background preloader

Association de Professionnels de Santé pour une Alimentation Responsable

Association de Professionnels de Santé pour une Alimentation Responsable
Les habitudes alimentaires ont considérablement évolué depuis le milieu du XXème siècle. Comme cela est observé dans le rapport commun de l'OMS et de la FAO de 2002 intitulé « Alimentation, nutrition et prévention des maladies chroniques », une alimentation riche en graisses et en aliments à forte densité énergétique, centrée autour d'aliments d'origine animale, a remplacé l'alimentation traditionnelle principalement basée sur des aliments d'origine végétale. Cela a joué un rôle clé dans l'augmentation de la prévalence des maladies chroniques évitables d'origine nutritionnelle : obésité, diabète, maladies cardio-vasculaires, cancers et ostéoporose principalement.1 Ces maladies ne sont plus limitées aux « pays riches », et constituent désormais un problème de santé publique croissant dans les pays en développement1, où le modèle alimentaire « occidental » se propage et remplace souvent les alimentations traditionnelles. Maladies cardio-vasculaires Références : Related:  Ressources B2- B2+Nutrition et Santé publique

Comment être un parfait râleur: 19 étapes 3 parties:Mettez-vous en colèreRâlez de façon professionnelleSoyez un râleur en bonne santé Tout lieu de travail a besoin de son Scrogneugneu de service. Le monde peut être un vrai chaos et nous aurons toujours besoin de quelques râleurs pour rétablir un certain équilibre. Vous n'êtes pas seul(e) si vous vous sentez souvent ahuri et agacé par la bêtise du monde. Étapes Partie 1 Mettez-vous en colère <img alt="Image intitulée Be a Grouch Step 01" src=" width="728" height="546" class="whcdn" onload="WH.performance.clearMarks('image1_rendered'); WH.performance.mark('image1_rendered');">1Choisissez-vous un sujet de mécontentement si vous voulez râler à bon escient. Partie 2 Râlez de façon professionnelle Partie 3 Soyez un râleur en bonne santé Conseils On n'aura sans doute pas envie de vous fréquenter et vous pourriez avoir une vie très solitaire. Détails de l'article

Moins de viande, de sel, de sucre… les recommandations de l’agence sanitaire L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation présente un socle scientifique pour de nouveaux repères nutritionnels. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Pascale Santi Comment y voir plus clair dans nos assiettes ? L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) a présenté mardi 24 janvier les principaux résultats de l’actualisation des repères nutritionnels du Programme national nutrition santé (PNNS), qui vise à améliorer l’état de santé de la population en agissant sur l’alimentation. « Que l’alimentation soit ta première médecine », disait Hippocrate. Saisie par la Direction générale de la santé, l’agence devait publier ses avis et rapports relatifs aux repères nutritionnels pour la population adulte. C’est ce socle, basé sur les données scientifiques des dix dernières années, qui va servir de base à l’élaboration des nouvelles recommandations pour le grand public, par le Haut Conseil de la santé publique. Plus de fibres

Nutrition et santé Avec la collaboration du Pr Serge Hercberg, professeur de nutrition à la Faculté de médecine de Paris 13, directeur de l’unité de recherche en épidémiologie nutritionnelle (UREN - UMR 557 Inserm/Inra/Cnam), directeur de l’unité de surveillance et d’épidémiologie nutritionnelle (USEN -InVS/ISTNA-CNAM), directeur du Centre de recherche en nutrition humaine (CRNH) Ile-de-France (GIS) et du Pr Jean-Michel Oppert, chef de service au Centre de recherche et de médecine de l’obésité(Hôpital de la Pitié-Salpetrière, Paris), chercheur à l’unité de recherche en épidémiologie nutritionnelle (UREN - UMR 557 Inserm/Inra/Cnam) - Octobre 2013. La santé passe par l’assiette et l’activité physique © Inpes L’alimentation et l’activité physique sont impliquées dans l’apparition et le développement de la plupart des maladies chroniques les plus fréquentes aujourd’hui. Bien manger, tout un programme © Inserm / Samia Serri Plan National Nutrition santé - Recommandations et repères. © Inserm / Patrice Latron Sites

Depuis ce lundi, notre planète vit à crédit… et s’épuise Si nous vivions dans un monde idéal, à partir de ce lundi 8 août, aucun humain ici-bas ne consommerait plus rien : ni eau, ni fruit, ni légume, ni viande, ni quoi que ce soit. Et il n’émettrait plus un gramme de gaz à effet de serre. Dans un monde idéal, cette diète durerait jusqu’au 31 décembre, afin que la planète Terre ait le temps de se régénérer. Mais nous ne vivons pas dans un monde idéal, donc ce lundi est l’Overshoot Day (le "Jour du Dépassement'). Et les 21 semaines qui nous séparent de 2017 sont "en trop" pour les ressources que la Terre a à nous offrir. C’est ce concept qu’essaie de répandre, via une campagne, deux ONG : le Global Footprint Network et le WWF. Graisse de mammouth En 1986, nous n'habitions pourtant pas dans des grottes éclairées à la lueur de lampes à la graisse de mammouth… Mais, entretemps, la surconsommation a continué à exploser dans les pays du Nord, les émissions de gaz à effet se sont envolées. Merci, votre inscription a bien été prise en compte.

Le programme nutrition et activité physique L’alimentation, l’activité physique et l’état nutritionnel sont des déterminants majeurs des maladies chroniques telles que les maladies cardiovasculaires, certains cancers, le diabète, l’obésité morbide ou l’ostéoporose. Ce programme s’inscrit dans le cadre du Programme national nutrition santé (PNNS). Ses actions contribuent également à la mise en œuvre du plan Cancer. Plusieurs enjeux prioritaires se dégagent : la formulation de nouveaux repères nutritionnels sur la base des nouvelles recommandations de l’Anses et la préparation de nouveaux guides du PNNS ;la production d’indicateurs permettant de suivre les évolutions de la situation nutritionnelle en France ;la conception, la promotion et l’évaluation de la signalétique nutritionnelle apposées sur les emballages des produits alimentaires ;la promotion de la pratique de l’activité physique, en particulier auprès des collégiens et des femmes peu actives. Objectifs stratégiques :

Nutrition Le programme National Nutrition Santé (PNNS) La mise en place d’une politique nutritionnelle est apparue, au cours des dernières années, comme une priorité de santé publique. Le rôle joué par la nutrition comme facteur de protection ou de risque des pathologies les plus répandues en France est de mieux en mieux compris, qu’il s’agisse du cancer, des maladies cardiovasculaires de l’obésité, de l’ostéoporose ou du diabète de type 2. L’amélioration de l’état nutritionnel de la population constitue, en ce début de 21è siècle, un enjeu majeur pour les politiques de santé publique menées en France, en Europe et dans le monde. Une nutrition satisfaisante est un facteur de protection de la santé. En savoir plus... Pour plus d'information :

Cerveau : la révolution des nouveaux traitements - 23 février 2017 Des électrodes greffées dans un crâne. L'image renvoie aux heures sombres d'une médecine apprentie sorcière prompte à ouvrir les cerveaux. L'image est dépassée. Dans les labos d'aujourd'hui, la neurostimulation s'impose comme une technique de pointe, qui bouleverse le traitement de certaines maladies graves et bientôt, sans doute, celui de nos bobos quotidiens. Parkinson, Alzheimer, dépression, anorexie : l'électricité au secours du cerveau Deux livres récents, "la Chirurgie de l'âme" et "Améliorer son cerveau" racontent cette révolution encore discrète. Merci, votre inscription a bien été prise en compte. Il n'y a pas que Parkinson. Un organe mystérieux, mouvant L'épopée de la neurostimulation ne va pas s'arrêter aux murs blancs de l'hôpital. Les pistes ouvertes par cette fascinante technologie sont nombreuses, les questions qu'elle pose aussi. Emmanuelle Anizon > Retrouvez notre dossier "Cerveau : du nouveau pour guérir", dans "l'Obs" en kiosque cette semaine.

MENE1132801C La définition, l'impulsion et la conduite d'une politique éducative structurée constituent une des missions confiées au système scolaire, qui doit impliquer l'ensemble des personnels aux différents niveaux de responsabilité et en premier lieu dans l'établissement scolaire. Elle contribue aux côtés des familles à la construction de l'élève, en tant que personne et citoyen, dans un double objectif du respect de soi et des autres. L'École est bien en effet le lieu d'acquisition de compétences nécessaires et indispensables au mieux-vivre ensemble.Dans ce cadre, la politique éducative de santé constitue un facteur essentiel de bien-être des élèves, de réussite scolaire et d'équité. Pour le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative et par délégation, Le directeur général de l'enseignement scolaire, Jean-Michel Blanquer

Bisphénol A, phtalates, pesticides : la Commission européenne condamnée pour son inaction Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Stéphane Foucart Il n’y a, bien sûr, pas de condamnation pécuniaire, mais le coup est rude. Le Tribunal de l’Union européenne a condamné la Commission européenne, mercredi 16 décembre, pour « avoir manqué à [ses] obligations » sur le dossier des perturbateurs endocriniens (PE). En vertu du règlement européen de 2012 sur les biocides, Bruxelles devait publier, au plus tard le 13 décembre 2013, les critères scientifiques permettant de réglementer ces molécules de synthèse agissant sur le système hormonal et présentes dans une variété de produits courants (pesticides, plastifiants, bisphénols, solvants, etc.). Lire aussi : Perturbateurs endocriniens : l’Europe irresponsable « La Commission ne pourra pas attendre une année supplémentaire avant d’agir » Le Tribunal de l’Union européenne, l’une des deux juridictions de la Cour de justice de l’Union européenne, avait été saisi par la Suède en juillet 2014 d’un « recours en carence » contre la Commission.

« J'ai eu l'impression qu'Erasmus m'avait enfermé dans un moule superficiel et standardisé » Si l'immense majorité des étudiants qui ont participé au programme Erasmus en garde une bonne expérience, certains jeunes, auxquels LeMonde.fr a donné la parole, en gardent un souvenir plus qu'amer. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Marine Haag D'après une récente enquête, 90 % des étudiants partis à l'étranger avec le programme Erasmus, appelé à se développer avec sous sa nouvelle appelation Erasmus+ , recommanderaient sans hésitation à leur amis ou connaissances d'y participer. Mais pour certains jeunes, certes minoritaires, l'expérience a été très éloignée de la mythologie festive et enrichissante qui entoure le programme. Voici des témoignages de quelques-uns de ces « déçus d'Erasmus ». L'expérience n'a pas non plus été concluante pour William Barbosa, étudiant en urbanisme de 21 ans. « Je suis parti à Hambourg, en Allemagne, en 2013. A lire également : Erasmus+, plus de moyens pour les échanges européens et Erasmus, une foule de bébés et moins de chômage

APSAReS est une Association de professionnels (médecins et diététiciens)de la Santé. Le site est créé en 2008. by svt33 Oct 22

Related: