone de chalandise, le client commence à pouvoir comparer les prix entre enseignes dans sa zone de chalandise. Sauf que les applications ne sont pas toujours au point ! La stratégie prix des enseignes se reflète L'étude PanoTrade 2013 en analyse trois : · l'accroche commerciale des prospectus

La gratuité dans les business-model : oui mais à quel prix ? Quel est le point commun entre Spotify, Deezer, Métro, 20 minutes, DirectMatin ? Réponse : les services fournis par ces entreprises sont gratuits ! Quelle est la recette du succès de ces journaux et de ces plateformes de téléchargement de musique? La gratuité ! Du low cost au management frugal Introduction La compagnie aérienne « low cost » (au sens littéral, activité fondée sur la baisse des prix) Ryanair a été condamnée plusieurs fois par la justice française pour « travail dissimulé ». Elle continue de déclarer ses salariés à la sécurité sociale irlandaise… et à engranger les bénéfices (C.A. de presque 5 milliards d’euros et 569 millions d’euros de bénéfices sur l’exercice 2012/13). L'avalanche du gratuit Donne, le consommateur te le rendra : de l’économie à l’ère d’Internet, telle semble être la nouvelle loi. Les success stories du numérique sont en effet fondées sur la gratuité pour l’usager : Facebook, Twitter, et surtout Google. La capitalisation boursière de ce dernier a récemment dépassé celle de Microsoft.

Brandalley : les internautes fixent eux-mêmes le prix des articles BrandAlley s'apprête à lancer une campagne qui pourrait bien faire parler d'elle. Le site de mode a en effet annoncé la mise en place d'une opération de 4 jours pendant laquelle ses clients auraient la possibilité de fixer eux-mêmes le prix des articles achetés sur la plateforme. Prêt-à-porter, accessoires, décoration... à partir du prix de vente initial, les internautes peuvent à leur gré, choisir de baisser les prix jusqu'à un euro, ou au contraire de les augmenter. L' offre, qui porte sur des milliers de d'articles, s'étend du 13 au 16 novembre prochain et se limite à deux articles par jour, et par internaute.

(*)La gratuité est-elle l’avenir de l’économie La gratuité est l’avenir de l’économie clame Chris Anderson (blog) qui prépare dans cet article pour la revue Wired, dont il est rédacteur en chef, son prochain livre intitulé Free. Chris Anderson rappelle tout d’abord que la gratuité s’inscrit dans un processus commercial classique, comme l’a exploré avec succès Gillette, en offrant ses rasoirs et en faisant payer ses lames. Mais avec l’internet, une nouvelle gratuité s’est développée, fondée sur des coûts de reproduction nuls du fait de la numérisation, et sous la pléthore de l’offre qui tire encore plus les prix vers le zéro absolu.

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