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Les miracles du revenu minimum garanti

Les miracles du revenu minimum garanti

TVA à 100% ? Avec un produit intérieur brut d’environ 2000 milliards d’euros et un budget cumulé de l’Etat, des collectivités territoriales et des comptes sociaux d’environ 1000 milliards d’euros, c’est en effet à 100% qu’il faudrait fixer le taux de TVA afin de faire de cette taxe le seul impôt prélevé en France. TVA à 100% La moitié du prix des produits consommés servirait à financer l’ensemble des dépenses publiques avec une répartition pour le niveau local que l’on pourrait imaginer basée sur le nombre d’habitant. L’avantage principal d’un impôt sur la consommation est qu’il est payé par tout ceux qui vivent dans le pays et qu’il est très difficile d’y échapper. Le coût de collecte est très faible à la fois pour les services publics, pour les entreprises, et pour les particuliers. Plus d’impôt sur le travail Cet impôt sur la consommation ne pèse pas sur une seule catégorie comme par exemple sur le travail avec les cotisations sociales. Injuste ? Revenu de vie pour tous ? On commence maintenant ?

Namibia’s successful basic incom From Herbert Jauch: (thanks to Dante Monson for the reference) “Namibia, a vast country inhabited by two million people, is one of the smaller economies in Southern Africa. It adopted a market-based economic system after achieving independence from apartheid- era South Africa in 1990. Despite creating favourable investment conditions and its high levels of political stability, Namibia, with its ample mineral and marine resources, could not break the vicious cycle of mass unemployment, inequality, and poverty. In 2002, the Namibian government appointed the Namibia Tax Consortium to review Namibia’s tax system and to explore ways of addressing poverty and inequality. A BIG would cover all Namibians from birth until they reach the age of 60, at which time the national old age pension scheme (currently N$ 470 per month) would kick in. The Namibian government was divided over the question of a BIG. The chosen location was the settlement of Otjivero in the Omitara district of Eastern Namibia.

10 (mauvaises) raisons de ne pas croire au revenu de vie Marc Vasseur a tristement raison : le « revenu citoyen de Villepin fait pour l’instant quasi lettre morte. Pourquoi ? Parce que le revenu de vie n’est pas une idée de loi de plus pour législateur ennuyé. Le revenu de vie est un véritable levier pour un changement de société. C’est une idée puissante dans un sens, mais également complexe à aborder car elle nécessite d’avoir une vision globale des problèmes de notre société. Clairement, les journalistes qui s’emparent aujourd’hui de la question sont largués car ils abordent le revenu universel avec leurs questions de journalistes c’est à dire des questions de tenants du système, et non de progressistes qui essayent d’en changer les règles. Bref, afin de mieux expliquer tout cela, je me suis lancé dans une petit « FAQ » visant à répondre aux 10 objections que j’entends le plus souvent. 1. Pour certains, le revenu universel est une idée libérale qui vise uniquement à se débarrasser de l’état providence. 2. 3. 4. 5. 6. Oui, et alors ? 7. 8.

NAMIBIE : Subvention du revenu de base: 'Laissez d’autres goûter ce que nous avons goûté' WINDHOEK, 17 fév (IPS) - Une Allocation du revenu de base (BIG) universelle créerait la paresse et la dépendance chez les pauvres de la Namibie, déclarent des politiciens. Un projet-pilote audacieux a été initié pour prouver que cette affirmation est fausse. IPS a parlé avec l'un des bénéficiaires de la BIG. Bertha Hamases, 32ans, est une femme élancée, maigre, avec un visage fané et un éclat amical dans ses yeux. Il y a quelques années, elle était l'une des nombreuses personnes vivant autour du drain à Otjivero, un village en cul de sac situé à 100 kilomètres de Windhoek, la capitale namibienne. Ici, des ouvriers agricoles expulsés se sont réunis dans la misère. Q: Pouvez-vous décrire votre vie avant la BIG? R: Je suis venue à Otjivero il y a huit ans. J'ai donc pris mes quatre enfants et je me suis installée dans le village. Une fois par mois, j’allais à Windhoek pour demander de l'argent auprès des parents. La vie dans tout le village était difficile. R: Ce n'est pas vrai.

Association pour l'Instauration du Revenu d'Existence Revenu garanti pour tous : quand la réalité devance l'utopie - Réduction des inégalités De Milton Friedman à James Tobin, l’idée d’un revenu minimum garanti suscite l’intérêt de nombreux économistes depuis quarante ans, mais n’a jamais vraiment été appliquée, à part sous la forme de programmes expérimentaux... mais néanmoins riches d’enseignement. Une des expériences les plus récentes et abouties à ce jour de mise en place d’un revenu garanti a été impulsée par la Namibian Basic Income Grant Coalition (Coalition namibienne pour le revenu de base), dans un village de Namibie. Durant deux années (2008-2009), les 930 villageois de moins de 60 ans d’Otjivero-Omitara, recevaient ainsi un revenu de base mensuel (BIG, pour Basic Income Grant) représentant l’équivalent de 9 euros par mois, sans aucune autre condition que celle d’habiter le village et alors qu’un tiers des Namibiens vivent avec moins d’un dollar par jour. L’économie locale dynamisée Comme le montre le graphique ci-contre, les chercheurs sur place ont observé une croissance des revenus des habitants d’Otjivero.

Le revenu de base Le revenu de base en Namibie - 1 an après | BIEN-CH - Aurora Ci-dessous, nous publions un communiqué sur l'expérience du revenu de base en Namibie Subvention du revenu de base: « Laissez d’autres goûter ce que nous avons goûté » ! Servaas van den Bosch s’entretient avec BERTHA HAMASES, une domestique et mère de quatre enfants à Otjivero, en Namibie. WINDHOEK, 17 fév 2011 (IPS) - Une Allocation du revenu de base (BIG) universelle créerait la paresse et la dépendance chez les pauvres de la Namibie, déclarent des politiciens. Bertha Hamases, 32ans, est une femme élancée, maigre, avec un visage fané et un éclat amical dans ses yeux. Ici, des ouvriers agricoles expulsés se sont réunis dans la misère. Q: Pouvez-vous décrire votre vie avant la BIG? R: Je suis venue à Otjivero il y a huit ans. J'ai donc pris mes quatre enfants et je me suis installée dans le village. Une fois par mois, j’allais à Windhoek pour demander de l'argent auprès des parents. La vie dans tout le village était difficile. Q: Qu’est-ce qui a changé à Otjivero lui-même?

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